On a beau lire cyrillique
C’est le pays des étrangères.
Avant de croire à l’idyllique
Il faut déblayer les congères :
Tout est blanc de neige et d’oubli
Du voile jeté par-dessus.
L’ordre est à peine rétabli
Qu’on te vole ton pardessus !
Sur les anneaux d’or d’une chaîne
Le chat – kochka – marche en dormant.
Il fait trois fois le tour du chêne,
Dédaigneux de tous les amants.