Syndrome d'Idéfix au boulevard Marbeuf à Rennes le 12 avril 2016
Tout le monde a des Barbares à sa porte.
(Oui, je sais, je fais encore ma Chochotte ! Mais comme chante John Lennon : je ne suis pas tout seul)
Extrait de "La lettre du quartier Moulin du Comte" n° 76 d'avril 2016 :
LA METTRE EN VEILLEUSE
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
9 juin 2016
Une petite lumière
Tiens, qu’est-elle devenue la petite veilleuse du couloir ? Marina B. ne la met donc en place que l’hiver ?
En tant que Néandertalien prolongé j’aime bien que tous les instruments électriques de la maison soient éteints quand je dors. Mais la vie nocturne de mon épouse – ses visites au voisin ? son somnambulisme ? ses envies de lire de deux heures du matin ? – fait qu’on cohabite avec cet objet soi-disant écolo qui s’éteint de lui-même le jour venu.
De juin à septembre, les nuits sont peut-être moins grises que les chats ?
Drôle d'oiseau de nuit rue de Chateaudun à Rennes (vu le 30 mai 2016)
MARIOLENE ET SON ORGUE DE BARBARIE
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
10 juin 2016
D’aujourd’hui j’oublierai certainement demain
D’aujourd’hui j’oublierai certainement demain le peu d’appétence pour la chanson française des gens qui fréquentent la Maison de Quartier de Villejean le vendredi !
J’ai joué de la guitare et chanté pendant une heure et demie. Seules deux personnes se sont arrêtées.
La joueuse d’orgue de barbarie qui m’a succédé dans le hall n’a pas eu plus de succès. Je suis allé faire le chauffeur de salle pour la faire applaudir... très maigrement.
Il me reste le plaisir d’avoir chanté avec elle une heure encore !
Et du coup… je n’ai pas oublié !
Ah qu'est-ce que c'est bon de chanter "La butte rouge", "Les amants d'un jour" ou "La Goualante du pauvre Jean" !
LES JOURS HEUREUX
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
11 juin
Si je portais des lunettes roses
Si je portais des lunettes roses, j'écrirais que j’ai passé une excellente journée, tout comme hier, tout comme lors de ces week-ends en forme de marathon musical où s’enchaînent une répétition d’Am’nez zique et les Biches, un concert sur le mail ou au kiosque du Thabor, etc.
Avec des lunettes rouges, ça marche aussi.
Au programme, ce jour, c’était bouffonnerie krapovienne, musiques grecques et comédie musicale franco-américaine à la Maison de quartier de Villejean.
URBANISME ? URBANITÉ ?
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5 juin 2016
Un parfum
Un parfum de modernité, de « Pousse-toi de là que je m’y mette » voire de « Dégagez, les vieux ! » flotte dans le quartier de Rennes où nous habitons.
Dès qu’on peut abattre un pavillon pour le remplacer par un cube de cinq étages, un chantier se met en place.
Tant pis si le ginkgo biloba qui était dans le jardin et le jardin dégagent avec !
Nos élus semblent très fiers de ce remodelage urbain puisque dans le "Guide des balades urbaines" cette vue-ci est considérée comme un « point d'intérêt » !
BESOIN DE JOUER
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
6 juin 2016
Un jeu
Si les 366 réels sont un jeu alors je me permets de tricher : j’ai une semaine de retard sur le calendrier qui impose d’écrire un texte par jour. Cette photo a donc été prise le 11 juin !
Pour ma part je re-pratique, contre un logiciel peu agressif, le jeu d’échecs auquel je dois mon pseudonyme. Une ou deux parties par jour.
Je ne dois sans doute pas éprouver autant de plaisir que ces joueurs de tarot à 5 qui se servent du rapport annuel de la Maison de Quartier comme d'un tapis de jeu !
La personne qui a posé le deux de carreau ne ramassera pas, ça ne fait pas un pli !
BOUFFONNERIE KRAPOVIENNE DU 11 JUIN 2016
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7 juin 2016
Orgueil de
"Le Commissaire aux comptes sera absent lors de l’assemblée générale de « Rencontre et Culture » ".
Dois-je tirer orgueil de ma proposition, faite ce jour au Conseil d'administration, de le remplacer... en mettant en chanson sa partition ?
Il n’y a pas forcément de quoi être fier mais… "j’ai fait le job".
Je peux m’enorgueillir par contre, à mon humble avis, d’avoir fait marrer plus de 86 personnes avec ce numéro surréaliste !
PORT'NAWAK !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
Je n'ai rien dit quand
8 juin 2016
Je n’ai rien dit, ni rien écrit, quand on est revenus du Ciné-TNB où l’on avait vu « Ma loute » de Bruno Dumont. Un film qui relève du grand n’importe quoi.
Aujourd’hui je suis allé dans le jardin tester mon nouveau dictaphone. Sans voir le temps passer, j’ai enregistré quinze (!) chansons de Georges Brassens dont la "Ballade des gens qui sont nés quelque part".
Vous ferez le lien entre ces deux paragraphes et la banderole du match PSG-Lens, ou pas, selon votre humeur et votre degré d’anti-parisianisme du moment !