Les beaux restes de l'automne à Rennes Cleunay le 8 décembre 2013 (5)
Ah j'aurais bien écrit pour le prochain Défi du samedi un texte sur le rythme heurté du jogger photographe mais j'ai peur de lasser avec mes diaporamas photographiques ! Et puis sur mon compte Youtube, ce ne sont pas ceux-là qui sont les plus consultés, ce sont les chansons nulles que j'y interprète : la patrouille des éléphants : 557 vues !
Les beaux restes de l'automne à Rennes Cleunay le 8 décembre 2013 (6)
Je me régale toujours autant à écouter, en publiant ces photos, Rodney Cromwell et Emmylou Harris et leur Old yellow moon.
Les beaux restes de l'automne à Rennes Cleunay le 8 décembre 2013 (1)
Il paraît que c'est très mauvais de courir par des temps de gelée blanche ! Je m'en fous ! Si vous saviez le bien que ça a fait au jogger-photographe sa virée de 6,5 kms, ce dimanche d'après les Trans !
Les beaux restes de l'automne à Rennes Cleunay le 8 décembre 2013 (2)
- A vendre : photo de tapis de feuilles mortes pour illustrer tapis de souris !
- Remballe ta marchandise, mon gars : tout le monde est passé aux tablettes !
Mes les souris aux oubliettes avec les tapis et les carpettes !
Les beaux restes de l'automne à Rennes Cleunay le 8 décembre 2013 (3)
J'ai bien envie, ce jour, comme le dénommé Plumpsack, de vous raconter mes rêves ou plutôt mes fins de nuit, celle enfin de ce dimanche-là. Sur le coup de sept heures du matin, Marina Bourgeoizovna m'a entendu éclater de rire : je m'étais réveillé comme pour aller au boulot et j'ai réalisé avec grande joie qu'on était dimanche ! Du coup j'ai replongé et ne me suis levé qu'à neuf heures !
LA CHANSON DE PREVERT
Sur la fin de sa vie, Beethoven avait tellement les feuilles mortes (1) qu'il croyait qu'il était peintre et qu'il s'appelait Serge Gainsbourg !
(1) : en argot les feuilles sont les oreilles. Autant dire qu'il avait les portugaises ensablées comme sur l'image ci-dessous :
Ecrit pour le Défi du samedi n° 274 à partir de cette consigne
REECRIRE "L'AUTOMNE"
J’entends marcher dehors.
Tout est clos. Il est tard.
Ma lampe seule veille.
J’entends gueuler dehors.
Sans doute est-ce un fêtard
A la trogne vermeille,
Arsouillé au Cahors
Pour noyer son cafard,
Ayant bu deux bouteilles ?
Ou bien, jouant Milord
Allé au bobinard
Où son or appareille,
Jean-François à tribord
Hurle un hymne paillard
Aux charmes de Mireille ?
A Nantes, mill’ sabords,
Pourquoi tant de gueulards
Nous cassent les oreilles ?
Puis tout se tait dehors,
S’éloigne le braillard,
La ville s’ensommeille.
Moi je choisis mes ors,
Les dispose avec art
Sur ces musiques vieilles.
Tous ces oripeaux morts
Le soleil, ce roublard,
En fait lande à merveille.
Vivaldi en ressort,
Allume le brouillard
Prend saveur de groseille.
Puis je couche mon corps
Au lit, un peu plus tard,
Et Morphée appareille.
L’âme en paix on s’endort,
Exempt des traquenards,
Vers la nuit sans pareille.
Ecrit pour le Défi du samedi n° 273 à partir de cette consigne
Autoportrait automnal à Rennes Beaulieu le 13 novembre 2013
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle mais ce n'est pas mon boulot.
J'ai bien assez à faire de mon côté avec les factures de z... * qui pleuvent !
* Pour ceux qui suivent et qui savent on dit un n... au singulier et des z... au pluriel. C'est sur Internet et ça se lit, ça se vend et ça s'achète chez une libraire qui n'a qu'un seul sein !
P.S. Dans le billet ci-dessous, j'ai d'ailleurs retrouvé le deuxième sein de la libraire (LOL tout seul ce soir !)