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Mots et images de Joe Krapov

29 juillet 2023

PAS ENCORE TOUT A FAIT AMNÉSIQUE. 4, Bilan carbone et poudre blanche

DDS 778 bonhomme de neige familial

Dans l’histoire de l’humanité, parmi les huit milliards d’êtres humains que porte cette planète, nous n’avons pas plus d’importance, les un·e·s et les autres, que le bonhomme de neige qui figure sur cette vieille photo en noir et blanc.

Mais à écouter les bavards impénitents des radios et télés, les Savonarole modernes, les contempteurs , les accusatrices, les imprécateurs, nous sommes quand même les responsables et coupables du réchauffement climatique. Surtout si nous sommes nés avant 1980 !

Alors oui, il est temps de passer aux aveux : j’ai, moi aussi, un bilan carbone !

Je ne suis pas là pour raconter ma vie mais le travail de numérisation de photos et de diapositives auquel je me livre depuis que je dispose de plus de temps libre m’en apporte la preuve ultime : j’ai voyagé.

« J’ai voyagé de Brest à Besançon, Depuis La Rochelle jusqu’en Avignon, De Nantes jusqu’à Monaco, En passant par Metz et Saint-Malo » chantait déjà Graeme Allwright alors que Greta Thunberg était tout sauf née et que le seul type intéressé par les soulèvements de la terre s’appelait Haroun Tazieff. Il était volcanologue.

Il se trouve que je suis passé par Longchaumois, Tignes et La Bourboule et j’en viens à me demander si ces vacances d’hiver que nous prenions au siècle dernier n’étaient pas, outre une réponse à une incitation sociétale à la consommation de séjours dans des contrées montagneuses autant qu’enneigées, une recherche inconsciente de cette magie blanche de 1963 ou de cette aventure liée au premier voyage effectué en dehors de la famille : la classe de neige du collège Franklin de Lille.

Classe de neige du lycée Franklin (Philippe

Quoi qu’il en soit et quoi qu’il m’en coûte je vais recourir à mon aide-mémoire préféré pour ce "plaider coupable", pour cette autocritique rigolarde d’aérodromophobique n’ayant jamais pris l’avion. Dans ma liste de négatifs noir et blanc et couleurs et de boîtes de diapositives, voici, mesdames et messieurs les juré·e·s, les années et les endroits où je suis allé, en voiture ou en train, pratiquer le ski de descente, le ski de fond, la raquette, la raclette – autant celle qui consiste à déglacer le pare-brise que le plat régional savoyard renommé - et le gadin dans la poudreuse :

1966 Tignes Les Brévières (Savoie)
1967 Entremont (Haute-Savoie)
1977 Bogros par Messeix (Puy-de-Dôme) avec ski sur le plateau de Charlannes au-dessus de La Bourboule)
1978 idem
1979 idem
1980 idem
1981 idem
1981 Le Grand Bornand (Haute-Savoie)
1982 Bogros par Messeix (Puy-de-Dôme)
1984 Longchaumois (Jura)
1985 Longchaumois (Jura)
1987 Les Rousses (Jura)
1989 Lans-en-Vercors (Isère)
1991 Compains (Puy-de-Dôme)
1992 La Garandie (Puy-de-Dôme)
1994 Longchaumois (Jura)
1995 Serre-Eyraud (Hautes-Alpes)
2000 Prémanon (Jura)
2001 Les Rousses (Jura)
2002 Puget par Saint-Eustache près du lac d’Annecy (Haute-Savoie)

En attendant mon prochain procès relatif à mes oedipiens « déplacements pour voir la mer » vous pouvez désormais, mesdames et messieurs les juré·e·s, vous retirer pour délibérer sur mon pendable cas. Le temps que vous preniez une décision, juste ou pas, j’aurai, comme les trois enfants et le bonhomme de neige de la photo, disparu ou fondu !

Que je sois coupable où non, qu’on m’envoie « ballader » ou qu’on m’envoie me faire pendre, ça n’est pas ça qui vous dira où elles sont passées, les neiges d’antan ! 

Ecrit pour le Défi du samedi n° 778 d'après cette consigne (la photo ci-dessous)

DDS 778 133489615

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27 juillet 2023

Sur le circuit de la Mancelière à Baguer-Pican (Ille-et-Vilaine) le 11 juillet 2023 (1)

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On ne demande jamais rien à Joe Krapov ! Eh bien on a bien tort !
Il paraît que tout le monde est écrasé de chaleur en ce mois de juillet. Pas nous !
Exactement comme Nasr Eddin Hodja, j'ai la solution à vos problèmes : depuis que, pour nous protéger du soleil, nous avons installé le barnum dans notre jardinet, il pleut !

27 juillet 2023

Sur le circuit de la Mancelière à Baguer-Pican (Ille-et-Vilaine) le 11 juillet 2023 (2)

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Ce jour-là fut assez sportif : nous sommes allés à vélo faire les courses à Dol-de-Bretagne. Ça ne fait pas tout à fait douze kilomètres mais la côte pour remonter à Baguer-Pican est toujours aussi dure. J'ai failli mettre pied à terre mais il me restait encore un dernier pignon à passer et je n'ai donc pas eu à connaître ce déshonneur.

Sur le coup de 13 h 30 je suis allé faire dix longueurs à la piscine. J'aurais pu en faire plus mais je déteste nager quand les kékés crétins sautent des bords de la piscine en faisant la bombe et en gueulant comme des ânes.

Et l'après-midi nous avons randonné sur ce circuit autour de Baguer-Pican en empruntant des chemins creux et le parcours sportif pour le retour. Deux heures et demie pour neuf bons kilomètres.

27 juillet 2023

Sur le circuit de la Mancelière à Baguer-Pican (Ille-et-Vilaine) le 11 juillet 2023 (3)

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Guide des randonnées autour de Baguer Pican 2018 3

27 juillet 2023

LE JEU DE L’AMOUR, DU HASARD ET DES MOTS MÉLANGÉS

Marivaux lance les dés 2

Le jeu se joue avec trois dés.

Le résultat d’un lancer donne un nombre à trois chiffres qui se lit en allant du plus petit chiffre au plus grand. Si l’on fait par exemple 1 et 2 et 3 on lit 123 et non 213 et encore moins 312.

Il y a donc cinquante-six possibilités qui sont listées dans le tableau ci-dessous.

Dans ce tableau, en face de chaque nombre est écrit un mot tiré d’un problème de mots mêlangés du journal « Ouest-France dimanche ».

Le but du jeu est de réécrire la pièce de théâtre « Le Jeu de l’amour et du hasard » de Pierre de Marivaux. L'oeuvre est divisée en trois actes qui comprennent neuf scènes pour le premier acte, treize pour le deuxième et huit pour le troisième soit trente scènes.

En fonction du nombre de joueurs – ou de participant·e·s à l’atelier d’écriture – on se répartit les scènes à réécrire.

Si l’on est seul à jouer on se donne trente jours. Le premier jour on lance les dés, on note le mot correspondant au tirage dans le tableau et on réécrit la scène 1 de l’acte 1 avec pour seule obligation d’insérer dans la nouvelle version du texte le mot imposé. On ne touche pas à l’ordre des répliques, aux noms des personnages, aux didascalies mais on peut réécrire à sa sauce tout ce qui est dit dans la scène. On peut supprimer ou ajouter des phrases mais on doit garder le sens général de la scène.

On procède de la même manière le lendemain pour la scène 2 et ainsi de suite jusqu’à l’écriture du mot fin.

Bonne écriture ! Vous ne pourrez pas dire que c’est de ma faute – ou de celle de Dame Licorne – si votre été 2023 n’a été ni créatif, ni littéraire, ni ludique !

Tirage des dés Mot à insérer Tirage des dés Mot à insérer
111 arsenic 235 follower
112 baobab 236 forban
113 bigarré 244 jeteur
114 biniou 245 mienne
115 dextre 246 oculiste
116 dualité 255 parpaing
122 forçat 256 pizzeria
123 glycine 266 salamalec
124 grandiose 333 tartelette
125 hermétique 334 trampoline
126 obnubiler 335 vrombir
133 obscène 336 ylang ylang
134 Osso bucco 344 apache
135 polaroïd 345 baldaquin
136 raccourci 346 courge
144 réel 355 débat
145 saga 356 frangin
146 scolaire 366 indéfini
155 sierra 444 ouistiti
156 soigné 445 psychose
166 trame 446 ramadan
222 vieillir 455 ratissage
223 azimuté 456 seigneur
224 bicoque 466 synthèse
225 cabri 555 Tantale
226 estomac 556 tapioca
233 éternelle 566 tracas
234 fermette 666 zouk

Ecrit pour le jeu n° 84 de Filigrane d'après cette consigne

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25 juillet 2023

Récital d'opéra à Transat en ville à Rennes le 19 juillet 2023 (1)

Excellente soirée en compagnie de trois artistes lyriques et d'une pianiste survoltée pour ce premier Transat en ville de l'année 2023 sur la place de la Mairie. Je n'ai malheureusement pas pu récupérer le programme des oeuvres interprétées - il y avait du Bizet, du Mozart, Offenbach et le Duo de la mouche -, la sono avait un peu trop d'aiguës mais le public était d'un calme olympien et d'un enthousiasme olympique et nous aussi. On y retournera l'année prochaine et on essaiera de ne pas oublier l'opéra en plein air du mois de juin !

Pour en savoir plus et entendre ces merveilleux interprètes, allez donc traîner par ici :https://www.unidivers.fr/transat-en-ville-recital-opera-de-rennes/

P.S. Je vais récupérer le texte de l'article d'Unidivers et le coller à la fin du billet : rien ne me garantit que ces annonces seront conservées en ligne aussi longtemps que les documents papier à la BNF !

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25 juillet 2023

Récital d'opéra à Transat en ville à Rennes le 19 juillet 2023 (2)

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Article de Thierry Martin sur le site Unidivers (18-07-2023)

Cette année, pour le festival Transat en ville, l’Opéra de Rennes vous proposera un alléchant programme regroupant les grands classiques mais également quelques standards de la musique de jazz comme West side story de Leonard Bernstein. Ce concert intitulé « Des étoiles au clair de lune » se propose d’attendre avec sagesse qu’il soit 20h afin que d’éventuelles rigueurs de la canicule ne viennent à perturber les chanteurs. Ils seront au nombre de trois accompagnés de la pianiste Moeka Ueno.

Emy Gazeilles (soprano), Kaëlig Boché (ténor), Timothée Varon (baryton), Moeka Ueno (piano) / Récital piano et voix.

Deux chanteurs et une chanteuse, qui tous ont un lien intime avec la Bretagne, proposent avec leur complice au piano, un récital unique en ce début d’été !

Honneur aux dames, c’est la soprano Emy Gazeilles qui ouvrira le bal en interprétant « La valse de Juliette » tirée de Roméo et Juliette de Charles Gounod. Emy, après un passage dans le milieu des musiques actuelles, entre au conservatoire à Lyon et dès l’âge de 19 ans se voit offrir le rôle de Papagena dans « La Flûte enchantée » de Mozart. Il n’y a pas de hasard, aussi la voir obtenir en 2022 et à l’unanimité le premier prix de chant du conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, n’est pas à proprement parler une surprise. Emy Gazeilles intégrera à la rentrée la troupe de l’opéra de Paris.

Plus tard dans le concert, on la retrouvera, cette fois en duo avec Kaëlig Boché, interprétant « Ange adorable », toujours de Gounod. Puisqu’il a été cité, laissez-nous vous présenter ce ténor au nom bien breton. Il a fait ses premières armes au sein du chœur d’enfants de Bretagne, ensemble ô combien prolifique dans la création de chanteurs à la réputation internationale. Poursuivant ses études musicales, il a collecté un nombre impressionnant de diplômes comme un master d’art lyrique du conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, ainsi qu’un diplôme d’artiste interprète. Il a reçu pour cela les précieux conseils, entre autres, de Stéphane Degout, Stéphanie d’Oustrac et Christoph Prégardien. Excusez du peu !

Poursuivant sa carrière, il été vu dans de nombreux opéras français et étrangers interprétant des rôles de plus en plus importants, comme celui de Tamino dans « La Flûte enchantée ». Pour le public rennais il n’est pas un inconnu puisqu’il était présent dans le rôle de Gomatz lors de la diffusion de Zaïde, opéra de Mozart également. Très à l’aise dans le récital de mélodies françaises ou le répertoire du lied, il se produit fréquemment avec des pianistes de renom comme Célia Oneto Bensaid, Tanguy de Williencourt ou Adam Laloum. Vous le voyez, un chanteur digne du plus grand intérêt que nous ne manquerons pas d’aller entendre ce 19 juillet 2023 à Rennes.

À cette occasion, il formera un duo tout à fait appétissant avec le troisième larron, à savoir le baryton Timothée Varon. Voilà un garçon tout à fait étonnant. C’est à 14 ans lors d’une fête de la musique, à Vannes, qu’il se produit sur scène pour la première fois. Il en retire le sentiment, selon ses dires, d’être à sa place. Sans doute n’a-t-il pas tort, il est pourtant assez étonnant de savoir qu’il ne s’intéresse à l’opéra qu’à partir de l’âge de 20 ans. Entendant l’air « La fleur que tu m’avais donnée » tiré de Carmen, il se précipite chez le disquaire pour écouter encore et encore cette émouvante mélodie chantée par Jonas Kaufmann. Après des études de lettres modernes, il entame le chant au conservatoire à rayonnement départemental de Pontivy. Rapidement, il intègre les chœurs de l’opéra de Rennes au sein de l’ensemble vocal « Mélisme(s) » sous la baguette de Gildas Pungier. S’en suivra un nouveau temps d’études à Lyon où il reçoit l’enseignement de Françoise Pollet, l’immense wagnérienne française.

À partir de septembre 2018, il rejoint l’académie de l’Opéra national de Paris. Chantant en 2020 sur la scène du palais Garnier, dans « L’Enfant et les sortilèges de Ravel », il monte une marche supplémentaire la même année en faisant ses débuts sur la scène de l’opéra Bastille dans le rôle du comte Seprano du Rigoletto de Verdi. Pour ce concert du 19 juillet, Timothée Varon nous réserve de beaux moments lyriques puisqu’il interprétera seul et en duo de grands airs de « Carmen » de Bizet, de « L’Elixir d’amour » de Gaetano Donizetti. À titre personnel nous attendons avec impatience le dialogue « Au fond du temple saint » entre Nadir et Zurga, extrait des « Pêcheurs de perle » de Georges Bizet.

Si la part la plus belle a été réservée aux chanteurs, il serait injuste d’oublier la pianiste qui va les accompagner. Pour cette édition de Transat en ville, ce sera Moeka Ueno. Voilà un nom qui ne sonne guère Breton, et pour cause, Moeka est Japonaise. Cette native de Tokyo a découvert le piano à l’âge de 5 ans et elle ne s’est pas contentée de cela, elle y a ajouté le cor, les percussions, la composition.

Elle est en outre titulaire de deux diplômes spécifiques en piano solo et accompagnement obtenus à Paris au CRR et récemment, elle a brillamment validé sa licence d’accompagnement en deux ans. Son parcours ne s’arrête pas là et elle accumule tant de distinctions et réussit tant d’épreuves que la liste complète en serait fâcheuse. Tout cela pour vous dire, en manière de conclusion qu’elle n’a rien à envier aux garçons ou à la soprano et que son parcours personnel est de haute volée.

Si d’aventure quelqu’un avait pensé que ce concert allait être chanté par de louables amateurs, qu’il soit vigoureusement détrompé. Le 19 juillet à 20h, Transat en ville ne présentera pas de seconds couteaux mais de véritables épées !

24 juillet 2023

De retour à Lille (Nord) en juillet 2023 (1)

J'ai inventé un nouveau jeu. De la fenêtre de notre chambre d'hôtel, j'ai pris déjà deux photographies. Le jeu consiste à les publier et à demander "Où sommes-nous ?". C'est trop facile pour les gens qui connaissent Lille : on aperçoit à droite le très reconnaissable beffroi de cette ville.

Et c'est d'autant plus facile pour celles et ceux qui ne connaissent pas cette ville que j'ai donné la solution dans le titre du billet !

2023-07-22 285 1

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Si tu jouais "Le P'tit quinquin", ce serait drôle, encore !
Mais si tu crois qu'on a fait tous ces kilomètres pour entendre du biniou tu te mets la bombarde dans l'oeil jusqu'au coude, mon pote !

24 juillet 2023

De retour à Lille (Nord) en juillet 2023 (2)

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Les coiffeurs sont philosophes par ici ?

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Interdiction de faire un petit demi-pas pour l'homme et un grand demi-pas pour l'humanité !

2023-07-23 285 6
Devant la gare de Lille cette statue a pour nom Romy
mais elle n'a aucun lien avec la célèbre actrice de cinéma portant ce prénom.
Sissi, c'est  vrai, ce que j'écris-là !

2023-07-23 285 17

Je suis ton clone, Luke !

23 juillet 2023

Comment vas-tu ? / Ray Ventura et ses collégiens

Nous voilà repartis de chez nous depuis vendredi matin pour un week-end de retrouvailles familiales du côté de Lille (Nord). Ce qui expliquera que je n'ai pas eu le temps de déchiffrer les paroles de ce chef d'oeuvre d'intellectualité qui m'est arrivé via les suggestions de M. Youtube. Pour une fois l'algorithme (dans la peau ?) ne s'est pas fichu de moi. J'ai toujours adoré Ray Ventura, je possède de nombreuses compilations de ses oeuvres mais j'ignorais l'existence de ce titre-là dont on ne trouve pas les paroles sur Internet. Je reviendrai donc la semaine prochaine pour un partage avant mise de l'objet dans ma guitare !

Et peut-être bien d'autres choses vu qu'il y a un compte "Ray Ventura et ses collégiens" avec plus de 200 chansons sur Youtube ! 

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