OK, IL (se préserve du mauvais) SORT !
- Vous êtes apotropaïque du Cancer ou apotropaïque du Capricorne ? Vous préférez la peinture à l'hawaïle ou la peinture à l'ohaïeau ?
Réalisé pour le Défi du samedi n° 744 d'après cette consigne : apotropaïque
CONSIGNE D'ÉCRITURE : CHANSON EN KIT
Voici les éléments de base pour composer une chanson dans laquelle on entendra beaucoup les sons « K » et « T » :
Les personnages :
Un noble d’origine russe prénommé Igor
Des prostituées d’âge avancé
Des jeunes femmes minces bien mises sur elles
Un comte qui porte une toque
Un chien qui ressemble à Bill, le chien de « Boule et Bill »
Des fêtards qui braillent des chansons paillardes
Les accessoires :
Un tas de tickets de quai
Un réveil vermeil
Des aiguilles à tricoter
Une bouteille de vodka
Le décor :
Le bar de la gare de n’importe quelle ville
Vous avez une heure, comme chaque mardi. Comment cela « Vous avez déjà fini » ? Comment cela « Ca existe déjà » ?
Ecrit pour le Défi du samedi n° 564 d'après cette consigne : Kit
P.S. Une des participantes régulières du Défi du samedi, dame Laura, a effectivement répondu à ce qui pourrait être une consigne d'atelier d'écriture. Allez donc lire sa chanson et vous balader sur son blog, vous ne le regretterez pas !
RÉÉCRITURE CIRCASSIENNE D'UN CHEF-D'OEUVRE PISCÉNOIS
- J’ai beau être sous ta férule,
Ma chère maman que j’adule,
Je ne veux pas faire funambule !
Très peu pour moi !
Depuis cet étroit monticule,
Sur le fil d’une tarentule
Avancer comme un somnambule ?
Très peu pour moi !
Ca fait frissonner les globules
D’une populace incrédule ?
Ca relève des travaux d’Hercule ?
Très peu pour moi !
Il y a parmi ces minuscules
Un détestable groupuscule
Qui attend juste que tu bascules !
Très peu pour moi !
S’écraser en tas de fécule,
S’accidenter au crépuscule,
S’éparpiller en particules ?
Très peu pour moi !
Je ne connais pas la formule
Pour se changer en libellule !
Et casser mes jolies rotules,
Très peu pour moi !
- Arrête ce conciliabule
Qui nous brise les testicules !
On a compris ton préambule,
Vieille tête de mule !
N’empêche, pour gagner ton pécule
Et faire claper tes mandibules
Faut autr’ chose que tes opuscules
De poésie, vieux ridicule !
Arrête de nous faire une pendule,
T’impressionnes pas la pellicule !
T’es jamais qu’un ancien ovule !
Numérote ton matricule !
Tu vas pas t’dorer la pilule
Jusqu’à ce que vienne la sainte-Ursule !
Dis-moi donc, triste noctambule,
Espèce de crapule à pustules
Qui bulles sans aucun scrupule,
Ce que tu veux faire comme boulot,
A part fainéant majuscule,
Dans notr’ petit cirque ambulant ?
- Moi, je veux jouer de l’hélicon !
Pon pon pon pon !
Ecrit pour le Défi du samedi n° 499 à partir de cette consigne : funambule
"Cabaret rive gauche de la Vilaine" par le Topel théâtre à Rennes le 7 mars 2017 (3)
Le site web du Topel théâtre est ici.
Au cours de cette soirée, on a pu chanter le refrain de cette chanson de Boby Lapointe que j'avais un peu oubliée mais que je vais sans doute mettre dans ma guitare.
Descendre au marché de Lannion (Côtes d'Armor) le 29 décembre 2016 (1)
Quand je passe ici, c'est que je me promène avec des copines.
(Je remercie beaucoup Boby Lapointe de ne rien ajouter ici)
Cela une fois dit, je tiens à consigner sous ce billet, sans que cela ait aucun rapport avec les images ci-dessus, un lapsus linguae dont je fus l'auteur l'autre jour : alors que je voulais dire "moniteur d'équitation" j'ai prononcé "moniteur d'excitation".
Equidé mieux ?
PROFESSION : SONNEUR !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
24 mai
C’est mécanique
Il y a une clé pour amorcer la sonnerie.
Il y en a une autre pour que les aiguilles tournent.
Il y a un petit bouton qui fait tourner jusqu’au point voulu une petite aiguille seule sur un cadran minuscule. Elle indique ainsi l’heure à laquelle retentira la sonnerie.
Cela fait combien de temps que ça a disparu, ce genre de réveil complètement mécanique ?
Autrefois j’en avais un comme ça. Son tictac était si fort que Marina B. allait l’enfermer dans le réfrigérateur qu’on appelait alors « frigidaire » et pas encore « frigo ».
Pour l'entendre sonner, c'est ici. Vous avez droit en prime à du Julos Beaucarne et du Boby Lapointe !
ENLISEMENT SEVERE
Derrière la vitre un bateau
Qui ne verra jamais la mer.
Combien donnerait-il au bas mot
Pour quitter son quadrilatère ?
La croisée des chemins,
La croisée des fenêtres...
L’ambiguïté des voies d’eau
Qui ressemblent à des miroirs,
Les canaux en longs dévidoirs
Où sombrèrent les amiraux,
Et les rimes croisées
Et les crimes rusés…
Les péniches, maisons jointes
Au long du canal, contrepoids
Aux légèretés de Lapointe
Qui nous mettent toujours en joie,
Je les ai croisées à Toulouse ;
Elles m’ont plu comme, autrefois,
Celles qui transportaient un blues
Simenonien, de bon aloi.
Sur le canal du Nord
Et celui du Midi
Tout un monde s’endort.
Mon poème est fini.
Ecrit pour le Défi du samedi n° 398 à partir de cette consigne.
Les B Car... à la Bibliothèque Lucien Rose à Rennes le 28 février 2015 (1)
A l'issue de ce concert juke-box dans le cadre bien particulier d'une bibliothèque rennaise (que je fréquente souvent), j'ai décidé de baptiser mon ukulélé. Désormais, il s'appellera Lucien ! (Comprend qui peut, comme disait Boby).
A Montfort-sur-Meu (Ille-et-Vilaine) le 29 juin 2013 (3)
"Faut bien sur un bateau l'avoir"...
Le souvenir des peintres ?
Le pied marin ?
L'amour de Boby Lapointe ?