Au téléphone,
Aux piqûres,
Au parfum des femmes,
A celui des fleurs,
Au savon…
Il était allergique à tout ça, Marcel Proust !
En plus d’être asthmatique !
Et avec ça il écrivait des phrases tellement longues et alambiquées qu’elles en devenaient irrespirables, asphyxiantes sinon illisibles !