En un mot comme en cent. 30 novembre 2021, Aujourd'hui le prix à payer
Le prix à payer pour tout le travail préparatoire, pour toutes les incertitudes préalables à la tenue d’un concert de quatre heures, c’est, chez moi, un lumbago signifiant que je commence à en avoir plein le dos !
J’envie le papillon proustien (même si, du fait qu’il raconte les lumières qu’il a vues à dame Céleste, je me demande s’il ne serait pas plutôt en fait un éléphant Babarien !).
En un mot comme en cent. 1er décembre 2021, Aujourd'hui en retard
En retard sur ce qui était prévu, forcément ! Un marathon Brassens avec 100 chansons en quatre heures, c’était une utopie ! Mais 61, c’est déjà pas mal, surtout que la salle était pleine de public, que tous les musiciens et conteurs prévus étaient là et qu’on a eu l’impression de vivre des grands moments avec tout ce monde qui chantait ou disait les mots du Sétois et ceux de nos amis les poètes qu’il a mis en musique.
En un mot comme en cent. 2 décembre 2021, Aujourd'hui la beauté à cet endroit précis
Aujourd'hui la beauté, à cet endroit précis, c’est le soleil sur les trois roses de décembre, cueillies en bouton au jardin, et sur l’affiche réalisée par Mademoiselle Zell.
En un mot comme en cent. 3 décembre 2021, Aujourd'hui une coupe franche
Dans les quatre heures d’enregistrement du marathon que je suis en train de nettoyer ? «Les Passantes». C’est une chanson qu’il fallait chanter tout seul.
Et aussi « La Chasse aux papillons » (proustiens?) : le public s’est trompé sur le deuxième pont et sur le finale et a embrouillé les choristes.
Tout le monde croit que c’est facile Brassens ! Eh ben, non !
Une coupe franche positive ? « Boulevard du temps qui passe ». Ou « La Rose, la bouteille et la poignée de main » dit par Jean-Michel.
Krapov_et_Le_Bichon - Boulevard_du_temps_qui_passe (Georges Brassens)