A l’aide du jeu de cartes Scripta, nous récoltons une bonne vingtaine de mots au hasard du tirage et du jeu. Nous aurons mission d’en inscrire au moins six obligatoirement dans le texte que nous allons écrire.
Il peut s’inspirer, si vous le souhaitez, de l’image ci-dessous d’Ali Migutsch, illustrateur allemand pour enfants. Soit vous la considérez dans son ensemble, soit vous choisissez un appartement en particulier.
La lumière entre dans la pièce Où opère la créatrice.
Le soleil n'est que bienveillance Où oeuvre la petite puce.
Elle commence avec prudence Par quelques traits posés en douce Sur la surface de la toile, subreptices.
Poussée par d’aussi bons auspices Voilà que l'artiste en lice.
Elle avance avec assurance. Elle a l'audace de l'enfance, Elle a la chance des novices, Le coup de pinceau est vivace, La foi est immense. Elle fonce.
Quand elle n'est pas à la noce Elle fait preuve de persévérance. Elle fait face, efface, rince Et recommence.
Vrai, quelquefois la ressemblance Oppose quelques résistances A la petite dessinatrice
Mais la jeune Garance Est du genre coriace : Jamais elle ne renonce Ni ne met les pouces Et, tenace, Trouve toujours une astuce.
Elle grimace, elle se tance, elle s'agace Mais c'est fugace : elle est vorace, Sait retrouver l'aisance Redevenir efficace.
Bientôt à nouveau, d'évidence, Le pinceau se montre véloce, Le geste s'emplit d'élégance.
L'arrivée d'un tigre féroce Qui menace la populace Sur la Grand-Place de Florence Où se trouvent célébrées les noces Toutes pleines de magnificence Du prince Fabrice Del Dongo Et d'Alice l'idole des dingos Annonce bien des exubérances, Extravagances, Outrecuidances D'HenriRousseauiste obédience
Car bientôt c'est la luxuriance, L’allégeance à la violence ! Sardanapale est au supplice, Vénus n'a plus la tête à montrer sa naissance, La Joconde en souffrance Tire sa révérence, Toute la galerie se glace, Fragonard s’en balance Et Van Gogh en éprouve Une douleur atroce.
Ayant tombé la carapace Garance fait l'expérience D'une jouissance sans nuance.
Une fièvre libératrice La fait sortir des convenances.
A suivre son caprice Et son talent précoce, N'y voyant pas malice, Voici qu'au chevalet, Première spectatrice, La passagère du silence Voit surgir « Le Jardin des délices » !
- Mince ! qu'elle se lance, Sûr, ça décontenance Mais ce n'est pas mal, d'évidence !
Qu’on habite ou pas au bord de la mer, tout commence avec « Maman, les petits bateaux qui vont sur l'eau ont-ils des jambes ? Mais oui mon gros bêta : s'ils n'en n'avaient pas ils ne marcheraient pas ! ».
On vous fait très vite enchaîner avec « Ohé ohé matelot ! Matelot navigue sur les flots » et son terrifiant « on tira’z’a la courte paille pour savoir qui serait mangé (sur le gril ?) ». Celle-là, « Il était un petit navire », vous fait bien piger que vous êtes dans la même galère qu’Obélix et que si vous tombez petit dans la marmite des liaisons mal-t-à propos il n'y a pas de raison pour que vous soyez premier prix d'orthographe quelques années plus tard.
On le comprend très vite que la mer est dangereuse et que le métier de marin n'est pas une sinécure. Il n'est que de voir Archibald Haddock lors de sa première apparition dans "Le crabe au pinces d'or" : l'alcool a fait de lui un homme fini, un gabier de potence : il ne cesse et ne cessera jamais d’injurier à tout va tous ceux qui se mettent en travers de son chemin. On apprendra plus tard qu'il tient ça de son ancêtre François de Hadoque et ce n’est un secret de polichinelle dans le tiroir pour personne : c'est juste un secret de la Licorne.
Les gabiers de l'Antiquité n'étaient pas mal non plus dans le genre grossiers personnages fort peu fréquentables. Les compagnons d'Ulysse sont plus du genre Wagner dirigé par Évguéni Prigogine dans le Vaisseau fantôme que Bateau ivre dirigé par Arthur (Rimbaud ou le fantôme justicier, je vous laisse le choix) : les guerriers de Sparte ou d'Athènes trempaient pas leur épée dans l'eau et avant l'Odyssée il y avait eu « l’Iliade, fais les valises, les partisans d'un Giro dur prétendent que la guerre de Troie à bien eu lieu ! ».
Mis à part l'univers rondouillard de Pépito et Ventempoupe de Bottaro, tout ce que la mer a porté comme navigateurs, explorateurs, Corsaires, pirates, flibustiers, négriers et amiraux de bateaux lavoir, de Cortez (the killer) à Long John Silver (and gold), est si peu admirable que quand la mer monte j'ai honte.
Oui, j'avoue, j'ai honte d'avoir mis dans ma guitare autant de ces chants de marins qu'on vénère en Bretagne au point de leur consacrer des festivals comme à Paimpol, Cancale ou Ploumanac'h.
Bien sûr qu'il y en a de très chouettes, des chansons, et de très jolies comme « Brave marin », « Loguivy de la mer » « Les Roses d'Ouessant » « Le Mariage secret de la mer et du vent ».
Bien sûr que j'adore « Mon petit garçon » « Le Vieux », « Satanicles », « Quinze marins » et les autres pépites de Michel Tonnerre. Mais quand même, quel sexisme dans ce folklore maritime en chansons !
« Pour nous sont les garces des quais qui volent, qui mentent, qui font tuer » ! Les plus belles servantes emmènent Jean-François de Nantes, gabier de la Fringante dans leur soupente. Plus tard – je raccourcis très vite ;-) car il y a trop de couplets - il se lamentera à l'hôpital (de Nantua ? ) où c’que c'est qu'on lui demandera : « Est-ce que ça vous chtouille ou est ce que ça vous grttouille ? ».
Quel programme dans « Le Forban » : « Je bois, je chante et je tue tour à tour », « Vivre d'orgies est ma seule espérance ».
Oui, je l'avoue, j’ai tellement honte de réclamer « Du rhum, des femmes et de la bière nom de Dieu » que je n'interprète même pas un des couplets de la chanson de Soldat Louis !
Je me souviens qu’un des premiers albums des Pogues s'intitule « Rhum, sodomy and the lash » ! Bonjour l'ambiance du genre « Vous avez eu mon pucelage et je n'ai pas eu votre argent » !
Chère Agrippine de Bretécher, ô gente dame, prenez peine et prenez vapeur : je vais lever le voile sur une culture masculine bien animale, sur des hommes qui vivent en mer entre eux et s’en viennent tirer des bordées et pisser comme je pleure dans le port d’Amsterdam en traitant les femmes d'infidèles avant de repartir à l'autre bout du monde faire la même chose.
Non finalement, je ne vais pas lever le voile sur ma honte : je vais surtout avouer qu’elle est avant toute chose celle d'un opportuniste ! Si je chante ces chansons, c’est parce que ces dames de par ici me les demandent : « Allez Joe, joue-nous l'Irlandais !» « Balance ton port, souffle la voile à l’harmonica, fais danser Fanny de Laninon que les joueurs de boules embrassent !".
Ce dont j'ai honte, comme Louis Aragon, c’est de n’y comprendre rien, aux termes de marine ! Qu'est-ce que c'est un gabier ? Un hunier ? Que signifie « prendre un ris » ? Une garcette, une grande vergue, une bitte d'amarrage, un nœud marin, un cacatois, tout cela est-il quelque chose de cochon ? C'est quoi un cabestan ? Et un câble qui se détend ? Quelle différence entre misaine et artimon ? Est-ce que bâbord est côté cour et tribord côté jardin ? Pourquoi y a-t-il une figure de proue et pas de figure de poupe ? Est-ce qu'on peut mettre un gabier à bord d’un sous-marin jaune qui devient vert lorsqu'il pénètre dans les eaux territoriales françaises ?
Est-ce que je n'ai pas trop jeté l'encre encore une fois aujourd'hui ?
N'est-il pas temps de chanter la nouvelle chanson que j'ai ajoutée à mon répertoire pour l'occasion ? Ça va, rassurez-vous, celle-ci est tout à fait convenable !
P.S. J'aurais pu aussi bien travailler « Le Gabier noir » du même auteur, Michel Tonnerre. Ce sera pour une autre fois !
De mémoire il faut, pour réussir le gâteau vite fait de Marie-Paule D., les ingrédients suivants :
100 g de farine, 50 g de sucre, un œuf, un demi sachet de levure chimique, une pincée de sel, une boîte d’abricots en conserve, du beurre et du sucre fin pour la garniture.
Elle appelait ça un 3-4-5 : 3 cuillères à soupe de sucre, 4 de farine, 5 de lait mais j'ai changé les proportions et j'appelle ça un 150.
Dans un saladier, tu mélanges la farine, le sucre, la levure et le sel. Tu verses l'œuf battu puis tu complètes avec du lait jusqu'à obtenir une pâte à beignets un peu liquide quand même.
Tu beurres un moule à tarte et tu verse la pâte dedans. Tu ouvres la boîte d'abricots en conserve. Tu les égouttes sur du sopalin puis tu coupes les oreillons –ce n’est pas une maladie, c’est juste le nom qu’on donne aux demi-fruits – au-dessus de la pâte en essayant d'en mettre partout sur la surface.
Tu enfournes pour un quart d'heure à 200 degrés. Pendant ce temps-là tu fais fondre 40 g de sucre et 40 g de beurre dans une casserole et tu mets en réserve ce mélange encore liquide. Au bout du quart d'heure tu disposes ce caramel liquide sur la tarte et tu remets une dizaine de minutes au grill.
Si elle savait, Marie-Paule D., le succès que j'ai toujours avec ce dessert hyper-vite fait !
Je ne l'ai pas revue depuis 1979, cette fille venue du Pas-de-Calais et que j'ai eue comme collègue à Paris. J'espère pour elle qu'elle n'a pas pris trente kilos sur les hanches comme moi depuis ce temps-là.
C'est à cela que ça sert les greniers, les bibliothécaires, les archivistes et les enregistreurs fous.
Mon neveu m'a réclamé cette chanson écrite par son père, mon frère donc, il y a longtemps, après que j'ai eu quitté le groupe de rock que nous avions formé avec deux musiciens d'origine polonaise.
« Je mourrai peut-être demain / Salut les copains ! » disaient les paroles.
On aurait dû la jouer à son enterrement plutôt que la version du "Hallelujah" de Leonard Cohen par un orchestre à la André Rieu.
J’ai retrouvé ce morceau sur mon disque dur externe de musique déjà numérisée mais je suis quand même monté au grenier. J’en ai redescendu trois caisses pleines de cassettes de toutes marques, de toutes couleurs. J'ai tout réécouté rapidement, recopié les indications de date ou de lieu. J’ai tapé tout ça sur l’ordinateur et sorti des étiquettes que j'ai mises sur la tranche des boîtiers.
Je ne sais pas si vous imaginez mais une pratique musicale hebdomadaire qui s'étend de 1972 à 1983, ça laisse des traces !
Du coup, pour être exhaustif, j'ai sorti le petit coffret rouge en forme de livre dans lequel se trouvent 8 ou 9 cassettes de cette période. Celles-ci avaient déjà reçu un titre : « Ramdam à la cave » « Ça déménage au garage » « Ça rigole chez Marie-Paule ».
J'ai numérisé celle-là qui est beaucoup plus folk que le reste et maintenant je suis bien embêté. Est-ce que c'est moi qui joue la suite d'accords la mineur sol fa mi en boucle et mon frère qui joue les quatre notes descendantes de la partie de basse ou est-ce l’inverse ? Pendant ce temps-là Boulibif blues – tu parles d’un nom d’artiste, Marie-Paule ! - chante un blues parlé avec un drôle d'accent mi-anglais mi-québécois, une chanson qui dit « Je connais le travail et le travail me connaît parce que j’ai eu eu du boulot pour sortir du ventre de ma mère. J'ai boulonné en grandissant, j'ai grandi en boulonnant". Ça ressemble au « Blues de la poisse » de Roger Mason ou à « Dommage » de Graeme Allwright.
Qui a bien pu pondre cela ? Mystère ! Impossible de récupérer les paroles sur Internet ! Je vais devoir les recopier pour que le web en ait une trace et pour que cela figure au patrimoine et surtout au matrimoine immatériel de l'humanité !
Il paraît que je lui ai crevé le tympan à la chanteuse assise devant moi ! Je suis comme ça, moi ! Quand je chante dehors, je chante à plein volume ! Et mon kazoo, je souffle dedans avec enthousiasme !
Déjà, tout à l'heure, quand Daniel faisait tourner son orgue de barbarie, l'instrument couvrait sa voix. Heureusement qu’on était là, avec Sir Emmanuel, pour le soutenir vocalement!
Quel pied cela a été, les retrouvailles avec la chorale des « Copains Thabor » ! Je connaissais pratiquement tout de leur répertoire : « Les Petits papiers », « Ma liberté », « Dirty old town », « La Ballade Nord irlandaise », « Armstrong » de Nougaro, "Amsterdam" de Brel sur laquelle je me suis défoncé et leur chanson bolivienne, "Chichiguai" ! J'avais chanté avec eux dans le passé « Les Copains d'abord » à la Ballade avec Brassens. Il y avait juste « Mes amours, mes emmerdes » d'Aznavour que je n'avais jamais joué mais je me suis bien débrouillé pour m’aligner sur la rythmique de Patrice le guitariste.
Et surtout j'ai épaté tout le monde en balançant un solo d'harmonica sur « Let it be ». Elle est super cette chanson des Beatles ! Intraduisible évidemment mais sait-on jamais ? Parce que tout à l'heure j’ai réécouté sur Youtube deux des chansons de Neil Young que j'ai traduites-transposées-trahies : pas mal du tout finalement !
Comment ça, « vantard ! » ? C’est ma liberté, quand même, d'aimer ce que je fais ! Si je ne le fais pas, qui va le faire ?
Quelle aventure, cette voisine ! Une grande bringue sympathique, rigolarde mais suffisamment tête en l'air pour sortir sur le palier en laissant la porte se reclaquer derrière elle avec les clés à l'intérieur ! Enfermée dehors !
Et moi qui remonte l’escalier juste à ce moment-là, de retour des courses. C'est qui le Zorro du deuxième étage ? C'est bibi, Adel, le brave Tunisien modèle du XIXe arrondissement !
- Est-ce que vous avez laissé une fenêtre ouverte chez vous ?
- Oui, celle du séjour.
- Ne restons pas là, entrez chez moi. Je vais essayer de passer par l'extérieur.
- Comme dans les films de Belmondo ? Mais vous êtes fou, c'est trop dangereux ! Appelez-moi plutôt un serrurier !
- Taratata ! Faîtes comme je vous dis !
J'ai posé mes sacs dans la cuisine et j'ai dit à Hadidja, mon épouse :
- Sers un jus d'orange ou fais un thé à la menthe pour notre charmante voisine le temps que je la dépanne !
J'ai ouvert la fenêtre. J’ai évalué la distance entre les deux balcons. C’était tout à fait faisable. Aucune appréhension malgré le vide. J'ai pénétré dans son appartement, j'ai pris les clés, ouvert la porte, refermé derrière moi et je suis rentré chez moi pour les lui rendre. On a fait plus ample connaissance.
Épatée par mon numéro, elle a été, la fille ! Et séduite par la chaleur de notre accueil, par mon numéro de gringue sous-jacent. Elle nous a invités à prendre un apéritif chez elle le lendemain soir.
***
On y est allés. Elle avait invité un de ses copains du Pas-de-Calais qui habitait aussi Paris, un genre d’intello à lunettes rondes comme John Lennon. J’ai senti que c'était juste UN copain, pas SON copain.
Rigolote mais pas folle, la fille ! J’étais sans doute allé trop vite. J’avais peut-être eu tort de lui glisser à l'oreille en la raccompagnant la veille au soir :
- Vous savez, Marie-Paule, quand on a fait l'amour avec un acrobate * même Ryan Gosling ne vous fait plus aucun effet !
Extrait de "Un éléphant ça trompe énormément, d'Yves Robert)
C’est le titre d’un livre de Clémentine Mélois, artiste plasticienne, écrivaine et membre de l'Oulipo.
Sur chaque page de gauche du livre figure une liste de courses qu’elle a ramassée dans la rue. Sur la page de droite elle imagine le prénom de la personne qui a perdu cette liste. Ce prénom figure comme titre du texte. L'autrice fait monologuer la personne sur un sujet quelconque, capte un moment de ses pensées sur le chemin de sa maison ou du magasin et ce texte-là, un peu délirant, ne dépasse pas une page. A vous de choisir dans la liste ci-dessous et de nous dire ce que pensent Stéphane, Mireille, Océane et les autres en allant faire leurs commissions.
Pierrette
Unico
Christophe
Le bonheur des Français
Elodie
Les téléfilms
Stéphane
Easy Rider
Christel
Pèse-personne
Michèle
Tout est vanité
Sandy
Légende urbaine
Mireille
Dress code
Jean
La tortue
Sandrine
Merci la gauche
Sandra
Monsieur
Océane
J'ai pas demandé à naître
Sylvie
Laisse les gondoles
Nathalie
Les Anglais débarquent
André
Une fillette su'l quai
Steven
Matos
Monique
Les vieux l'hiver
Valérie
Un séjour standing
Rudy
Je me comprends
Didier
Pulsation amoureuse
Martine
Posture du lion
Simone
Les bâtons de marche nordique
Catherine
La mort de Kennedy
Kevin
A bas la hiérarchie
Laura
Misogyne mon cul
Thierry
La dent de mammouth
Jérôme
Monsieur Bricolage
Oscar
Mâchicoulis et choco prince
Béatrice
Un certain Barthes Vador
Manon
Superstition
Charlène
L'interprétation du rêve
Barbara
Chic chicon
Aliénor
Dieu est amour
Tobias
Mystère
Frank
J'ai envie de dire
Marcelle
Vive la vie
Edith
De mémoire
Enzo
Calcul de masse
Audrey
La fosse de plongée
James
Wikipédia
Emilie
Le pépin
Florian
Le tire gonzesses
Margaux
Caféine
Lou-Anne
Bon à rien
Jean-pierre
La vieille école
Jade
Chasse gardée
Sofian
En voiture Simone
Liliane
Le nouveau Détective
Bénédicte
Rentrée scolaire
Laurence
Les hommes
Théo
Relation épistolaire
Alicia
La cure des stars
Marie-Hélène
Les babas cool
Amélie
Les filles du Crazy
Olivier
Soljénitsyne
Albert
Le film en deuxième partie de soirée
Gilles
Stylisme capillaire
René
Les anciens francs
Lilou
Fan club
Mickaël
Josiane
Coralie
Le décolleté
Cyrille
Résultats d'analyses
Mallaury
Le régime saucisse
Magali
Vie à crédit
Michel
Kinder
Alison
Ryan Gosling
Kyllian
Baston baston
Claude
Politiquement correct
Madeleine
Le confort moderne
Sabine
Positive attitude
Thérèse
Ulcération
Jade
Chagrin d'amour
Mickaël
Les féministes
Adeline
Mon petit chat
Josette
On aura beau dire
Kelly
Un dîner presque parfait
Anis
Mécréance
Ludovic
Un réveil
Denise
Le bus de 15h
Katia
Le pays des bisounours
Bruno
Une sacrée somme
Sylviane
Murmura-t-il
Gregory
L'Apocalypse
Mégane
Conjecture
Sébastien
L'autobus S à une heure d'affluence
Angélique
Papa il va rentrer
Alfredo
L’italien
Eric
Le jugement dernier
Lionel
Un dimanche à la campagne
Louise
L'hôpital pour animaux
Adel
Les serrures
Philippe
La beauté des hommes
Carole
Génération Z
Corentin
Cosmos 1999
Youri
Elle cause elle cause
Daniel
Fini les conneries
Maxime
Ma liberté
Serge
L'origine du monde
Clémentine
Une récré
En cadeau, une conférence très intéressante et très drôle de Clémentine Mélois sur sa résidence de neuf mois à la Bibliothèque Nationale de France (ou, de mémoire, j'ai accompli moi-même une sacrée somme d'heures de travail !)
Le passage sur "Sinon j'oublie" est entre 16' et 20' mais tout est intéressant.
Joe Krapov est poète, humoriste (?), musicien à ses heures et photographe à seize heures trente. On trouvera ici un choix de ses productions dans ces différents domaines.