Quand vous trouvez une pelote de laine brillante avec un bout de fil qui dépasse, qu'est-ce que vous faites, vous, même si, comme je le soupçonne,  vous n'êtes pas un chaton de l'année ?

Oui, hein ! Vous tirez dessus ?

C'est ce que j'ai fait moi aussi dimanche dernier après le Vivaldi pour clarinette et c'est pourquoi je vous propose à nouveau d'écouter Martin Fröst et son instrument magique dans un répertoire plus récent (quoique !).

Le premier morceau, crédité sur Discogs d'un compositeur anonyme, est parfois signé chez Youtube Hildegard von Bingen (1098-1179). C'est de toute beauté. 

 

M. Deezer a fait je ne sais trop quoi dans son découpage de l'album en CD ! Enfin si, je sais. Ils vous font écouter les morceaux 7 à 14 puis 1 à 6 puis 15 à 21.

Ca n'est pas gênant du reste. Tout est très bien, y compris même les Danses populaires roumaines de Bartok. (En général, quand on entend venir Béla Bartok, hongrie au secours et on se carapathe vite fait bien fait !)