Un candidat pour le moins provocateur. Saurez-vous lui pardonner son profil (FB ?) simiesque voire inexistant ? Le concept de blog épéhémère me laisse pantois ! Et c'est normal : je m'attache pour ma part à recueillir et partager de la manière la plus durable possible les traces de Rennes, ville éphémère.
Accrochez-vous au fil du ballon jaune pour traverser la rue et vous retrouver sur l'échafaudage d'en face !
Les jours de match de foot, il y a toujours des débordements dans la rue ! ;-)
Je ne passe plus souvent par ici mais les deux peintres, Mondo Ray et Eloa sont toujours là. Je les avais photographiés, déguisés en clowns, en 2006. Leurs tableaux sont toujours aussi colorés.
Que serait S.O.S. sans le message dans la bouteille ? Que serait l’OM sans sang neuf ? Que serait l’RO sans Sète ? Que serait OSS sans dix-sept ?
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Déjà, du temps de Jason, les espions nous cassaient les bournes. Ca ne s’est pas arrangé par la suite.
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Longtemps Mata Hari.
Longtemps Mata Hari De ses plaisanteries, De ses duplicités Et de ses duperies.
Et puis quand elle a dû se faire hara kiri Ben Mata n’a plus ri.
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Sans avoir vu ce film, je sais que Roger Moore est « L’espion qui m’aimait » Mais qui est l’espion qui paie P. ? Qui est l’espion qui tâta ? Quel espion tond l’thon flingueur ?
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L’espion que je préfère C’est celui qui arrive Au bout de l’échiquier Se transforme en esdame Et s’en revient mater l’esroi de l’adversaire. Pourquoi est-ce lui que je préfère, ce transformiste au petit pied ? Parce que j’ai toujours bien aimé les travelos de recul ?
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Les espions sont partout dans ton ordinateur : Pour eux c’est du gâteau De se déguiser en cookies
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Un barbu, c’est un barbu. Trois barbus, c’est des barbouzes ! (Michel Audiard) Un « Jamais le début », c’est un « Jamais le début ». Déduis la suite ! (Joe Krapov)
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Acrostiche :
S ous mon P oncho Y o scroute : nada !
(Ma qué, peut-être qué lé soumbrero il est trop grandé por yo, no ?)
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Quand on répond par QCM à la question « 3 x 13 », « 39 » marche.
A part ça t’as le bonjour d’Alfred (Hitchcok).
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L’espion qui venait du froid : c’est qui ce pingouin ? L’espion qui fout le cafard : Hubert Bonnisseur de la Blatte. L’espion qui saute sur tout ce qui bouge : James Bond. L’auteur de romans d’espionnage qui a quatre côtés égaux : John Le Carré. L’espion le plus mignon : Langelot. L’espion le plus utile dans un sous-marin : SAS. L’espion infidèle qui jacasse trop : Notre agent à la Havane. L’espion aux pattes de velours : un film de Walt Disney. L’agent double : Blake et Mortimer. L’agent qui donne l’heure exacte : la troisième taupe de l’horloge parlante. L’agent très spécial : My UNCLE Walrus.
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L’espionne la moins sexy de toute l’histoire de l’espionnage : Pauline Carton ! Et pourtant elle dévoile tous ses trucs dans cette chanson que j’ai osé reprendre !
Ces chevaux n'apparaissent à l'entrée du Thabor que pendant le Festival du Grand soufflet, un ensemble de concerts musicaux dédiés à l'accordéon. Nous y avions vu, les années précédentes, 17 hippies, Luca Bassanese et Lénine Renaud.
C'est ici la mise en oeuvre du "trucage" évoqué l'autre jour, à savoir collage du "dessin" dans la photo "réelle".
Cette série de photos a été prise à la suite d'un déplacement doublement utilitaire :
Je suis allé ce jour-là acheter des places pour le concert de Bretelle et Garance, ce samedi à Mordelles, dans le cadre du Festival du Grand soufflet.
J'ai marché deux bonnes heures. Je me suis sorti. De mon ordi et de mon échiquier sur lequel j'étudiais cette position :
Ajournée. Trait aux blancs. J'ai les noirs.
Le jeu d'échecs est une drogue salement chronophage ! Mais même si ça me gonfle un peu de passer d'une à trois heures sur une partie d'échecs "en vrai" sans la terminer, ça ne me déplaît pas à moi, humble pousseur de bois, de donner du fil à retordre à un concepteur de génie !
Joe Krapov est poète, humoriste (?), musicien à ses heures et photographe à seize heures trente. On trouvera ici un choix de ses productions dans ces différents domaines.