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Mots et images de Joe Krapov

21 janvier 2019

Accueil de réfugiées nostalgiques à Rennes le 19 janvier 2019 (1)

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- Mais c'est quoi, tout ce souk, sur la table basse du séjour ?

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- Jouet interdit aux moins de 36 mois. Sors de là, Joe Krapov !

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21 janvier 2019

Accueil de réfugiées nostalgiques à Rennes le 19 janvier 2019 (2)

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21 janvier 2019

Accueil de réfugiées nostalgiques à Rennes le 19 janvier 2019 (3)

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- Mais... Mais... Mais... C'est une partouze ?!

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- Mais c'est quoi, ça ? Un pog ? Complètement antédiluvien !

21 janvier 2019

Accueil de réfugiées nostalgiques à Rennes le 19 janvier 2019 (4)

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- Mais enfin ? C'est quoi tout ce déballage dans notre séjour ?

- Ben c'est le stage "Retombée en enfance", Joe Krapov !

- Il y en a dans la famille qui ne changeront donc jamais dans le genre "étalage partout" ?

- Ne te plains pas, le père ! Tu as réussi à l'emmener voir du Marivaux au théâtre et on est allés t'écouter jouer du ukulélé toute une soirée à l'Ubuntu café ! Et en plus maintenant elle goûte ta cuisine...

- ...et ma cave aussi, oui, j'ai vu !

- Allez, verse-nous encore un verre de ton Riesling - enfin, de celui de Monsieur Tom ! - et retourne courir !

20 janvier 2019

LES INVENTEURS FARCEURS. 2, Alphonse Allais (3)

2.3 Alphonse Allais, la peinture et la musique

Bien avant Kasimir Malevitch et son carré blanc sur fond blanc, Alphonse Allais est, sinon l’inventeur, du moins un pratiquant acharné du monochrome en peinture.

Il publie en 1897 l’Album primo-avrilesque dont nous donnons lecture.

Album primo avrilesque 1 

 Malevitch

 C'était en 18 quelque chose... (Ça ne nous rajeunit pas, tout cela.)

Amené à Paris par un mien oncle, en récompense d'un troisième accessit d'instruction religieuse brillamment enlevé sur de redoutables concurrents, j'eus l'occasion de voir, avant qu'il ne partît pour l'Amérique, enlevé à coups de dollars, le célèbre tableau à la manière noire, intitulé :

COMBAT DE NÈGRES DANS UNE CAVE, PENDANT LA NUIT

 Album primo avrilesque 2 noir

L'impression que je ressentis à la vue de ce passionnant chef d'oeuvre ne saurait relever d'aucune description. Ma destinée m'apparut brusquement en lettres de flammes.

- Et moi aussi je serai peintre! m'écriai-je en français (j'ignorais alors la langue italienne, en laquelle d'ailleurs je n'ai, depuis, fait aucun progrès)

Et quand je disais peintre, je m'entendais : je ne voulais pas parler des peintres à la façon dont on les entend le plus généralement, de ridicules artisans qui ont besoin de mille couleurs différentes pour exprimer leurs pénibles conceptions

 Album primo avrilesque 7bis blanc

Non ! Le peintre en qui je m'idéalisais, c'était celui, génial, à qui suffit pour une toile une couleur : l'artiste, oserais-je dire, monochroïdal.

Après vingt ans de travail opiniâtre, d'insondables déboires et de luttes acharnées, je pus enfin exposer une première oeuvre :

PREMIÈRE COMMUNION DE JEUNES FILLES CHLOROTIQUES PAR UN TEMPS DE NEIGE

Une seule exposition m'avait offert son hospitalité, celle des Arts incohérents, organisée par un nommé Jules Lévy, à qui j'ai voué pour cela une reconnaissance quasi durable.

Si j'ajoutais un mot à ces dires, ce serait un mot de trop.

Mon Oeuvre parlera pour moi !

 

 

 

Récolte de la tomate par des cardinaux apoplectiques sur les bords de la Mer Rouge

 Album primo avrilesque 3 rouge

 

 

 

Des souteneurs, encore dans la force de l’âge et le ventre dans l’herbe boivent de l’absinthe

 Album primo avrilesque 4bis vert

 

 

 

Manipulation de l’ocre par des cocus ictériques

 Album primo avrilesque 5 jaune

 

 

 

Ronde de pochards dans le brouillard

 Album primo avrilesque 6 gris

 

 

 

Stupeur de jeunes recrues apercevant ton azur pour la première fois, ô Méditerranée !

 Album primo avrilesque 8 bleu

 Marche funèbre 3

Marche funèbre 4

 

 

Alphonse Allais est aussi l’auteur d’une partition musicale très originale, publiée elle aussi dans ce recueil primo-avrilesque.

Il s’agit d’une "Marche funèbre composée pour les funérailles d’un grand homme sourd".

"Partant du principe que les grandes douleurs sont muettes, les exécutants devront simplement compter les mesures au lieu de se livrer à ce tapage indécent qui retire tout caractère auguste aux obsèques."

 

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20 janvier 2019

LES INVENTEURS FARCEURS. 2, Alphonse Allais (4)

2.4 Pour en finir une fois pour toutes avec Alphonse Allais

2.4.1. Le Musée Alphonse Allais à Honfleur

 On a consacré à Alphonse Allais, dans la pharmacie du Passocéan, à Honfleur, le plus petit musée du monde ! 3 pièces exposées !

Alphonse Allais possédait une petite collection unique au monde dont il était très fier. Elle se composait du crâne de Voltaire à 17 ans, d’un authentique morceau de la fausse croix du Christ et d’une tasse spéciale pour gaucher (avec l’anse à gauche).

Musée Alphonse Allais 2

 Musée Alphonse Allais 1

 Outre ces pièces d’une rareté exceptionnelle on trouve aussi dans ce petit laboratoire diverses inventions issues de l’imagination d’Alphonse, tel que : 

- la machine à rendre impure l’eau potable, 

- la machine à faire les fonds de tiroir 

et toutes sortes de potions originales… ainsi que le coton noir à mettre dans les oreilles de personnes en deuil et l’amidon bleu blanc rouge pour déployer le drapeau français par les jours sans vent.

Sans oublier les petites boulettes de bismuth et de miel de Narbonne pour constiper les mouches !

 Musée Alphonse Allais 3

 Musée Alphonse Allais 4

 Musée Alphonse Allais 5

 2.4.2.Dernière farce de la vie (ou de la mort ?)

 Durant la Seconde Guerre mondiale un obus détruisit complètement la tombe d’Alphonse Allais au cimetière de Saint-Ouen.

Une plaque commémorative, ajoutée en 2005, précise :

« Sous cette dalle (en pente) a reposé Alphonse Allais, écrivain humoristique, enterré le 28 octobre 1905, sublimé le 21 avril 1944 par une bombe de la RAF, transféré virtuellement à Montmartre le 24 octobre 2005 ».

Tombe d'Alphonse Allais 2

 Tombe d'Alphonse Allais

citation-dieu-a-sagement-agi-en-placant-la-naissance-avant-la-mort-sans-cela-que-saurait-on-de-la-vie-alphonse-allais-131029

19 janvier 2019

RASSÉRÉNER LE MÔME ? ÇA, CÉPHÉE !

DDS 542 Ursa_Major2

- J’ai beau scruter le ciel
Et chercher la Grande ourse
La Petite ourse et sous la Table
Je ne vois pas l’ourson.
Encore moins Boucle d’Or.

Le Téléscope est-il à ce point déréglé 
Qu’on n’aperçoit plus la Baleine ?
Prévert l’aurait chassée ?
Elle se serait envolée
Dans le Triangle des Bermudes ?

Que la Licorne ait disparu
C’est acceptable. Dame !
Elle faisait tapisserie
Parmi ces femme d’âge moyen
Qui auraient fait perdre la tête
Au puissant Hydre mâle
Et la queue à l’Hercule. 

pegasec

Que Pégase envolé
(Qu’ont suivi dans les cieux
Capricorne et Centaure)
Rejoigne au mauvais temps
Le bon Petit cheval
Avec le Sagittaire
Avant de s’en servir,
Ni Brassens ni Pierre Dac
Ne s’en offusqueront
Que ces beaux quadrupèdes
Aient pu mettre les Voiles ;

Que le Petit renard,
Le Corbeau et le Lièvre,
Le Lion, le Loup, la Mouche
Aient choisi de cocher
La case «Château-Thierry»
Pour boire à La Fontaine
Il n’y a pas de Lézard ;

Que le Caméléon,
Animal cachottier,
Peintre polychromique,
Se soit encore caché 
En se peignant le corps ,
C’est là ruse d’Indien
Que nous pardonnerons 
A ce grand mimétique ;

Mais enfin – j’en reste mutique ! –
On ne voit même plus la Girafe !
Qu’est-ce qu’ils peignent 
Dans les ministères ?

china-dragon-constallationOui, franchement, la Coupe est pleine !
Où est donc passé mon Teddy bear
Avec son quelque chose en peluche?

Lui seul savait me consoler,
Plus que maman et papa même,
Quand je rentrais à la maison
Tout constellé d’(h)Orion(s)

- Ce n’est rien mon enfant
C’est juste que ce soir 
Le ciel est nuageux,
Que janvier nous grisaille,
Nous gris houille, nous grisouille,
Que le Dragon du mauvais temps
Résiste plus que de raison
- Depuis quatre-vingt-dix-neuf jours - 
Aux Chiens de chasse de Saint-Georges

Elles sont comme le Phénix
Elles renaîtront de ces cendres
Tu les retrouveras plus tard
Les étoiles de ton enfance. 

Tiens, écoute déjà
Cette voix d’outre-ciel,
« La berceuse des ours
Qui ne sont pas là »
Que Boris composa
Pour son ourson, son Ursula : 

Ursula et Boris Vian"… Oursi Ourson Ourzoula
Je voudrais que tu sois là
Que tu frappes à la porte
Et tu me dirais : "C’est moi
Devine ce que j’apporte ?"
Et tu m’apporterais toi"

Boris Vian

Ecrit pour le Défi du samedi n° 542 d'après cette consigne : Ourson

18 janvier 2019

GILLES ET JOHN, ACTE IV, SCÈNE 1

AEV 1819-15 Cabane

La scène se passe dans une cabane au bord d’un rond-point en décembre 2018. Gilles et John, en gilet jaune par-dessus leur tenue d’hiver, se réchauffent près du brasero en attendant que le kyrie et midi sonnent.

GILLES – Ca vous dirait de vivre dans le luxe, Monsieur John ?

JOHN – C’est à moi que vous demandez ça, Monsieur Gilles ? J’en suis touché jusques au fond du cœur ! Vous êtes mon premier émoi de la journée. D’habitude personne ne fait attention à moi sur ce rond-point. Pourtant je suis sur la scène depuis le premier acte. Remarquez, j’ai l’habitude.

GILLES – Ce doit être à cause de votre physique d’acteur shakespearien. Vous devez faire peur aux gens. Avez-vous déjà songé à tuer quelqu’un ?

JOHN – Vous trouvez que j’ai une tête à jouer Brutus dans « Jules César » ? Ou Ravaillac dans « Heni IV » ?

GILLES – Ce personnage-là n’existe pas dans cette pièce-là, Monsieur John. C’est pas notre Henri IV à nous. Ça vous dirait de vivre dans le luxe, Monsieur John ?

JOHN – Peut-être que ma définition du luxe ce serait déjà d’avoir de quoi me payer le train pour aller voir une poule à Pau le dimanche !

GILLES – Une Paloise ? Vous avez des vues sur quelqu’un là-bas ? Palsambleu ! Vous rêvez de mettre la paluche sur une Paloise ? Et si on se tutoyait Monsieur John ?

JOHN – Si tu veux, Monsieur Gilles. Tu avais autre chose à proposer ? Le calme et la volupté en supplément du luxe ?

GILLES – J’aurai peut-être ça un jour. Je l’amènerai sur le rond-point. Enfin, sur le théâtre du rond-point.

JOHN – J’ai l’impression que pour toi le futur est le vide-grenier de tes rêves. Enfin si t’es riche, que t’as RIT ou quoi, je te donne un RIB ou sinon tu peux me faire un chèque. J’accepte aussi le liquide.


Entre Frankie, le pompier de service, qui lance à la cantonade :

FRANKIE – Eh, les gars ! Ça vous dirait un dîner de con ?

GILLES - Vas-y Frankie, c’est bon, c’est bon !

FRANKIE – Alors voilà j’ai concombre en hors d’œuvre, conserve de cassoulet en plat principal et biscuit concassé sur le crumble en dessert.

JOHN – C’est consistant, ça va nous remonter le moral, cher compatriote compatissant !

FRANKIE – De quoi est-ce que vous causiez, citoyens ?

GILLES – Je questionnais Monsieur John sur son désir de luxe.

JOHN – Je suis content qu’on s’intéresse à moi. En même temps, je ne vais pas vous raconter ma vie. Ce n’est pas mon genre et elle est un peu tristounette. Je suis chanteur remplaçant dans des chœurs d’opéra. Autant dire figurant intérimaire sur des tournages de téléfilms de France 3.

FRANKIE – Je me demande comment vous avez survécu jusqu’à aujourd’hui !

JOHN – C’est grâce à l’astrologie. Je suis de type saturnien et mon astrologue m’a prédit que je me réaliserais très tard. Alors j’attends. J’attends mon heure. Tout le monde dit que j’ai la lenteur dans le sang. Ce n’est pas de la lenteur, c’est de la patience.

FRANKIE – Moi ce n’est pas pareil. J’ai des idées mais elles ont du mal à sortir. Sauf la nuit, dans mes rêves. Hier, par exemple, j’ai rêvé que j’accrochais un hareng saur en haut de ma grande échelle !

GILLES – Un hareng saur ? Mais ça pue, le poisson !

FRANKIE – Pas dans les rêves.

JOHN – Vous voyez ? C’est toujours pareil. C’est toujours les victimes qu’on blâme ! Il n’y peut rien le poisson s’il est né fin février et qu’on est en décembre !

FRANKIE – Puisque je vous dis qu’il ne sentait rien !

GILLES – Un poisson sent toujours le poisson !

FRANKIE – Que celui qui n’a jamais pêché jette la première pierre !

JOHN – Ah non ! On est sur un rond-point non violent !

FRANKIE – Moi je dis ça, je dis rien.

JOHN – Alors ferme-là ! Il n’y a qu’un bélier pour dire ça ! 

GILLES – A part ça, ça vous dirait de vivre dans le luxe, Monsieur John ?

JOHN – Je ne peux pas l’envisager. Déjà que je gagne pas lourd, en plus j’ai eu un redressement fiscal. Ca fait mal. Très mal !

GILLES – Votre voix doit être bonne pour le gémissement ! Alors ce luxe, c’est non ?

JOHN – Mais pourquoi vous me demandez ça à la fin ?

GILLES – En fait c’est parce que j’ai amené des entrées. Je peux reformuler ça autrement si vous préférez : avec ou sans mayo ?

JOHN – Sans ! Parce qu’en plus j’ai du cholestérol !

GILLES – Ça tombe bien ! Mon entrée c’est des œufs durs et j’ai oublié le pot de mayonnaise à la maison !

RIDEAU

N.B. La photographie est empruntée à  France Bleu

 

Pondu à l'Atelier d'écriture de Villejean le mardi 15 janvier 2019

à partir de la consigne ci-dessous.

18 janvier 2019

CONSIGNE D'ÉCRITURE 1819-15 DU 15 JANVIER 2019 A L'ATELIER DE VILLEJEAN A RENNES

Dialogue de Gilles et John

 

L'animateur utilise les cartes du jeu "C'est à moi que tu causes ?"
de Robert Ebguy 
qu'il a acheté récemment.

AEV 1819-15 C'est à mpoi que tu causes

Il distribue à chacun.e trois cartes "question" et sept cartes "affirmation".

Il est demandé d'inclure les formules qui sont inscrites sur les cartes
dans un dialogue entre deux personnages qui s'appellent Gilles et John.

Et ce dans l'ordre où on les a reçues.

Exemple de tirage pour le texte ci-dessus :

Ca vous dirait de vivre dans le luxe ?

Vous êtes mon premier émoi de la journée

Avez-vous déjà pensé à tuer quelqu'un ?

Le futur c'est le vide-grenier de tes rêves

Ca vous dirait un dîner de con ?

Vas-y Frankie, c'est bon !

Je ne vais pas vous raconter ma vie

Je me demande comment vous avez survécu jusqu'à aujourd'hui

J'ai des idées mais elles ont du mal à sortir

C'est toujours la victime que l'on blâme

17 janvier 2019

LES INVENTEURS FARCEURS. 3, Jacques Carelman

 

 Jacques Carelman est né à Marseille en 1929 et mort à Argenteuil  le 28 mars 2012. 

Dentiste de formation il se distingua surtout en tant que peintre, décorateur et illustrateur.

Jacques-Carelman_7578 

Zazie Couv_176568

 

 

 

Carelman arrive à Paris en 1956 où il s'installe comme dentiste mais il se consacre également à diverses activités artistiques (décoration théâtrale, illustration de livres, peinture et sculpture).

 En 1966, il adapte en bande dessinée le roman de Raymond Queneau « Zazie dans le métro ».

 

 

 

Il est l'auteur de la célèbre affiche de Mai 68 représentant la silhouette noire d'un CRS brandissant une matraque.

 CRS Carelman

Couverture du catalogiue de Carelman 

 

On doit surtout à Carelman une parodie du catalogue Manufrance, le "Catalogue d'objets introuvables" paru en 1969 dont nous avons extrait quelques belles inventions un peu farcesques.

 

La brosse à tuyaux permettant de les peindre d’un seul coup

 Le marteau tordu permettant d’atteindre les clous les plus inaccessibles

Le carbone traducteur (brevet Jean Ferry) : on écrit en français et on retrouve son texte traduit dans la langue de son choix

brosse à tuyau 

 rocking-chair le roulis

  


Le rocking-chair latéral dit « Le roulis »

La chaise plate

Les W.C. pour bergers landais

 
Le robinet à débits différents pour ne pas gaspiller l’eau

La brosse à dents qui permet de brosser toutes les dents en même temps

Le couteau à poire qui ne fait qu’une épluchure

robinet à débits différents 

Fourchette de sécurité 

 

 

La fourchette de sûreté

La fourchette à spaghettis

Le moule à flan dit le mamelük

 

 Les pantoufles de ménage pour balayer et ramasser sans avoir à se baisser

Le hamac suspendu à une absence d’arbres

Le fusil-cor de chasse 

 

 Pantoufles de ménage

 Tennis basket

 

 

La raquette de tennis-basket

La table de ping-pong tous azimuts

Le tandem latéral…
…avec sa couverture pour la pluie

 

 


Le seau à château de sable

L’enclume pliante et portable

Le prie-Dieu à bascule

moule à château de sable 

 tandem divergent

 

 

 Le tandem divergent

Le patin à roulettes pour danseuse classique

 La bouillotte de célibataire

 

 

L’échiquier sphérique

La baignoire économique 

La baignoire à portière (brevet de Gaston de Pawlowski)

 Echiquier sphérique 

Ici une présentation de la réédition de ce livre aux éditions du  Cherche-Midi
en 1997 par Olivier Barrot :
 

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