08 décembre 2019

Both sides the Tweed (1)

C'est une valse écossaise dont Marina B. assure le chant au sein de l'ensemble "Rond d'iao". J'ai écouté cela en public dimanche dernier au concert de la Sainte-Cécile à l'ADEC mais je n'ai pas été séduit par l'arrangement et par le son : trop d'instrumentaux, on n'entendait pas les accordéons et le saxo de la fin n'avait rien à faire là pour moi. Dommage car la voix était bien !

Je vais la mettre dans ma guitare. Je crois même que je vais envoyer la partition à un violoniste et un accordéoniste de ma connaissance avec qui je joue à l'occasion. Qui sait, j'arriverai peut-être à la faire chanter aux M'A2R1 d'O douce. En la traduisant-adaptant en français ? ;-)

Pour l'histoire et les paroles de cette chanson, vous pouvez voir ici chez Mrs Wekeep ;-)

Voici deux versions que je me permets d'appeler "de référence" :

Celle doublement dia-tonique de Florence Pinvidic et Florence Glorion ;

Celle, plus douce,  de Mary Black. 

 

On trouve aussi une version pour accordéon et violoncelle du genre virtuoses désincarné.e.s ;-)

Et une version plus "moderne" de Capercaillie.


Both sides the Tweed (2)

Finalement, après avoir opéré quelques coupes, j'obtiens une version sympathique de la prestation de Rond d'iao. Enfin, pas sympathique pour tout le monde : on entend à certains moments un bébé qui manifeste sa mélophobie (ou sa faim ou son envie d'être ailleurs !). Je publie les paroles originales de la chanson à la suite.

 

1
What's the spring-breathing jas'mine and rose,
What's the summer, with all its gay train,
Or the splendour of autumn, to those
Who've barter'd their freedom for gain?

Refrain
Let the love of our land's sacred rights,
To the love of our country succeed;
Let friendship and honour unite,
And flourish on both sides the Tweed.

2
No sweetness the senses can cheer,
Which corruption and bribery blind;
No brightness that gloom can e'er clear,
For honour's the sun of the mind.

3
Let virtue distinguish the brave,
Place riches in lowest degree;
Think him poorest who can be a slave,
Him richest who dares to be free.

4
Let us think how our ancestors rose,
Let us think how our ancestors fell,
The rights they defended, and those
They bought with their blood we'll ne'er sell.

Posté par Joe Krapov à 18:06 - - Commentaires [4] - Permalien [#]
Tags : ,