Sur le chemin du Thabor à Rennes le 12 juin 2016 (1)
Vous ne voyez pas où je veux en venir ?
Vous ne me voyez vraiment pas venir avec mes gros sabots ?
Pour moi, c'était évident dès la prise de vue !
(Ca existe, le délit de cruauté mentale envers une oeuvre picturale ?)
(Et pourtant personne n'aime plus Isaure Chassériau que moi dans cette ville !)
Sur le chemin du Thabor à Rennes le 12 juin 2016 (2)
J'aime bien ce que peint Anaïs Colin. Sa galerie se trouve rue Hoche.
Son site web est ici.
Sur le chemin du Thabor à Rennes le 12 juin 2016 (3)
Allez les Diables rouges !... jouer ailleurs qu'au "Saint-Melaine café" !
Sur le chemin du Thabor à Rennes le 12 juin 2016 (4)
Je l'avais déjà aperçu, ce collage, un peu plus haut dans la rue saint-melaine, déchiré. Je suis ravi de le retrouver intact. Je l'adore !
Pots de confitures en perpective : Rennes le 7 juin 2016
- J'ai descendu dans mon jardin" chante-t-elle.
- C'est bien !" répond-il.
Mais quand Marina Bourgeoizovna (en) ramène sa fraise, Joe Krapov emploie le verbe "équeuter" pour la première fois sur ce blog. Et à force de les couper en morceaux il a les mains si colorées qu'on pourrait le surnommer "Goupi mains rouges" !
Bronzer rue Brilhac à Rennes le 12 juin 2016
Personne ne risque de bronzer sous un ciel aussi gris que celui de ces jours-ci.
Hâler doit faire partie aussi des mots que je connais et que je n'emploie jamais !
Un conseil d'ami donné (amidonné ?) rue Hoche le 12 juin 2016
Quel prosaïsme !
(Encore un mot dont M. Google me certifie que je ne l'avais jamais employé sur ce blog !)
Lèche-vitrines d'après Pâques rue Hoche à Rennes le 12 juin 2016
- Tu m'aimes, mon lapin ?
- Oh que oui, alors ! Si je pouvais je te mettrais sous un globe !
