Ce panneau est l'occasion ou jamais de ressortir de la naphtaline cette chanson de Dranem que j'ai tellement adorée qu'on la beuglait, dans la voiture de Didier F., en allant chanter à la chorale d'Auvers-Le-Hamon.
O tempora saboliensis mortibus, o mores revolutionibus !
Nous n'étions pas sortables alors et ne le sommes pas plus aujourd'hui !
D'ailleurs c'est simple, je sens bien qu'on va nous reconfiner d'ici peu !