Aux forêts d’Ardennes,
Pour les soifs absolutistes,
Aucune oasis
Feu de poésie,
Envoie, dans le ciel des nuits,
Des rêves en fleur !
Dans les herbes folles,
Tombé du ciel cette nuit,
Un fouillis d’étoiles
Comme au fond des mers
Poissons, rouges, rassemblés,
Nous voilà perdus.