Opa Tsupa à Transat en ville le 8 juillet 2015 à Rennes (2)
Désolé pour la pauvre qualité des photos,
prises au téléobjectif depuis nos pliants personnels au fond de la place !
Rattrapez-vous avec les vidéos :
Vous désirez plus car affinités ?
Désolé pour la pauvre qualité des photos,
prises au téléobjectif depuis nos pliants personnels au fond de la place !
Rattrapez-vous avec les vidéos :
Vous désirez plus car affinités ?
Ma préférée se trouve ici
Je chercherai après les vacances celle qui s'appelle
"Quelle mouche t'a piquée ?" et
dans laquelle on parle de Georges Mouche-taki !
On sort la table, on branche la glacière, on mange, on monte la tente, on prend une douche pour conjurer la canicule. Puis on va prendre le café en ville. Madame B. oublie qu'on ne commande pas un Perrier citron mais un Perrier rondelle ou tranche. Tant pis pour elle, une méchante dose de sirop jaune recouvre ses glaçons ! Moi c'est café + limonade. Ensuite de quoi, après une première découverte du parc Ronsard, des bras du Loir et du quartier Rochambeau, on se sépare pour les spectacles de 16 h 30. Marina B. s'en va écouter Pinocchio par Marie Prête. Et moi Orphée et Eurydice d'après les Métamorphoses d'Ovide par Louis-Marie Zaccaron-Barthes.
Plus que d'un conte, il s'agit d'une lecture, pleinement assumée, dans un cadre bucolique, ensoleillé, cultivé : nous sommes à l'entrée de la bibliothèque municipale, le public est attentif, la voix est grave, posée...
Ou alors c'est du kamishibaï, un mot et un concept japonais que j'ai découvert à Vendôme.
Le narrateur conte ou lit son récit en montrant les illustrations au public.
Ici Orphée découvre le plan des Enfers, un endroit infesté de moult Styx !
On rigole, on rigole, mais en fait ce fut un fort agréable moment
pour débuter ce marathon pour les oreilles et pour l'esprit.
Merci M. Zaccaron-Barthe.
P.S. L'enseignement du latin, c'est aussi l'accès à des mythes,
à des religions, à des récits autrement plus motivants et émouvants
que les comptes d'apothicaires moutonniers d'énarques autiques
du Ministère de l'EducNat, vous ne trouvez pas, Miss Najat ?