- Il va bien falloir qu’en silence ou pas un jour je me lance, dit la scie.
- Ne te casse pas le tronc ! répond l’arbre. Il y a déjà le nageur qui fait la planche ».
- Il va bien falloir qu’un jour je me lance, dit Tom à Hawks (Howard).
- Dans le commerce de haches à destination des bedeaux ? C’est encore illégal, répond Hiawatha.
- Il va bien falloir qu’un jour je me lance, dit le boomerang.
- Ca ne sert à rien, tu t’appelles Reviens, répond l’aborigène.
- Il va bien falloir qu’un jour je me lance, dit l’accessoire de l’athlète.
- T’es pas un peu marteau, non ? répond le spectateur des J.O. qui se l’est pris sur la tête.
- Il va bien falloir qu’un jour je me lance, dit le « Pouah ! ».
- 3 mètres trente-six ! J’suis dégoûté ! répond l'athlète. Et de dépit, il en lance un autre.
- Il va bien falloir que je m’arme strong, dit Lance.
- T’as qu’à dire que c’était à l’insu de ton plein gré ! répond Richard.
- Il va bien falloir qu’un jour je me Lens, dit le musée du Louvre.
Et le mineur-campeur le pousse dans le dos. Le musée glisse le long de la pente et atterrit sur le carreau de la fosse 9.
- Euch’ terril, ch’est à mi ! J’étos là avint ti ! T’es très ben là d’ù qu’tes quéu. Si té m’cros pas, acoute eum quinchon !
- Il va bien falloir qu’un jour je me lance, dit le diaporama.
- Ah non ! A tous les coups, c’est encore Joe Krapov qui chante, dessus !
Une traduction en français de ces paroles en Ch'ti est consultable ici.
Ecrit pour le Défi du samedi n° 370 d'après cette consigne