UN KILT PAR JOUR OU PRESQUE
Samedi
Que faire pour le prochain Défi du samedi ? Chanter «Le Kilt» de Sheila ? Comme le dit Michel Fugain, je sais déjà que «je n’aurai pas le temps»… de retourner en 1967 ! Les paroles sont un peu niaises et la vidéo sacrément kilt… euh, kitsch.
Dimanche
Je trouve l’idée de mon billet - il sera très court pour une fois, me dis-je, naïf - chez L’Adrienne ! Le voici :
« Quand on parle de kilt on en revient toujours à la question traditionnelle : les messieurs qui en portent un ont-ils ou non un slip en-dessous ? Il paraît que non.
C’est désormais confirmé : les Ecossais ne portent pas de slip sous leur kilt. Les slips, ils les enterrent pour vérifier que la terre de leur jardin est de bonne composition ! »
https://adrienne414873722.wordpress.com/2020/02/08/f-comme-file-moi-ton-slip/
Lundi
Au lieu de taper ces cinq lignes et de les envoyer à mon oncle préféré, j’ouvre un des livres dont Marina B. veut se débarrasser. C'est un recueil de contes japonais de Sôseki très bien illustrés par Qu Lan, une artiste chinoise qui vit en France. Et sur quoi je tombe, à la page 106 ? Un kilt !
Je publie l’image sur mon blog car j’ai décidé d’utiliser ces illustrations dans mon atelier d’écriture du mardi.
Mercredi
Je publie le texte écrit la veille à l’atelier et j’ai droit à un commentaire de Walrus, voire à un avant-goût de son billet du samedi ! Je réponds au comm’ en lui donnant le lien du concert de Mike Oldfield, Tubular bells II en public au château d’Edimbourg-Edinburgh en 1992. J’oublie de signaler le moment où l’on voit des kilts en pagaille. C’est à 48’.
Le feu d’artifice sur le château est à 1 h 01’ 30’’ .
Jeudi
Je vais rendre mes bouquins en retard à la Bibliothèque des Champs libres. En passant boulevard de la Liberté je m’arrête devant cette boutique d’épilation aux affiches de mauvais goût. Paf ! Celle d'aujourd'hui est épile poil dans le thème du Défi !
Vendredi
Je ne sors pas de chez moi. Je tape les commentaires des parties d’échecs de la veille et mon Défi du samedi. J’aurais pu vous parler du gambit écossais que je joue avec les blancs, d’un premier album des aventures de Chick Bill intitulé «Le Monstre du lac» dans lequel toute l’équipe de Wood-City se retrouve en Ecosse car Kid Ordinn y a acheté un terrain… vertical ! Dog Bull, ruiné, est obligé de se faire engager comme valet de chambre, porte un kilt et est renommé «Marmaduke» par son employeur.
J’ai laissé tomber aussi les aventures d’Arthur le fantôme en Ecosse – ah ces châteaux de Jean Cézard qui ont enchanté mon enfance ! -.
J’ai trouvé chez madame Wikipe de quoi boucler ma semaine de « Ne me kilt pas » :
« Les Écossais ont également une réponse toute faite à cette question de savoir ce qu'ils portent sous leur kilt : « The future of Scotland » (L'avenir de l'Écosse). »
P.S. Une dernière krapoverie pour la route : « Quand le flipper affiche « Kilt » c’est que la parkie est kerminée. K’as krop secoué le cocokier ! »
Ecrit pour le Défi du samedi n° 598 à partir de cette consigne : kilt
Dans le vieux Lyon (Rhône) le 7 décembre 2018 (1)
Un ami c’est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui (Jules Renard)
Les mamans ça pardonne toujours. C’est venu au monde pour ça. (Alexandre Dumas)
Rien n’est plus vivant qu’un souvenir (Federico Garcia Lorca)
Un ami c’est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui (Jules Renard)
Il y a dans tout homme un cochon qui sommeille mais le mien ne dort que d’un œil (Joe Krapov)
Au carnaval de Granville (Manche), avant le défilé, le 7 février 2016 (12)
- Bonjour ! Je me présente : Merlin !
- Enchanté !
- Les rails de ce tramway mènent-ils jusqu'à Venise ?
Jo Butagaz et ses brûleurs au carnaval de Vitré 2015 (1)
Ils sont passés trop vite pour que je les photographie bien !
Ils se reconnaîtront quand même ! Un p'tit peu , quand même !
Jo Butagaz et ses brûleurs au carnaval de Vitré 2015 (2)
- Qu'est-ce que tu joues exactement ?
- Une marche funèbre pour la mise en bière du soleil !
- C'est sûr que là, il s'est bien éclipsé !
LEGENDE URBAINE DE LA CAMPAGNE ET JAVA BLEUE AVEC CHAPEAUX
Edinburgh, le 24 juin 2014, de notre envoyé spécial :
Un drame affreux a failli se dérouler tout au fond du Loch Ness où une équipe de scientifiques de l’Université de Rennes 3 opérait des recherches autour du soi-disant « monstre » qui sévirait ou aurait sévi par ici.
Deux hommes-grenouilles se sont en effet violemment querellés en cours de mission sous-marine. D’après les premiers éléments recueillis auprès du commissariat de Drumnadrochit il s’agirait – Ah, ces Froggies ! - d’une rivalité amoureuse qui aurait pu très mal tourner si le professeur Denis D'Eglise-Trouée, responsable de l’expédition, n’avait pas fait appel à la brigade internautique locale commandée par Mlle Imogène Mc Carthery.
Nos agents ont fourré les deux Frenchies au bloc au motif d’envoi de pêches en eau trouble. On peut donc affirmer sans aucune Nessie-tation que le « monstre du lac » court toujours mais que l’aura négative qu’il projette sur notre pays a encore fait des victimes.
Il n’y aurait pas là de quoi en faire tout un plat si quelques membres facétieux de cette université de Rennes 3 n’avaient tiré de cet incident une chanson qui tourne sur les campus et fait un carton (-pâte) monstre sur Youtube.
N.B. "La Java des hommes-grenouilles" est une oeuvre du formidable Ricet Barrier.
Texte écrit pour le Défi du samedi n° 304 d'après cette consigne.
Le défilé des Européades à Quimper le 20 juillet 2005 (2)
Cela n'a qu'un lointain rapport mais quand je joue aux échecs je pratique quelquefois le gambit écossais.