Dans chacune des villes où je passe, je trouve toujours une incitation à continuer "99 dragons : exercices de style". Je m'y remettrais bien mais c'est que, voyez-vous, ce n'est pas de la petite bière !
Dans cette petite librairie d'occasion j'ai trouvé "Tous les coups sont permis", le dernier des recueils de nouvelles de William Irish qui manquait à ma collection. Le marchand m'a dit : "Quand une collection est complète, c'est la fin du collectionneur". Ce n'est pas faux. Quand je les aurai tous lu, j'irai peut-être m'en débarrasser je ne sais pas où. Peut-être pas. Je garderai peut-être la série des Irish... en 10-18 alors que c'est dans ce recueil-ci, en livre de poche, que se trouvent les meilleures nouvelles de cet auteur.
On m'a donné l'adresse et les horaires d'un club d'échecs. Vais-je craquer ?
Je connais le gars qui a posé cet autocollant : c'est mon ancien voisin du rez-de-jardin !
Ca, ça doit vouloir dire : "Ne te pose pas de question !". Traduit du latin depuis ma cuisine !
Photo prise dans la cour du CROUS.
- A Toulouse comme partout ailleurs, la délicatesse des étudiants peut quelquefois atteindre des sommets proverbiaux !
- Tu ne comprendras donc jamais rien à l'art moderne, Joe Krapov ?
Une enseigne canon !
Penny lane ?
Arnold Layne + The Bike = Syd Barrett !
(Ne cherchez pas, je me comprends et les fans du premier Pink Floyd aussi !)
Nous sommes ici au bas de la place des Lices, plus précisément sur le côté de la place du bas des lices. C'est le parvis de l'église Saint-Etienne.
Cela fait dix-neuf ans que je vis à Rennes et je n'étais jamais entré dans cette église-ci. Comme dit l'autre : "Ce n'est pas ma culture". Mais maintenant j'entre : ce n'est pas écrit sur ma figure ! Et personne ici ne m'interdit de photographier !
Peut-être ne suis-je sur terre que pour capturer semblables lumières.
Oui, je sais : ça ne sert à rien, qu'à me faire du bien !
Il y avait aussi une chouette lumière dehors ce jour-là.
