10 décembre 2021

En un mot comme en cent. 30 novembre 2021, Aujourd'hui le prix à payer

Le prix à payer pour tout le travail préparatoire, pour toutes les incertitudes préalables à la tenue d’un concert de quatre heures, c’est, chez moi, un lumbago signifiant que je commence à en avoir plein le dos !

J’envie le papillon proustien (même si, du fait qu’il raconte les lumières qu’il a vues à dame Céleste, je me demande s’il ne serait pas plutôt en fait un éléphant Babarien !).

2021 12 09 Babar à la Chasse aux papillons

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En un mot comme en cent. 1er décembre 2021, Aujourd'hui en retard

En retard sur ce qui était prévu, forcément ! Un marathon Brassens avec 100 chansons en quatre heures, c’était une utopie ! Mais 61, c’est déjà pas mal, surtout que la salle était pleine de public, que tous les musiciens et conteurs prévus étaient là et qu’on a eu l’impression de vivre des grands moments avec tout ce monde qui chantait ou disait les mots du Sétois et ceux de nos amis les poètes qu’il a mis en musique.

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En un mot comme en cent. 2 décembre 2021, Aujourd'hui la beauté à cet endroit précis

Aujourd'hui la beauté, à cet endroit précis, c’est le soleil sur les trois roses de décembre, cueillies en bouton au jardin, et sur l’affiche réalisée par Mademoiselle Zell.

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En un mot comme en cent. 3 décembre 2021, Aujourd'hui une coupe franche

Dans les quatre heures d’enregistrement du marathon que je suis en train de nettoyer ? «Les Passantes». C’est une chanson qu’il fallait chanter tout seul.

Et aussi « La Chasse aux papillons » (proustiens?) : le public s’est trompé sur le deuxième pont et sur le finale et a embrouillé les choristes.

Tout le monde croit que c’est facile Brassens ! Eh ben, non !

Une coupe franche positive ? « Boulevard du temps qui passe ». Ou « La Rose, la bouteille et la poignée de main » dit par Jean-Michel.

Krapov_et_Le_Bichon - Boulevard_du_temps_qui_passe (Georges Brassens)

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