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Mots et images de Joe Krapov

9 juin 2014

Se cultiver à Bordeaux le 8 juin 2014 (1)

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Que Bordeaux fut anglaise...

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9 juin 2014

Se cultiver à Bordeaux le 8 juin 2014 (2)

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.
.. Comment eussé-je pu le deviner ?

(Sur le précédent billet, un autoportrait raté des pieds de Joe Krapov et de Marina Bourgeoizovna : on reconnaît bien les pompes de marcheur urbain et la spartiate de la marcheuse d'allure guerrière).

9 juin 2014

Aventures de tortues à Bordeaux le 8 juin 2014

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Est-ce le syndrome du nain de jardin d'Amélie Poulain ? Toujours est-il qu'une génération de Japon(i)ais(es) se promène actuellement avec un ours en peluche qui prend la pose partout où ces gens passent. C'est un rite religieux, l'équivalent d'une image pieuse ? Une icône ? Pardon, un Nikon ? ;-)

C'est, de toute façon, plus rigolo que de faire des selfies à Barcelone ! A part ça, bravo au sculpteur!

9 juin 2014

Le temps des cerises au Barp (ou à Le Barp) (Gironde) le 8 juin 2014

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Matin de cerises...
Cueillir des gouttes de pluie
Pour pendants d'oreilles ?

8 juin 2014

LA CURE DE REPOS D'ISAURE CHASSERIAU

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Situé en lisière d’un bois, l'hôpital psychiatrique était un vaste complexe gris comme notre immeuble. La procédure d’admission dans l’établissement fut relativement simple. On enregistra son nom et son prénom, Chassériau Isaure, sa date de naissance, 1er avril 1818 et les raisons de son admission pour une cure de repos : « hallucinations inexplicables ». On lui donna une chambre agréable avec une fenêtre sans barreaux. Elle se mit tout de suite à la fenêtre, contempla l'immensité bleue du ciel et ne rêva plus de sortir pour partir à la recherche de « sa ville idéale».

Dans un cahier à petits carreaux, elle se mit à noter ses rêves, à parler de ce monde à elle qui l’avait envahie et lui avait fait perdre le sens des convenances nécessaires à la vie bourgeoise en cet an de grâce 1845. Dans le premier cahier elle parle d’un établissement nommé « Le vieux Saint-Etienne », sis rue de Dinan dans une ville nommée Rennes-en-Délires. Derrière le comptoir de ce mastroquet imaginaire, il y avait le patron, un type nommé Camille Cinq-Sens, son « oncle », chez qui passer un samedi sans rire relevait du défi pur et simple. Là en effet se réunissaient de drôles de clients qui jouaient aux cartes en philosophant à haute voix sous forme de « brèves de comptoir » ou de dialogues plus ou moins absurdes.

- Il ne faut pas oublier que dans « Brèves de comptoir, il y a « toir » !
- Et il faut songer que c’est hasardeux d’aller à Thouars !
- J’y suis allé, moi, l’année où j’ai participé au Festival des jeux de Parthenay. Il y avait une jolie fontaine à laquelle il ne fallait pas dire « je ne boirai pas deux tonneaux ».
- Tout ça, c’est une histoire de capacité. Pour un poète ne pas avoir de capacité en droit est moins gênant qu’avoir une incapacité en vers !
- Et contre tous !

D’autres fois Camille Cinq-Sens, Jacques-Henri Casanova et Jean-Emile Rabatjoie s’asseyaient autour d’une table et découpaient des images dans des magazines illustrés.

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- Encore un que les clients du coiffeur ne liront pas, disait l’un en jetant le périodique désossé dans la grande corbeille amenée à cet effet !
- Ils ne risqueront pas, c’est un « Télérama ». Je l’ai piqué chez le dentiste.
- Dis donc, il y a longtemps qu’on n’a rien découpé avec les carrés verts ?
- Ah oui, le jeu des douze images en 4x4 ! Mais ça c’est pour écrire et là vous découpez pour que je puisse faire des collages.

D’autres jours, il y avait des animations musicales dans l’établissement. Un guitariste et un accordéoniste venaient s’exciter sur « La Java bleue », « Tel qu’il est » ou « Quitte-moi pendant la coupe du monde » et sur leurs instruments respectifs tandis que deux chanteuses blondes et une rousse papotaient plus qu’elles ne vocalisaient. De toute façon les deux musiciens russes, Krapov et Kaïrakovsky, n’en finissaient jamais de ne pas se mettre d’accord sur la tonalité du morceau, le nombre de croches que le pianiste à bretelles modifiait sur la partition commise par le gratteux à ceinture sur Noteworthy Composer.
- C’est des noires ! Rechante- le pour voir!
- Chanter c’est pour écouter, c’est pas pour voir !

Cette équipe-là, plus jeune, avait un travail et de ce fait ils semblaient plus épuisés et épuisants que les papys découpeurs et fendeurs de cœur.
- Un jour, je serai libre à jamais ! lançait parfois Joe Krapov. J'ai fait tout le chemin qui va de l'école au collège, du collège au lycée, du lycée à la fac, de la fac au travail, j'ai changé plusieurs fois de boîte et pour la première fois on me laissera sortir pour ne plus revenir. Je ne sais pas ce que j'aurai gagné. Un aller simple pour un voyage chez Kirikou l'Ankou ? Le droit de réécrire en phrases courtes la « Recherche du Temps perdu » ? Ou le plaisir du temps retrouvé et des apprentissages aussi tardifs que les vendanges ? Apprendre la sculpture, le dessin animé image par image avec des statuettes en pâte à modeler, faire du théâtre et jouer avec une robe et des chaussures à talons hauts un rôle travesti ? J’ai toujours rêvé d’interpréter le répertoire de Fréhel avec une perruque de Sabine Azéma, un collier de perles et du rouge aux lèvres !
- Maintenant que ce sont des femmes à barbe qui remportent le concours de chant de l’Eurovision, tu peux faire ce que tu veux, tu ne surprendras plus personne ! De toute façon, en Ille-et-Vilaine, tout le monde s’en fout de la musique. Le plus important, c’est de bagouler avec sa voisine et avec une galette-saucisse à la main !
- Je sais ! Je sais ! Je sais que je ne suis pas là pour surprendre le monde mais j’avoue que le monde, lui, me surprend ! Avant on avait le droit de cracher dans la soupe : elle était vraiment mauvaise. Maintenant il n’y en a plus assez pour tout le monde et plus personne ne dit rien. Pire que ça, les gens s’en vont élire des cracheurs professionnels qui seront payés onze mille euros par mois pour foutre le feu à la cuisine !
- Arrête donc de parler de tes glaires, Krapov, on va passer à table d’ici peu, nous ! l’interrompt Camille.
- C’est sûr qu’avant, c’était mieux, commente Kaïrakovsky. Je me souviens que Gabriel, mon frère, piquait des pinces à linge à maman. Il s'en servait pour attacher un bout de carton sur le cadre de son vélo. A chaque tour de roue, cela faisait un bruit de pétarade. Il jouait à faire de la mobylette en gueulant par-dessus ça comme un Apache jusqu'au carrefour. Mais c'est vrai qu'on est devenus tous un peu fous depuis la disparition d'Isaure Chassériau.
- La dernière fois qu'on a eu de ses nouvelles elle était dans le petit village de pêcheurs de Trentemoult, près de Nantes.
- Est-ce qu’elle s’habillait toujours en rose ?
- Paraîtrait que non.

L’oncle Camille s’immisçait volontiers dans la conversation du Club des cinq.

- Avant ça, il y a d'abord eu un autre événement, majeur, primordial en ce qui nous concerne. Nous avons refusé de lire « La Bicyclette bleue » et nous avons préféré fréquenter les filles des forges, dont la fameuse Régine, celle qui avait un boa. Il faut toujours préférer la vie aux livres car les jouissances sont plus diverses et l’exercice ça ne fait pas plus de mal aux gens que de manger cinq fruits ou légumes par jour, même si chez nous c’était plutôt bidoche, patates et charcutaille, histoire d’alimenter sans le savoir notre taux de cholestérock’n’roll !
- Moi je n’en ai pas eu longtemps de cette maladie-là ! répond Krapov. J’ai supprimé le beurre et l’argent du beurre c’est Marina B. qui le dépense quand elle promène son QI sur les remparts de Varsovie ou son quant-à-soi sur les ramblas de Barcelone. Mais c’est vrai, quand Isaure est partie de chez nous, j’ai bien profité de ses archives pour alimenter un site web nommé Rennes-en-Délires. Il fallait faire montre de fantaisie, visiter la cité avec un regard neuf, y piocher de quoi rire ou sourire, réécrire l'histoire de cette ville d'art et de bizarre qu’est Rennes.

***

Isaure neige

Elle prit vite ses habitudes à l’hôpital. Le personnel était gentil et l’effet des cachets qu’on lui donnait ne se faisait sentir que le soir. Comme si, dans la journée, les infirmières s’étaient trompées de médicament. Ou bien, comme quand, après une longue marche, on a les endorphines qui travaillent encore et on se sent prêt à embrayer sur un autre exercice physique.

Comment se faisait-il qu’elle soit autant inspirée ? Au fil des jours les cahiers, car il lui en fallut plusieurs, se remplissaient. D’où venaient tous ces personnages bavards qui coupaient la parole à sa plume, avec lesquels elle semblait tout à fait complice alors que d’habitude, le regard presque éteint, l’apparence toujours réservée, elle semblait posée là, discrète et immobile, comme une cousine de province en visite à Paris, comme si elle était habitée par la peur de déranger un grain de poussière de la surface du monde, comme si elle veillait à ce que, du bouquet d’églantines de sa coiffure, aucune fleur ne tombât jamais ?

- J’ai la réponse, ricanait l’oncle Camille. C’est comme quand ils m’ont donné du Fludex pour mon hypertension. C’était marqué sur la notice ! Ca faisait le même effet que l’EPO en intraveineuse à un cycliste qui planque du fric en Suisse et qui regarde le Tourmalet et Isaac et l’Aubisque de homard les yeux dans les yeux en disant que, sans mentir, c’est Zigomar et Pussomar qui m’ont tuer ! Tes cachets, ma pauvre Isaure, ce sont eux qui font tout le boulot ! Comme le chapeau d’Amélie Nothomb. Retire-le lui et il n’y a plus d’écrivaine. Ou comme celui de Neil Young ! A croire qu’ils dorment avec la nuit ! Des chapeaux de magiciens dont il sort des lapins à profusion et certains ne valent pas un pet.
- Putain ! Et il s’y connaît l’oncle en cuniculiculture !
- En même temps, dit une des deux blondes, ca doit pas être top d’épouser un presti-digi-tâteur ! On ne doit avoir droit qu’à des coïts furtifs !

Fallait-il y voir un signe du destin? Lorsque la nuit tombait les nuages s'assombrissaient, leurs formes devenaient inquiétantes et un enfant apeuré ou un être trop imaginatif y auraient vu peut-être 99 dragons aux aguets attendant Saint-Georges de pied ferme, la gueule prête à cracher le feu. Quand ses paupières devenaient lourdes, Isaure, apaisée, sereine, reposait la plume dans l’encrier et allait se mettre au lit. Elle s’endormait alors très vite et toutes les nuits, elle rêvait qu’elle allait visiter un musée. Elle passait devant une chasse au tigre, des oiseaux hollandais, une jeune mère et son nouveau-né, une scène biblique et lorsqu’elle arrivait devant le tableau ovale avec le magasin de magie, elle entrait dans le tableau, poussait la porte  et elle oubliait tout.

 

DDS 301 isaure et la boutique de magie

Ecrit pour le Défi du samedi n° 301 d'après cette consigne
et aussi à l'Atelier d'écriture de Villejean du 27 mai 2014 d'après la consigne n° 1 de l'Atelier de Zulma

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8 juin 2014

AH ! DIEU, VEAUX, VACHES, COCHONS LIBERES QUI S'ENVOLENT !

Lorsque les vaches volent, Djamel se gare des bouses. Elles pleuvent par douze, s’amassent en monceaux, atterrissent en rond et dans le saint des saints de ce cercle d’initiées les nouveaux religieux de l’ordre du Tartuffe viennent caresser l’espoir que poussera ici l’aiguille du Midi.

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L’aiguille du midi, c’est l’heure du maçon. J’écris alors au fil à plomb, avec un vil aplomb, des histoires verticales sur les murs de la ville. Le passant peu pressé s’arrête, lit mes bêtises et se gondole comme Sheila et Ringo à Venise. Il lui pousse au thorax un maillot à rayures et, sur sa tête hilare, un beau chapeau de paille avec un ruban rouge. L’Eglise Notre-Dame devient un campanile qui penche pour la solution de faciliftée et la Vilaine se refait une beauté en détournant son cours vers celui de la lyre ou plutôt de la lire car on y est revenus depuis que la nymphe Europe fait de l’œil aux taureaux de son beau regard franc aux lignes bleues des Vosges. Midi c’est l’heure de casser la croûte pour le maçon mais pour cent bricks, tu n’as plus rien comme bateau sinon ceux de papier que tu peux fabriquer si tu as retenu les schémas de l’enfance.

Justement, la vieillesse c’est quand tu t’aperçois que tes souvenirs d’enfance n’intéressent plus personne, que Cyrille Guimard n’a jamais décroché son doctorat d’espoir et qu’on ne te volera pas le vélo à son nom, pas plus qu’un Poulidor, car il ne fait pas bon arriver en second au pays où les loups portent des masques d’homme, voyagent en avion, abattent des forêts pour pousser leurs camions. Les arbres explosent en silence, tous les Chinois rêvent d’un carrosse à défaut de trouver une Chinoise à leurs pieds car ils ont trop serré le numérus clausus et ne croient pas au Père Noël.

Le temps s’arrache, inexorable, de la machine à lover et le tambour s’attache à délaver l’inessorable, à blanchir le persil des narines, à coller des pains à l’azyme glouton, à réduire les bonus sans nous faire de cadeaux sauf à Arielle Dombasle que j’échangerais bien contre deux barils de poudre d’escampette quand elle chante ou quand BHL trompette. Direction un pays de cathédrales folles, de vaisselle cassée, de montres molles, de maisons sans lignes droites, de fenêtres monstrueuses pour dévorer l’ado qui ne sort plus de sa turne.

Thabor compo

Direction le parc du Thabor ! Je promène un jardin au bout d’un baluchon, je capture des ailes d’anges tatouées sur des blousons, je regarde bronzer les dernières liseuses même pas numériques, j’envie les affalées aux âmes d’azalées, le nez dans le soleil, les pieds dans la fontaine. Je me nourris des roses, de ces monceaux de roses qui parfument la ville et je pourrais mourir avec la bouche bée pour peu que les abeilles viennent butiner ma luette, ma gentille luette et je me plumerais avec tout le Québec en ces temps de Canada dry et de sécheresse de ton des chenilles qui disent « Minute » aux papillons.

trois boutons de rose

  La postière est enceinte et ça n’est pas de moi de m’en aller ainsi, de la vieille sacoche du facteur suicidé que chantait Moustaki vers la boîte timbrée du village de Trentemoult : je ne me poste pas sur le pas de la porte pour qu’on m’enveloppe du regard ou pour qu’on m’affranchisse du cachet des vedettes ou de leurs secrets d’alcôves . Je me tamponne de certaines flammes. Si mon timbre résonne, c’est que sur le chemin, escarpe de Paulette, je m’apprête à rouler de nouveau, narquois, la société qui m’offre des vacances. Quand la vie m’enchante, je chante !

boîte

La postière est en sainte. Le bébé qui naîtra sera sain d’esprit et de corpore sano. Il aura Vénus en lion et la laine en mouton dont il suivra le fil afin de découvrir au bout de son chemin l’étoile du Berger. Moi, de toute façon, je suis comme Maryvonne, je ne sais plus où j’habite. Je lui laisse les pépins, au mouflet. Qu’il renaisse en pommier, moi je garde la cerise, je continue d’écrire sans trop savoir pourquoi, sans trop savoir comment, les mêmes cartes postales qui font plaisir aux gens même s’ils les reçoivent après que je suis revenu mettre un coup de soufflet dans l’anus des cochons afin qu’ils volent vers Monterfil pour y jouer du biniou. C’est quand même grâce à moi, à mon souffle magique, à mes fausses notes de rêve, qu’il pleut de la saucisse sur toute l’Ille-et-Vilaine, non ?

Et tant pis pour ceusses-là qui n’ont pas de galette. Comme a écrit Jules Verne « Seul est vraiment libre l'homme qui ne possède rien ».
- Justement , répond l’oiseau-Bakounine, ma propriété, c’est le vol !

S’il n’y avait pas ces faillies vaches qui planent, nous étonnent et nous tannent d’explosions de méthane, on serait au paradis, non ? 

Bien sûr que si, et cela même dans une Bretagne à quatre départements !

MIC 2014 06 02 cochon gallésie

Ecrit à l'Atelier d'écriture de Villejan pour "Un mot, une image, une citation" du 2 juin 2014 d'après cette consigne :

Un mot : monceau
Une image :

Une citation : Seul est vraiment libre l'homme qui ne possède rien. - Jules Verne

et en s'inspirant de ce texte de Jean-Marc La Frenière

6 juin 2014

Les drôles d'oiseaux du Muséum à Nantes le 24 mai 2014 (1)

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Personne ne s'émeu devant cet oiseau mort ?

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Ah ben alors c'est que tout fout l'péli-can !

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C'est pire ! Parfois, pour s'amuser, les hommes d'équipage...

6 juin 2014

Les drôles d'oiseaux du Muséum à Nantes le 24 mai 2014 (2)

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A oublié de mettre sa tête dans le sable.

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Casoar de Saint-Cyr Coëtquidan ?

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Canard mandarin

6 juin 2014

Les drôles d'oiseaux du Muséum à Nantes le 24 mai 2014 (3)

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Un ..... au long bec emmanché d'un long ...

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El ...... pasa !

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Gypaète... plus haut que son barbecue ? Eh non ! Ca n'est pas non plus un aigle royal !

6 juin 2014

Les drôles d'oiseaux du Muséum à Nantes le 24 mai 2014 (4)

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Le macareux, dont l'effigie à la gloire de la Ligue de Protection des Oiseaux, n'a jamais quitté la vitre arrière de notre véhicule jusqu'à ce que, mode oblige, la bigoudène d'A l'aise Breizh vienne nous signifier que "les conneries à la Renaud,  c'est fini : on est tous des bobos, maintenant !" ;-(

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Vu comment que c'est la crise, c'est vrai qu'on aurait plutôt l'air de cacatoès... huppés !

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L'oiseau Quetzoal ! Je n'imaginais même pas qu"il existât pour de vrai !

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