A l'inauguration du parc Saint-Cyr le 4 mai 2017 (1)
Pas très loin de chez moi il y a le parc Saint-Cyr. On y trouve la MJC la Paillette, un cimetière de religieuses, un calvaire, une vieille serre, des allées tranquilles. On y va surtout l'été écouter des concerts de Transat en ville. Le tout a été réaménagé récemment et j'ai été invité le 4 mai dernier à l'inauguration officielle. Un peu par la bande, comme on dit : je connais quelqu'un dans l'orchestre Rond d'Iao qui animait en musique cette manifestation.
A l'inauguration du parc Saint-Cyr le 4 mai 2017 (4)
Ils ont l'air de bien s'amuser, chez Rond d'Iao !
(Pour les non-spécialistes, il y a un jeu de mots sur Kas a-barh,
nom d'une danse bretonne)
Moulinet pour ceux qui comptent voter blanc ?
(On était entre les deux tours de la présidentielle)
GLANDOUILLER ?
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
10 mai 2016
Une multitude de
Une multitude de sites web, de plates-formes de partage de vidéos, de partitions, de paroles…
Et pas moyen de récupérer des accords jouables pour « Les nuits d’une demoiselle » de Colette Renard !
Chez tontonremy.com, ça ne ressemble à rien, chez play.riffstation.com c’est trop décalé.
Et pour les paroles, excellentes, des « Nuits d’une demoiselle 2.0 » de Jeanne Cherhal, c’est pareil.
Alors j’ai travaillé à l’oreille. Voici les deux partitions avec leurs imperfections.
Si la présence de ces oeuvres littéraires sur ce site gêne en quoi que ce soit leurs auteurs ou leurs ayant droit, faites le savoir par un simple commentaire sous ce billet et je les enlèverai de suite.
Qui a dit que je glandouillais ? Une matinée de boulot, ça m’a pris !
Une chorale allemande à Montfort-sur-Meu (Ille-et-Vilaine) le 2 avril 2016 (1)
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
2 avril 2016
Signature
C’est peu de dire que les 27 chanteurs de la Katolische Kantorei Marktheidenfeld ont fichu une ambiance du tonnerre dans l’église de Montfort-Sur-Meu ce samedi soir.
Le chef de chœurs Hermann Grollmann accompagnait sa troupe d’accords pianistiques éminemment rock’n’roll. J’ai adoré !
Au finale de ce concert endiablé, il y avait un morceau d’une gaieté folle. Je suis allé photographier la partition afin d’en connaître le titre et l’auteur : « Irische Segenswünsche ». J’ai retrouvé l’auteur sur internet : Markus Pytlik.
Si je mets ça dans ma guitare, est-ce que ça ne fera pas trop « Jésus reviens » ?
Ci-dessous, deux versions un peu plus molles - mais à nos oreilles également aimables ! - de cette chanson :