Un petit tour dans Brantôme (Dordogne) le 22 août 2016 (3)
La rivière qui traverse (et entoure le centre de) Brantôme s'appelle la Dronne.
Un petit tour dans Brantôme (Dordogne) le 22 août 2016 (4)
Le petit jeu du jour
J'ai donné ici la règle d'écriture de "la belle absente", un jeu d'écriture pérecquien pas piqué des zânetons. Dans la chaleur torride qui écrasait nos siestes à Brantôme, j'en ai concocté deux. Voici le premier qui est un bel absent. A vous de deviner de quel homme il est question. Trop fastoche !
Fricandeau à l’oseille avec Jules ? Bernique ! Soirée TV phagocytée
De déboires téléphoniques : jeunes filles enfuies, grivèlerie, crime…
Quel sort absurde, ma pauvre chère ! Quel enfer conjugal !
Il faut bien cependant qu’on cajole le flic harassé, qu’on lui serve un menu :
Mange, homme, ce potjevleesch, cette bénéfique daube !
Mais il vit au quai, hagard, fou, boit du schnaps au quai, jouit au quai…
Rêver de Meung-sur-Loire ? Il y pêchera seul ! Bifurque, jeune femme de flic !
Premiers pas dans Brantôme (Dordogne) le 21 août 2016 (1)
A la fin du mois d'août 2016 nous sommes partis en villégiature huit jours à Brantôme (Dordogne). 38° et grand soleil tous les jours de la semaine. Pas mal, le pays des dames galantes !
Premiers pas dans Brantôme (Dordogne) le 21 août 2016 (2)
- Que cultive-ton à Brantôme à part l'amour du Bergerac rosé ?
- Le régime de bananes géant !
Premiers pas dans Brantôme (Dordogne) le 21 août 2016 (3)
- On en a eu mais on n'en a plus !
Quelquefois le Fantôme du Bengale a une fringale de Brantôme !
Premiers pas dans Brantôme (Dordogne) le 21 août 2016 (4)
Je confirme : nous sommes bien en Périgord vert.
Carnage productions au Festival des Affranchis à la Flèche le 9 juillet 201L
Le grenier de Gaëtan Lecroteux aux Expressifs à... par NRmobile
Les Affranchis 2016 débutent avec "Carnage productions" qui présente "Ma vie de grenier". J’avais vu sur le web un extrait de ce spectacle qui fut recommandé en son temps par Dame Berthoise. Elle y avait bien ri, et moi aussi, surtout dans la première partie quand le personnage de Gaëtan « la bonne poire » raconte ses lectures d’enfance. La séquence sur Boucle d’Or est à hurler de rire et celle sur Rahan, son collier de griffes et son coutelas ne peut que parler à un drôle de loustic qui en possède l’intégrale (des bandes dessinées, pas de la panoplie – je pourrais aussi mais je n’ai ni la tignasse blonde ni la musculation du fils des âges farouches (joli virelangue !) -). (Cette ponctuation n’est pas un smiley, c’est juste ma tendance à ouvrir toujours des parenthèses on étouffe ici !).
J’ai moins aimé la prise d’otage pour le numéro de lancer de couteaux Tintinesque et la fin du récit ne pouvait être que dramatique (elle le fut). Un bon moment quand même.
Le Bal des Martine au Festival des Affranchis à La Flèche le 9 juillet 2016 (1)
On se pose ensuite à l’Îlot au mouton déjà surpeuplé pour y voir "Dom Juan" par les Apicoles et on se sauve ! Trois jeunes acteurs en bleu de travail sur un échafaudage qui se font mousser avec un faux article sur eux dans Télérama, qui se la pètent dans une parodie de discours intellectuel sur la pièce mais exercent de la vraie manipulation de public comme sur TF1, introduisent des provocations inutiles (nudité déplacée) et de la violence dans le spectacle et qui surtout interdisent aux photographes d’opérer. Bravo ! Ils ont même été, paraît-il jusqu’à arroser le photographe du « Maine libre ». Mauvais plan ! Je suis parti et Marina B. elle aussi, un peu plus tard.
Je me jette ensuite dans la cour de l’école Pape-Carpentier et là en attendant le début des Frères Dolmar par Lézartikal (je ne resterai pas non plus tant le spectacle est long à démarrer) je tombe sous le charme d’Alison Young, de son ukulélé et de ses complices du bal des Martine. Ils et elles sont en train de faire leur balance sur « Vanina » de Dave et surtout « Emmenez-moi » d’Aznavour. Oh les filles ! Oh les filles ! Je suis revenu enregistrer le début du bal le soir à 22 h 30. L’ambiance est très bal populaire mais comme dit l’autre « Quand la musique est bonne, bonne, bonne », il faut le dire, l’écrire et la partager !