EN AVOIR DANS LE VENTRE
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
9 mai 2016
Ventre
Un gars qui en avait dans le ventre, c’est Jacques Brel.
Je réécoute ses chansons et je dois presque dire que je les découvre pour beaucoup.
Je les relis aussi car j’ai ressorti le volume « Tout Brel » de la collection 10-18 et de mes étagères.
Je ne connais pratiquement rien aux albums du début et de la fin…
Mais je suis capable de curiosité tardive. Et ça me comble d’aise de croiser cette humanité.
La totalité du documentaire est visible pour encore quelques jours ici :
GLANDOUILLER ?
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
10 mai 2016
Une multitude de
Une multitude de sites web, de plates-formes de partage de vidéos, de partitions, de paroles…
Et pas moyen de récupérer des accords jouables pour « Les nuits d’une demoiselle » de Colette Renard !
Chez tontonremy.com, ça ne ressemble à rien, chez play.riffstation.com c’est trop décalé.
Et pour les paroles, excellentes, des « Nuits d’une demoiselle 2.0 » de Jeanne Cherhal, c’est pareil.
Alors j’ai travaillé à l’oreille. Voici les deux partitions avec leurs imperfections.
Si la présence de ces oeuvres littéraires sur ce site gêne en quoi que ce soit leurs auteurs ou leurs ayant droit, faites le savoir par un simple commentaire sous ce billet et je les enlèverai de suite.
Qui a dit que je glandouillais ? Une matinée de boulot, ça m’a pris !
LE RETOUR DE CALAMITY JANE
En un mot comme en cent
4 mai 2016
Insecte
Quelle mouche a piqué Marina B. ?
Elle trouve sans doute que je ne vais pas assez vite à repeindre les trois chambres !
Ce matin, tandis que je remettais en ordre la collection de Robinson avant de l’emballer pour la monter au grenier, j’ai bien senti que ça l’énervait et je l’ai vue attaquer au rouleau de peinture le mur du fond de notre chambre.
Mais moi non plus ça ne me plaît pas de vivre dans le souk du chantier de travaux depuis huit jours ! Seulement je prends mon temps dans la vie. Pas folle, la guêpe !
PAS DE CA, LIZETTE !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
5 mai 2016
Je pourrais tout aussi bien
Aujourd’hui je pourrais tout aussi bien me considérer comme redevenu asthmatique, allergique à des tas de choses !
Toux, éternuements, insomnie, découchage, deux nuits incomplètes de suite, fatigue, mal de tête. La poussière de plâtre est partout !
Dire qu’on devait aller prendre l’air et partir camper à Nantes et qu’on a changé de plan ! On s’en va squatter une nuit chez M. Jibhaine où il y a, pour arranger mes affaires, un chat !
P.S. Bon, ça va, la poussière est retombée, tout est rentré dans l'ordre côté bronches et j'ai vérifié : je ne suis pas devenu allergique à ce genre d'image !
COMMENT J'AI ECRIT CERTAINS DE MES TEXTES
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
6 mai
Carré parfait
Y a-t-il un carré parfait dans les nombres que j’ai utilisés pour écrire mon Défi du samedi ?
Et d’abord qu’est-ce qu’un carré parfait ?
Un nombre dont la racine carrée est un entier ? 4, 9, 16, 25, 36, 49, 64, 81, 100, 121 ?
Qu’est-ce que je n’ai pas utilisé, là-dedans ?
Les neuf muses, "voir 36 chandelles", les 64 cases d’un échiquier, les cent jours.
Bon, dis donc Raymond, tu ne trouves pas que je me complique déjà assez la vie comme ça avec mes surconsignes ?
VULGARITE A TOUS LES ETAGES
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
7 mai
Pour de semblant
Aujourd’hui, pour de semblant, je jouerais bien à l’artiste conceptuel.
Je pourrais vous tenir un discours abscons pour accompagner ces clichés colorés mais purement abstraits que j’ai pris à Trentemoult.
Mais je me sens tellement bien dans mon samedi rennais au retour de Nantes où c’était bien aussi que je n’ai pas envie de me faire chier à vous emmerder.
Oui, quand j’ai décidé d’être vulgaire, je ne fais pas semblant !
NE PAS SAVOIR M'ARRETER EST MON PRINCIPAL DEFAUT
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
30 avril 2016
Ce qui craque
Aujourd’hui, ce qui craque, c’est mon envie de continuer la rédaction de ces 366 réels pendant un an.
Ce n’est pas vraiment mon truc d’écrire sur mon « ici et maintenant ». Je suis plutôt un homme du « hier et ailleurs ».
Du coup j’ai arrêté le truc une semaine et puis le 7 mai…
j’ai craqué et j’ai écrit tous les manquants d’un seul coup !
Photo prise à Redon le 5 mai 2016
JOE KRAPOV, TOUS TRAVAUX D'ART ET DE LEZARD, Y COMPRIS LE 1er MAI !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
1er mai 2016
Comment je pense à demain ?
Demain sera comme aujourd’hui.
Je tremperai le pinceau dans le pot de peinture blanche et j’appliquerai la sous-couche sur le Placoplatre gris.
Après je m’accommoderai de la réduction de notre espace vital de 14 cm x n mètres que cette isolation représente dans nos trois chambres. Je crois bien que je survivrai !
Il y a des gens qui ont des misères bien plus grandes dans la vie. A côté je mène une existence luxueuse mais modeste. Ou modeste mais luxueuse.
NOTE DE LECTURE DU 2 MAI 2016
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
2 mai 2016
Sucré
Fais pas ta sucrée, Joe Krapov !
Tu as lu, place Hoche, la quatrième de couverture de ce roman de Marcel Aymé. Ca t’a plu, tu l’as emprunté en Pléiade à la bibliothèque et depuis tu le lis à raison d’un chapitre par soir avant de t’endormir.
Tu trouves les personnages antipathiques, cyniques, misogynes, tu trouves l’auteur quasi-Célinien (superbe écriture, pensée de merde !) et tu te demandes si ce ne sont pas là des fonds de tiroir !
Cependant tu es pris à l’hameçon et surtout il y a deux chapitres hilarants.
Ca s’appelle « Les tiroirs de l’inconnu ».
TRANSMISSION DE BIENS POUSSIEREUX A REDON LE 3 MAI 2016
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
3 mai 2016
Ce qu’il y a dedans
Le grenier de mon beau-père, ce qu’il y a dedans, je n’ose pas y penser !
Je sais que j’ai accompli ma B.A. (Bonne Action) ce jour en acceptant d’emmener chez moi sa collection du journal « Robinson ».
C’est un hebdomadaire de bandes dessinées américaines traduites en français (Guy L’Eclair, Mandrake le magicien, Popeye, La famille Illico, Luc Bradefer) qu’il achetait et lisait en 1936.
Comme si j’avais encore de la place dans mon grenier où je stocke les bandes dessinées que j’achetais en 1966 !