Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (11)
Je ne commente pas ces photos : j'ai encore trop chanté hier et ai donc perdu à nouveau ma voix ! ;-)
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (5)
La façon dont le Nikon D3300 capte la lumière me réconcilie avec la photo numérique !
(On n'était pas vraiment fâchés, non plus !)
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (6)
(C'est un boulot, randonner ?)
Devant nous, un arbre se tordait de rire :
Ma braguette était-elle ouverte ?
Avais-je l'air d'un joyeux randonneur en goguette ?
(Il y a des jours où l'on comprend pourquoi Dieu est - serait ? - mélophobe !)
On n'est pas très loin du monde animal avec ce genre de feuille !
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (7)
Qui randonne, en Périgord ?
A part nous ?
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (1)
Combattre les moulins à épou-vant-e ?
- Au royaume des grenouilles borgnes, personne ne réclame un crapaud-roi aveugle !
C'est que j'ai lu La Fontaine, moi, Madame !
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (2)
- On avait dit : "Pas d'effets créatifs" !
- Un tout p'tit peu, quand même?
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (3)
Pourquoi appelle-t-on cette région le Périgord vert ? ;-)
Randonnée de Brantôme à Chambon (Dordogne) le 26 août 2016 (4)
Héron de jambes
N'a besoin :
Farouche solitaire !
Au niveau de cette borie, le chemin se perd. Il faut retourner sur ses pas et trouver un autre embranchement
Crêpe dentelle ?
La chanson du jour
Nous avons revu hier, extrait de notre dévédéthèque personnelle, ce chef d'oeuvre absolu, "Certains l'aiment chaud" de Billy Wilder où l'on (re)trouve cet incontournable monument du XXe siècle :
TOUT CA, C'EST PEANUTS. 6, Incipit (1)
Je me souviens que la machine à écrire était de marque Underwood.
Avant qu’on ne la possède, mon grand-père m’emmenait parfois le jeudi après-midi à l’imprimerie. On m’en prêtait une et je tapais, sagement, en bon élève, sans déranger personne. Je n’ai rien gardé de ces séances-là mais j’ai encore, dans une valise au grenier, les premiers poèmes que j’ai écrits et tapés sur cette machine Underwood.
Je me souviens d’un titre de Louis Aragon : « Je n’ai jamais appris à écrire ou Les incipit ». Et donc, oui, écrire a toujours été pour moi un des très grands plaisirs de l’existence.