Des animaux croisés à Lannion (Côtes d'Armor) le 29 décembre 2016
Qui osera contredire Albert ? ;-)
Désolé pour la planche de la Mer du Nord et ses poissons au très recommandable restaurant Ch'ti La Chicorée : dans quelques minutes il n'en restera plus rien ! Ah, si, les rondelles de citron !
Oui, OK, je plussoie mais s'il te plaît, Hervé, va-t-en en jouer plus loin, de ta bombarde !
Des animaux croisés à Lannion (Côtes d'Armor) le 30 décembre 2016
M. Chouchen, chat très in-différent !
POUR QUE TU T’EN REVIENNES ENCHANTER NOS PRINTEMPS
Mésange à la mangeoire ! Joie !
J’engrange cette image
De partage
Et de foi !
Des animaux croisés à Lannion (Côtes d'Armor) le 31 décembre 2016 (1)
Terminé l'année en beauté avec un jogging photographique de 5 kilomètres sur le GR qui mène à Perros. L'occasion de retrouver, dans le premier virage à droite après le tunnel, ces chevaux-ci qui sont presque des amis !
Des animaux croisés à Lannion (Côtes d'Armor) le 31 décembre 2016 (2)
Différents états de M. Chouchen.
Une blanche hermine plus paisible que dans la chanson !
Quelle différence avec les photos du 30 ?
Joe Krapov a fait les vitres !
Besoin d'un homme de ménage ?
Call me !
Peinture de lumière à Lannion le 29 décembre 2016 (1)
Poèmes du 28 décembre 2017
ACAPULCO
Dans la plaine d’Acapulco
Où – t’as beau dire « Yaka » ! – ne coule pas le Pô
Y’a Yoko qu’est pas cool avec Macca (Paulo)
Et John, de Liverpool, dont le méat s’écoule…
Dans la plaine d’Acapulco
Où – t’as beau dire « Yaka » ! – ne coule pas le Pô
Y’a Yoko qu’est pas cool avec Macca (Paulo)
Et John, de Liverpool, dont le méat s’écoule…
Da capo = en boucle
Peinture de lumière à Lannion le 29 décembre 2016 (2)
QUATRE GAZOUILLIDIOTS POETIQUES (OU PAS)
Si, à l’époque où elle chantait encore, le noeud coulant n’avait pas existé, jamais Gloria Lasso n’aurait attrapé tant de maris.
Charlotte Corday ou pas, tout corps plongé dans un liquide ou pas, à cent degrés le Marat bout.
« Je vous propose le déduit
Dans mon confortable réduit
Où un petit verrou bonnard
Nous rappellera Fragonard »
C’est quand même plus agréable à entendre que
« On baise, Duchesse ? »,
Non ?
Dans les écoles du Mississippi
Les élèves sont si dississippés
Qu’ils ouvrent des yeux en forme de roues à aubes
Devant l’instittittittutrice
Emancississippé
Qui commence un mini strip-tease
Pour capter leur attenttension.
Peinture de lumière à Lannion le 29 décembre 2016 (3)
D’UN DIVAN L’AUTRE
Le mot que Charles attend
- Charles, c’est le psychanalyste –
C’est incroyable comme il stagne,
Semblant coincé sous une montagne
De sentiments contradictoires !
Allez, quoi ! Un bon geste ! Accouche !
Mais non, rien ne sort de ta bouche !
Et si, ce soir, de l’écritoire
Tu nous sortais le mot « souris » ?
Souris ! Fends-toi jusqu’aux oreilles !
Ne paie pas l’homme auquel tu parles !
Plante-là son laboratoire
Et va-t-en marcher dans le soir !
Tu trouveras sûrement un bar
Où, pour oublier ce jobard,
Une souris vêtue de noir
Daignera t’appeler « Mon rat ».
Suis-la ! Laisse la effacer
Le poids douloureux du passé
Ici, sur son divan de soie,
En total abandon de toi
Tu sauras pourquoi tu paieras :
Juste un peu de légèreté.
LA BELLE POULE
Tous les gueux du Trégor
Ont rêvé du trésor des treize œufs
Où l’on en paie douze
CODE DE BONNE CONDUITE METEOROLOGIQUE
On roule.
Il est tout bleu, le ciel.
A l’horizon, plus pâle,
Un bandeau de nuages s’amoncelle.
Et voilà que soudain le soleil en chaleur
En sort, éblouissant l’injurieux conducteur :
- Qu’est-ce qu’il a, ce connard,
A rouler en plein phare ?
Peinture de lumière à Lannion le 29 décembre 2016 (4)
CHANSON METEOROLOGIQUE
1
Il pleut des hallebardes ;
Le soldat s’y agrippe.
Il a casque espagnol
Et le voilà bientôt,
Envoyé par la pluie
A l’Île de la Tortue !
J’ai trop lu « Pépito » !
S’il pleut, j’ai la banane !
Refrain
Frein, frein, frein
Et refrain !
Je veux mettre un re-frein
Au mauvais temps
2
Il pleut des cordes
Et Dorothée, danseuse, y grimpe.
Il ne faut pas prendre de gants
Avec l’en-avant de Guingamp
Or chaque tissu a sa guimpe.
J’ai trop tiré la jarretière :
S’il pleut je m’invite au mariage
3
Il pleut comme au déluge
Et ce ramdam déloge
La grenouille divine.
Elle s’appelle Edwige
Et raconte l’idylle sauvage
De Dorothée, danseuse volage
Et de Pédro, le fin stratège
S’il pleut je ne comprends jamais
Pourquoi mon couplet deux
Avec mon couplet un s’agrège
Et fait, en trois, boule de neige !
P.S. J'ai écrit tous ces poèmes dans la voiture mercredi dernier. Bien évidemment, ce n'etait pas moi mais Marina B. qui conduisait ! ;-)