Father and son / Leigh Nash

Je ne suis pas ici pour raconter ma vie mais nous avons recommencé à fréquenter l'ADEC. L'ADEC est l'association qui gère la Maison du théâtre amateur à Rennes. C'est aussi surtout, pour nous, le nom de la salle de spectacle sise rue Papu, pas très loin de chez nous. Ce vendredi 23 février nous avons bien ri avec la compagnie Boréales qui jouait "Localement agité", une comédie grinçante d'Arnaud Bédouët. Je crois que je me souviendrai longtemps du rocher rose en forme de lapin et de ce dégommage du père au son du cri des mouettes ! Le genre "Festen" à Perros-Guirec, vous voyez ?

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Le 2 février nous avions vu une autre pièce, de Joël Pommerat, "Cendrillon", qui nous avait également beaucoup plu. Elle était jouée par Les Brûleurs de planches de Saint-Jacques de la Lande. De ce fait lors de ma dernière virée aux Champs libres j'ai emprunté trois pièces de Pommerat et nous avons regardé hier soir la version de cette Cendrillon par le Théâtre national de Bruxelles. Excellente, avec une  belle-mère beaucoup plus hystérique, une fée déjantée et ridicule et une mise en scène plus moderne, quoique débouchant à un moment sur de la comédie musicale en anglais.

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Evidemment, ma curiosité musicale étant ce qu'elle est, j'ai remis le dévédé dans le lecteur pour voir, sur le générique, de qui était cette chanson du prince. De là ma découverte de Leigh Nash et de sa reprise de Cat Stevens, Father and son, de 1970 - ça ne nous rajeunit pas ! -,  reprise que j'avais commencé à mettre dans ma guitare mais sans plus d'enthousiasme que ça il y a de cela un certain temps.