L'Orchestre d'harmonie de Fougères au Thabor à Rennes le 27 septembre 2015 (2)
Heu-reux !
Des orchestre d'harmonie au parc du Thabor à Rennes le 27 septembre 2015 (1)
Petit jeu d'observation : A quoi voyez-vous que l'automne approche ?
Visiblement, toi, t'en as déjà plein le dos, de cette musique de sauvages, hein ?
Des orchestre d'harmonie au parc du Thabor à Rennes le 27 septembre 2015 (2)
Ici c'est l'Orchestre d'harmonie de Domagné.
Si vous êtes mélomane et masochiste, vous adorez les filles qui tapent !
Des orchestre d'harmonie au parc du Thabor à Rennes le 27 septembre 2015 (3)
J'emboîte encore le pas à une déambulation de la band'des rails pour aller du kiosque à musique au théâtre de verdure (l'Enfer !). L'orchestre d'harmonie de Fougères y a pris place. Vous aimez le son du cor le soir au fond des bois ?
L'Orchestre d'harmonie de Fougères au Thabor à Rennes le 27 septembre 2015
Je n'aime pas trop le jazz mais ça j'aime ! J'adore même ! Bravo Mesdemoiselles !
La Band'des rails au parc du Thabor à Rennes le 28 septembre 2015 (1)
- Vous me réveillerez quand ils auront terminé leur barouf !
Les oreilles des mélomanes n'auront pas trop souffert pour ce dernier "dimanche du Thabor" consacré aux orchestres d'harmonie. Je rends d'abord hommage à la banda de l'Orchestre des cheminots rennais qui accompagnait la transition du public du théâtre de verdure au kiosque et inversement. Un beau soleil d'été indien accompagnait ces prestations intemporelles.
Autoportrait en trombone du curé. (N'importe quoi !)
La Band'des rails au parc du Thabor à Rennes le 28 septembre 2015 (2)
Chapeau pour le soutien (sans doute involontaire) apporté au combat d'Isaure Chassériau : faire voir la vie en rose !
La Band'des rails au parc du Thabor à Rennes le 28 septembre 2015 (4)
Faut-il dire la band' des rails ou le band des rails ?
MOMENT D'ENTHOUSIASME (1)
MOMENT D’ENTHOUSIASME
Quelle foule ici ! Vous y admirerez des dames aux chapeaux étranges, aux tailles si minces, si étroites, aux airs si originaux, si étonnants de dignité que vous verrez en elles les grands papillons de la noblesse. La perspective de leurs sourires est un souffle extraordinaire qui s'élève dans les nuées jusqu'à l'amirauté et qui dresse sur le toit de l'opéra les personnages d'une mythologie unique, propre à briser le coeur du plus brutal des cavaliers.
Toutes les muses assemblées autour d'Apollon écoutent respectueusement des airs d'une musique-Champagne. Le seul Can Can de l'"Orphée aux Enfers" d'Offenbach serait capable à lui seul de faire danser la multitude, manches retroussées, robes tournantes, à la volette, jambes déliées, déjetées bien haut en vue d'éblouir d'élégance les représentants du sexe opposé.