Quand la ville rose est bleue : Toulouse le 9 avril 2016 (1)
- Le deuxième jour, à Toulouse, on nous annonçait de la pluie pour le carnaval du soir. Et c'est vrai qu'à tourner dans la ville on sentait bien qu'on manquait de lumière. Du coup j'étais prêt à faire tout le reportage en effets créatifs. J'ai opté ici pour le monochrome bleu. Tiens au fait, ne serait-ce pas là un titre de Yann Tiersen ?
- Non. Monochrome tout seul !
Quand la ville rose est bleue : Toulouse le 9 avril 2016 (3)
Notre Dame du Taur, faites que Dieu me donne raison !
Quand la ville rose est bleue : Toulouse le 9 avril 2016 (4)
Elégante, racée, intoxiquée : une bulleuse !
Chambre d'hôtel pour randonneurs urbains
Des graffs vus à Nantes le 5 mai 2016 (1)
Un petit côté "Mexicain basané" !
Pour qui ne lit pas le cyrillique ou ignore la géographie Pripiat est la ville la plus proche de la centrale de Tchernobyl (Ukraine), enfin, de ce qu'il en reste.
A Venise et Burano, en Italie, en février 1993 : anthologie n° 3 (1)
Pour cause d'activité musicale intense, je suis plus en retard que le lapin d'Alice et je ne publie qu'aujourd'hui les billets du 21. Ces images de Venise et Burano devraient (me) permettre toutefois de rester serein voire sérénissime.
A Venise et Burano, en Italie, en février 1993 : anthologie n° 3 (3)
Jeux d'ombres à Burano. Faut-il rappeler que nous sommes ici dans une île très colorée de la lagune de Venise ?
A Venise et Burano, en Italie, en février 1993 : anthologie n° 3 (4)
Je me dois d'être honnête par rapport à mon discours sur la langue anglaise qui envahit par trop nos contrées : j'ai rebaptisé ici "anthologie" des boîtes de diapos sur lesquelles j'avais bel et bien inscrit "Best of Venise". Mais c'est comme le Ch'ti, le Breton ou la vulgarité : on ne doit pas les employer si on est bien élevé quand on parle en public. Et je suis foutrement bien éduqué... quelque part au niveau d'min vécu !
Le défilé du carnaval à Toulouse le 9 avril 2016 (4)
- Toi livide Livia dont on voit sur la vidéo te dévoilant sans voiles qu’il t’a ravie au lit, dis quel talent a-t-il, l’Italien, que nous n’avons pas ? Quelles secousses sismiques à lui dues provoquent les mimiques où ta joie quand tu jouis se dilue?
- Est-ce un Mickey maousse à mes trousses qui fait que je me trémousse ? Glop glop ! glapit devant son plug ma glotte. Sa tagliatelle est magique : elle glose et glisse avec délice comme sur la glace et je glousse et détrempe dans l’église d’indolence au faîte de tout, lourde du délit d’insolence au soir, jamais lasse comme Alice, l’Anglaise qui trempe le loir dans la mélasse au thé des fous.
- Dégueulasse ! J’en perds mon latin ! C’est la dernière fois que je te cuisine, cousine crue sans QI qui carottes mes espoirs, par cet aveu-plongeon, d’être un jour ton Don Juan !
Tope là, mon pote ! La popote du pape n’est pas top ! C’est des pâtes, des pâtes, des pâtes qu’il se tape, sauf parfois des patates aux câpres et paprika quand Capri s’est fini ou qu’il part se détendre à Pâques au Pakistan.
Le mime s’abîme dans la contemplation du Pô sans piper mot.
Quand le lévrier lève un lièvre en fuite le chasseur avec fièvre mais sans shit fonce tout schuss à sa suite et, sache-le, ça chie s’il trébuche sur une souche louche et ramasse une bûche. Ca le rend chèvre.