Choses vues à la Braderie Saint-Martin le 20 septembre 2014 (1)
Cinq euros pour tout ça ? C'est trop d'l'a balle l'affaire que t'as faite !
Ca grimpe partout, un Ch'tiderman !
Il est 14 h 22, mec ! Tu t'es fait eu, sauf ton respect !
Ta pendule ne donne pas l'heure exacte !
Choses vues à la Braderie Saint-Martin le 20 septembre 2014 (2)
Et ça lit des MP3 cet appareil-là ?
C'est la môme aux boutons, tons, aux boutons de culotte !
Déniché un coffre pour mes trésors !
Choses vues à la Braderie Saint-Martin le 20 septembre 2014 (3)
Si vous saviez comme ça m'a fait rire de tomber sur ces deux caisses de livres ! J'ai toujours une très forte envie d'envoyer cette photo à Mme C. du laboratoire I. qui harcèle ma messageire dès que le produit ci-dessus, dans sa version moderne, a un petit bobo !
La gazette du palais de l'Elysée ? Non, merci ! Comme disait Jul ce soir sur France-Inter, on ne change pas les hommes mais eux changent de femme !
Barbie-tuerie aux barbituriques ?
Choses vues à la Braderie Saint-Martin le 20 septembre 2014 (4)
Les hommes du passé sont déjà de retour !
Comme un avion sans ailes ? Ou B car Bernard et Bianca ? ;-)
Spirou est dans le cirage ?
Dernières vidéos de la Ballade avec Brassens le 14 septembre 2014 (1)
Une superbe version de "Je suis un voyou" en zouk par un trio rencontré à la Ballade avec Brassens à Rennes le 14 septembre 2014.
Bravo Messieurs et merci aux danseuses !
Dernières vidéos de la Ballade avec Brassens le 14 septembre 2014 (2)
Une interprétation façon "kan ha diskan " (chant à répondre) de "La Complainte des filles de joie", de Georges Brassens, captée à la Ballade avec Brassens le 14 septembre 2014 à Rennes. Chouette moment ! Merci au porteur de chapeau ! Par contre, J.K. et L. vous étiez un peu trop près du micro !
Dernières vidéos de la Ballade avec Brassens le 14 septembre 2014 (3)
J'admire la maîtrise, le jeu de la main gauche, tout ! Bravo !
Dernières vidéos de la Ballade avec Brassens le 14 septembre 2014 (4)
Potavantou, c'est un joli nom pour un groupe qui rend hommage à l'auteur des "Copains d'abord" !
Si vous n'en avez pas encore entendu assez, vous pouvez aller aussi chez Sebarjo qui a publié trois autres des morceaux interprétés par B Car l'avant-veille.
Et apprendre qu'il m'en a fait découvrir une que je ne connaissais pas, celle-ci, humoristiquement illustrée dans cette reprise :
FRAISE DE PLOUGASTEL (SAINTE-)
J’ai vérifié sur Pagesjaunes.fr : aucun dentiste à Plougastel ne s’appelle autrement que Le Goff ou Le Coz, noms bretons très courants par là-bas. Du coup aucun n’a de raison valable de ramener sa fraise plus qu’un autre, sauf s’il fait partie du cercle celtique local. Auquel cas, qu’il se soit rétamé ou pas aux dernières élections municipales, il ramassera sa belle veste rose/mauve et prendra le bras de sa douce en vert, bleu, rouge et blanc pour aller défiler au Saint-Pardon local pour lequel, rappelons-le, on n’a pas besoin de présenter de mot d’excuse. Présenter bien suffit.
Ecrit à l'atelier d'écriture de Villejean , le 9 septembre 2014, d'après la consigne (1415-01) décrite ci-après
RENDEZ-VOUS PEU SECRET
Jamais je ne m’habituerai
Au fait que le printemps ait goût
Pour les travaux manuels de l’école primaire
Et la valse à mill’ temps de ses bourgeons qui gonflent !
Jamais ne m’acclimaterai
Au fait qu’au python familier
Les oncles d’Amérique accrochent leur melon
Avec accablement et parfois maladresse !
Ne demandez jamais pardon
A quiconque ! Vous existez !
Le soleil s’est levé depuis déjà longtemps
Et vous avez gagné sa médaille de bronze !
Non jamais je ne m’y ferai
Au fait de poser nu ici
Année après année, surprendre, émerveiller
Comme si l’on était au concours d’invention.
Presque jamais soucieux du doute
Et rarement sujet aux poussées d’amertume,
Incertain d’éviter toute littérature,
J’écris dans un état second
Tout ce qui pardessue la tête,
Tout ce qui ouvre le cerveau,
Sans autre forme de procès, jetez-vous y !
Soyez le sujet vif qui allume les cierges !
Les mots sont matière élastique,
La phrase patinaroulette,
Le manuscrit s’expose à d’infinis ennuis
Mais l’avril et le mai ne m’échapperont pas !
A la commissure des lèvres
Fume une comète musclée.
Vous êtes-vous accoutumées, ô vaporeuses,
A mes luminescences en forme d’aptéryx ?
Je mets mes oiseaux à chanter,
Prêt à perturber bien des gens.
Vous voudrez écouter tous leurs égarements
Qui sonnent juste et bien sur la portée du temps
De ce caractère si doux,
Pourquoi ressort en bulles d’air
L’écriture en bazar, vierge de cicatrices,
A qui cet atelier évite la prison ?
Si course il y a dans cet emploi
D’héritier de l’Inattendu
Mes chaussures de saut m’épargneront la chute :
Je ne mourrai jamais d’ennui ou de tristesse !
A fabriquer de jolis mondes
A s’égarer sans nulle excuse
Loin des commandements de Dieu ou des cousins
J’aurai finalement bien provoqué l’Hiver !
Qu’il se fasse à l’idée que l’âge n’y peut rien !
Qu’il s’habitue au fait que le Printemps a goût
Des travaux manuels à l’école primaire
Et, dans nos cœurs gonflés, de valse à mille temps !
Ecrit à l'Atelier d'écriture de Villejean le 16 septembre 2014 d'après cette consigne (1415-02) :
Choisir un incipit parmi une liste de sept débuts de romans et l'utiliser comme point de départ de votre texte.