Hé ! Ho ! Ce n'est pas la place Saint-Marc ici ! Retournez à Venise !
Une boisson française qui s'appelle Enjoy et qui est "hydration remedy" ? Où on est, là ?
Chez Bouvard et Pécuchet ?
Le principe de la roue de secours appliqué à la chaussure de randonnée.
Lever de soleil sur Berlin La Mabilais.
Un jour le Soleil découvrit l’Amour.
Il avait pris la forme, ou plutôt les formes, d’une jolie petite planète de son système qui passait à heures fixes dans le champ de vision de son regard embrumé.
Elle semblait consciencieuse, travailleuse minutieuse, très gracieuse, harmonieuse. Elle portait sur elle autant de bleu que de vert, des océans, des arbres et des tas d’inventions merveilleuses, comme si elle sortait de chez son habilleuse en arborant par-dessus ses atours une moue malicieuse de midinette luxurieuse. On l’appelait la Terre.
Il eut cette impression curieuse d’une nécessité impérieuse de lui déclarer sa flamme amoureuse. Comme il avait une grosse voix rocailleuse, peu mélodieuse, et était d’humeur écrivailleuse, plutôt que de lui avouer de vive voix, il prit la plus belle de ses plumes et il lui écrivit, dans une atmosphère studieuse, cette odelette un peu laborieuse :
« Ô Terre délicieuse !
Comme tu es radieuse !
Comme tu me sembles mystérieuse !
J’ai une envie furieuse
De te connaître mieuse *
Et l’idée ambitieuse, audacieuse,
Sans fioritures cérémonieuses,
De nouer idylle sérieuse
Avec ta personne glorieuse.
Je t’en prie, ma précieuse,
Montre toi généreuse,
Pourvoyeuse, rieuse, tutoyeuse, amiteuse, miséricordieuse !
Pardonne à ma franchise d’être irrévérencieuse !
C’est trop difficile pour moi de la mettre en veilleuse !
Sache que je te trouve prodigieuse !
T’as de belles yeuses, tu sais ! »
- Embrasez-moi ! a répondu la Terre.
Et c’est depuis ce jours-là que le chêne vert ne pousse qu’en région méditerranéenne, que le Sahara est un désert et que le chameau est différent du dromadaire.
* A l’époque on ne disait pas « plus mieux » mais « mieuse ».
Écrit pour le Défi du samedi n° 803 d'après cette consigne : yeuse (autre nom du chêne vert)
Dans la famille Enselle on a toujours été très à cheval sur les principes.
La mère, Béatrice Enselle, soumet sa petite famille à un régime draconien. Comme elle pratique depuis toujours l’équitation elle refuse qu’on refuse l’obstacle.
Ses enfants , Alec et Rosemonde Enselle, ont donc obligation, à l’école, d’accomplir un parcours sans faute.
Il leur est interdit de se montrer plus sots que les autres et Alec qui fait de la gymnastique prend bien soin de vérifier que le cheval d’arçon est bien doté d’un cé cédille avant de prendre son élan dans le gymnase.
Même si sa bicyclette est encore munie de roulettes à l’arrière Rosemonde Enselle est bien partie pour damer le pion à Jeannie Longo. Enfin à Jacques Anquetil et Raymond Poulidor qui sont, avec Federico Bahamontes, Rudi Altig et Rik Van Looy les représentants incontournables du sport cycliste des années 1960.
Le mari de Béatrice se prénomme Émile mais on l’appelle Bob. Lui apprécie moins le deux roues car c’est son instrument de travail : il est motard dans la gendarmerie nationale. Il lui est arrivé à ce titre d’accomplir une mission sur le Tour de France. Trois semaines loin de la famille à parcourir des routes envahies de badauds qui font n’importe quoi, à rouler par tous les temps, canicule ou déluge, à dormir le soir dans des casernes de villes de province, c’est usant ! Ce qui l’a fatigué surtout dans cette aventure c’est, bien avant que le chanteur Antoine ne le mentionne dans une chanson, l’accordéon d’Yvette Horner.
Dans les repas de famille, quand on lui en laisse l’occasion, il aime à raconter l’autre mission médiatique dont il a hérité pendant un certain temps. En liaison radio avec un pilote d’hélicoptère qui survolait les routes du week-end, il était chargé de faire se ranger sur le bas-côté de la chaussée les véhicules ornés d’un rond rouge marqué RTL (Radio Télé Luxembourg) sur la vitre arrière.
Il se rappelle la jouissance mi-sadique mi-christique qu’il éprouvait en voyant la tête des conducteurs émérites qui se demandaient bien sur quelle portion de cette route de la Somme ils avaient bien pu commettre un excès de vitesse ou un franchissement de ligne jaune – elle est devenue blanche depuis, comme certains de nos cheveux -. De fait il s’agissait de les féliciter et de leur remettre une somme d’argent en remerciement de leur bonne conduite. Il y a un sketch fameux de Fernand Raynaud qui raconte cela et Bob l’interprète chaque année avec succès au réveillon familial.
Avec le grand-père, Victor Enselle, on retrouve le monde du cheval, non plus côté jumping mais en version steeple-chase, courses de trot, attelé, handicap, avec des noms qui sonnent comme Freddy Head, Yves Saint-Martin, Léon Zitrone, Ozo, Roquépine, Auteuil, Longchamps,Vincennes, etc. Lui est un turfiste invétéré qui a toujours plein de pronostics en stocks, de tuyaux dans la cinquième et qui ne rate pour rien au monde la retransmission en direct du prix de l’Arc de triomphe sur l’écran de la chaîne unique de télévision qui diffuse en noir et blanc Télé dimanche, le jeu de la chance, le film du dimanche après-midi, l’émission théâtrale Les Trois coups et le feuilleton Thierry La Fronde.
La famille Enselle ne serait pas complète si on oubliait d’évoquer la grand-mère, Colette, cavalière mérite, amazone élégante et pourtant pourvue de deux seins rebondis que René Magritte, ami de la famille Enselle, immortalisa dans un tableau intitulé « Le Blanc seing ». Depuis son accident provoqué par l’emballement fatal de sa jument Orane de Mazy elle a cessé de monter à cheval mais, toujours risque-tout en diable, ou plutôt en diablesse, elle se déplace dans Paris en vélosolex. Tous les samedis après-midi que Dieu fait elle va jouer au bridge avec Sophie Laglissade, Yvette Laraquette et Simone Fineboule. Qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il maisoixantehuite comme dernièrement c’est là un rendez-vous incontournable, un principe de vie auquel elle ne déroge jamais. D’ailleurs, je ne sais pas si je l’ai dit mais dans la famille Enselle on a toujours été très à cheval sur les principes.
Pondu à l'Atelier d'écriture de Villejean le mardi 16 janvier 2024
d'après la consigne 2324-14 ci-dessous
Logorallye informatico-médical
La vie est compliquée : dès qu’on a besoin de faire appel à la médecine ou à l’administration, il faut de plus en plus maîtriser l'usage du téléphone et de l’outil informatique. Racontez-nous vos derniers démêlés – ou ceux d’un personnage de fiction - avec ces deux corporations (médecins et bureaucrates) et avec ces deux instruments modernes.
Attention. Toutes les dix minutes un mot parasite vous sera imposé par un·e des participant·e·s. En l'occurrence il vous faut insérer dans votre texte, obligatoirement dans cet ordre-là, les mots suivants :
âge - lundi - impro - tard - faon - tronche
A force de s'intéresser à ce qui nous entoure et de ne pas raconter sa vie sur Internet - on n'est pas là pour ça ! - mais d'en parler un peu quand même, voilà qu'on passe aux yeux des gens sérieux pour un chercheur universitaire alors qu'on n'est au fond qu'un touriste rigolo qui s'intéresse au passage des poètes dans le Sud de la Sarthe et aux chanteurs anciens qui nous font encore marrer. Me voilà donc moralement contraint, suite à un courriel d'un chercheur anglophone à moi adressé, d'avouer les sources que j'ai utilisées pour concocter des pages web résumant l'histoire de Charles Cros, poète et inventeur farceur ou plutôt "farcé" puisque par deux fois il se fit doubler par un confrère ayant abouti aux mêmes résultats que lui : Louis Ducos Du Hauron pour la photographie des couleurs et Thomas Edison pour le phonographe. Sans parler d'Arthur Rimbaud pour ce qui est de la poésie !
Si le côté aride mais nécessaire de la bibliographie vous parle peu, rendez-vous au billet suivant où j'ai rassemblé les images et les pistes nouvelles que j'ai trouvées hier soir.
Bibliographie sélective de Charles Cros établie le 15 janvier 2024
1) OUVRAGES CONSULTÉS
Forestier, Louis (1931-.…). - Charles Cros [Texte imprimé] / Louis Forestier. - [Nouv. éd.] . - Paris : Seghers, 1988. - 175 p.-[8] p. de pl. : ill., couv. ill. ; 16 cm. - (Poètes d'aujourd'hui ; 47)
Contient un choix de textes de C. Cros
Sujet(s) : Cros , Charles ( 1842-1888)
Indice(s) Dewey : 841.8 (22e éd.) =
ISBN 2-232-10828-7 (br.) : 60 F
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb34955860s
Notice n° : FRBNF34955860
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[Exposition. Paris, Bibliothèque nationale. 1988/1989]
De fil en aiguille, Charles Cros et les autres [Texte imprimé] : exposition, Bibliothèque nationale 15 décembre 1988-1er avril 1989 / réalisée par le Département de la phonothèque nationale et de l'audiovisuel de la Bibliothèque nationale... - Paris : Bibliothèque nationale, 1989. - 159 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm
Bibliogr. p. 157-159
Autre(s) auteur(s) : Phonothèque nationale (France)
Sujet(s) : Enregistrements sonores – Histoire Téléphone – Histoire Radiodiffusion -- Histoire
Genre ou forme : Catalogues d'exposition
Indice(s) Dewey : 621.389 (23e éd.) =
ISBN 2-7177-1794-3 (br.) : 180 F
Voir aussi : De fil en aiguille, [Charles Cros et les autres] [Enregistrement sonore]
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb350557305
Notice n° : FRBNF35055730
Disponible en ligne sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6534095z/f19.item
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Cros, Charles (1842-1888)
Solution générale du problème de la photographie des couleurs [Texte imprimé] / par Charles Cros. - Paris : Gauthier-Villars, 1869, - 12 p. ; in-8
Extrait du journal "Les Mondes", de M. l'abbé Moigno. 25 février 1869
Sujet(s) : Photographie -- 19e siècle
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb30288418g
Notice n° : FRBNF30288418
Disponible sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61655c
2) OUVRAGES NON CONSULTÉS
Mérillon, Georges (1944-....)
Charles Cros [Texte imprimé] : vie & oeuvre / Georges Mérillon. - Saint-Benoît-du-Sault : Tarabuste éd., impr. 2014. - 1 vol. (37 p.) : couv. ill. ; 15 cm.
- (Brèves rencontres)
Sujet(s) : Cros, Charles (1842-1888)
Genre ou forme : Biographie
Indice(s) Dewey : 841.8 (23e éd.) =
ISBN 978-2-84587-294-3 (br.) : 11 EUR EAN 9782845872943
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb43852453g
Notice n° : FRBNF43852453
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Dardani, Enrica. - Charles Cros [Texte imprimé] : l'inventeur d'un monde nouveau / Enrica Dardani . - Bologna : Pàtron, 1981. - 103 p. ; 25 cm. - (Quaderni di studi e ricerche della Facoltà di economia e commercio dell' Università di Parma ; 5)
Bibliogr. p. 101-102
Sujet(s) : Cros, Charles (1842-1888) -- Critique et interprétation
Indice(s) Dewey : 841.8 (22e éd.) =
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb356322284
Notice n° : FRBNF35632228
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Charles Cros, inventeur et poète [Texte imprimé] : Fabrezan 1842-Paris 1888 : [célébrations du centenaire]. - Villelongue d'Aude : Atelier du Gué, 1988. - 159 p. : ill., couv. ill. ; 16 cm.
Contient un choix de textes de C. Cros. - Bibliogr. p. 60-64 . Bibliogr. des œuvres de C. Cros p. 61
Sujet(s) : Cros , Charles ( 1842-1888)
ISBN 2-902333-02-1 (br.) : 50 F
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb34947207z
Notice n° : FRBNF34947207
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Cros, Charles (1842-1888). - Inédits et documents [Texte imprimé] / Charles Cros ; recueillis et présentés par Pierre E. Richard. - Villelongue-d'Aude : Atelier du Gué ; Rémoulins : J. Brémond, 1992. -271 p. : ill. en noir et en coul. ; 23 cm.
Richard, Pierre Edwis (1951-....). Éditeur scientifique
Sujet(s) : Cros , Charles ( 1842-1888) -- Archives
Indice(s) Dewey : 841.8 (22e éd.)
ISBN 2-902333-15-3 (erroné) (Atelier du Gué). - ISBN 2-903108-13-8 (J. Brémond) (br.) : 250 F
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb36663092p
Notice n° : FRBNF36663092
3 ARTICLES NON CONSULTÉS
Isler-de Jongh, Ariane. - Inventeur-savant et inventeur-innovateur : Charles Cros et Louis Ducos du Hauron. Les commencements de la photographie en couleurs.
In :
Revue d'histoire des sciences Année 1982 35-3 pp. 247-273
Disponible en ligne sur Persée :
https://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1982_num_35_3_1849
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Musacchio, Saman. - Ainsi naquit la photographie des couleurs
in :
CNRS Le Journal.fr 23.08.2018
accessible en ligne :
https://lejournal.cnrs.fr/articles/ainsi-naquit-la-photographie-couleur
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4 MANUSCRITS
[Charles Cros]
Recueil de photographies
Auteurs : Cros, Charles (1842-1888) ; Cros, Henry (1840-1907) ; Bernard, Jacques
Date :[1877-1882]
Sujet :
Cros, Charles (1842-1888)
Photographies en couleurs -- 19e siècle
Description matérielle
1 vol. ([6] pl.-18 p.) ; 55 cm
Lieu de publication
[Lieu de publication inconnu]
Note
Charles Cros réalisa ces essais de photographies en couleurs (Nature morte au portrait) dans le château du Duc de Chaulnes à Sablé dans la Sarthe en 1877
Note de contenu
Notice manuscrite sur Charles Cros par Jacques Bernard accompagnée d'un portrait de Charles Cros (dessin à la mine de plomb) par Henry Cros et de cinq essais de photographies en couleurs par Charles Cros
Note complémentaire
La photographie intitulée Nature morte au portrait (1877) donne à voir divers objets dont une assiette représentant Nina de Villard (modèle de Manet) et une cire polychrome encadrée d'Henry Cros, très probablement Elisabeth de France
Nombre de vues
30
Identifiant numérique
NUM MS 296
Bibliothèque d'origine
Bibliothèque de l'Institut National d'Histoire de l'Art, collections Jacques Doucet
Consultable en ligne sur la Bibliothèque numérique de l’INHA :
https://bibliotheque-numerique.inha.fr/viewer/15702/?offset=#page=1&viewer=picture&o=bookmark&n=0&q=
Le document du recueil Charles Cros de l'INHA
Le tableau original au Musée d'Orsay à Paris.
Il y a un problème quelque part !
Dans le recueil de l'INHA figure cette photographie d'un tableau intitulé "La Femme à l'éventail". Elle aurait été réalisée entre 1877 et 1882 par Charles Cros. Celui-ci est décédé en 1888. J'ai évidemment cherché le tableau original sur Internet et l'ai trouvé. L'auteur en est Abel Faivre qui est né à Lyon en... 1867 ! Il aurait eu quinze ans en 1882 ! Un Mozart du pinceau qui aurait réalisé ce portrait à l'âge de quinze ans ? Pas du tout ! On trouve un peu plus loin la date de réalisation de l'oeuvre : 1901 ! Charles Cros et ses frères auraient-ils inventé le voyage dans le temps ou l'immortalité ? Le cliché étant bien mieux coloré que le tableau, notre ami le célèbre natif de Fabrezan aurait-il omis de déposer le brevet de son premier Photoshop ? ;-)
***
La recherche de documents sur l'histoire de la photo et les déboires de Charles m'a fait découvrir une nouvelle île aux trésors. Il s'agit du site laporteouverte.me. Le tenancier du lieu publie là depuis 2012 (!) des articles parus dans des journaux anciens avec les illustrations d'époque en grand format ! C'est bigrement plaisant et on s'intéresse beaucoup sur ce site à Charles Cros, Alphonse Allais, etc.
Voici ce que l'on peut trouver là sur Charles Cros :
https://laporteouverte.me/?s=Cros
Et voici un choix d'illustrations enregistrées au cours de ma navigation ;
La plaque commémorative au 9 rue de Tournon à Paris de la mort de Charles Cros
(Photo appartenant à Monsieur N. et datée de 1927)
Charles Cros par Willette (illustration dans "Le Pierrot" pour l'article nécrologique d'Emile Goudeau sur Charles Cros)
Les Sept boules de cristal !
Le frontispice de l'Album zutique est d'Antoine Cros...
... ainsi que cette eau-forte représentant un monstre.
Ces deux illustrations signées Rossetti n'ont rien à voir avc Charles C. mais je les aime bien quand même !
Ecouté ce midi sur France-Musique le quatrième épisode de l'émission "Tour de chant" consacré à Marie-Paule Belle. On y évoque la chanson "La Biaiseuse" et les autres perles du répertoire 1890-1920 qu'elle a repris dans un disque de 1982 intitulé "Mon premier album". Je me souvenais de "Prenez un vieux", d'"Emilienne" et de "Les petits pavés" mais j'avais perdu de vue ou je n'avais jamais entendu "Nous nous plûmes", une chanson de Dranem que, "du coup", j'ai mise dans ma guitare ! Je partage ci-dessous les paroles et les accords que j'utilise pour ce chef d'oeuvre de bébêtise... que j'adore !
