A Parcé-sur-Sarthe le 9 juillet 2018
C'était très drôle de parcourir les rues de ces charmants petits villages dans lesquels les habitants semblent vivre calfeutrés. Ca nous a redonné l'impression que nous avons ressentie lors du bilan avant notre départ pour Rennes : nous avons bien vécu ici mais nous sommes toujours restés des étrrrangers. En même temps, moi, ça me va bien, le statut de "mec zarbi" et la vie de touriste !
Pèlerinage à Dureil (Sarthe) le 9 juillet 2018
L'Auberge des Acacias à Dureil n'est plus. A moins d'une résurrection soudaine, il ne me semble pas que nous reprendrons cette petite route entre Parcé et Malicorne. Elle menait, à travers bois, à une auberge de charme, isolée à l'entrée de village de Dureil, dans laquelle on mangeait très bien. Je me souviens d'avoir imaginé là, pour les enfants que nous avions à l'époque, une histoire à propos de la tête de sanglier suspendues au-dessus de la cheminée : "Dans la cuisine, qui est située derrière, ce sont les pattes et la queue qui sont accrochées !".
Quelques temps plus tard, dans le téléviseur de leur grand-mère, nous avons vu "Lapin chasseur" de Jérôme Deschamps et Macha Makéieff. La même idée de décoration de la cuisine avait été reprise par les auteurs des Deschiens !
Malicorne-sur-Sarthe le 9 juillet 2018
Le héros bleu est fatigué ? Aux Tombées de la Nuit le 6 juillet 2018 (1)
Après de multiples tâtonnements, les Tombées de la Nuit sont revenues en centre ville et se sont recentrées, chronologiquement, sur la première semaine de juillet. Je ne suis allé voir qu'un seul spectacle, une déambulation intitulée "Blue tired heroes" dans laquelle mon complice de théâtre, M. Pierre-Antoine, tenait le rôle du super-héros n° 4. Si vous voulez voir un aperçu de ce que j'ai zappé, c'est ici !