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Mots et images de Joe Krapov
15 juin 2014

L'Amour de ma vie, rue Saint-Georges à Rennes le 11 juin 2014 (2)

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La présentation du menu est sacrément originale. Signalons une faute de goût sur "mon choux" avec un x. On sent que l'indécis(e) a deux soupirant(e)s ou deux fers au feu !

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15 juin 2014

L'Amour de ma vie, rue Saint-Georges à Rennes le 11 juin 2014 (3)

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Bon, ce soir aussi c'est cuisine du Sud chez les Krapov.
Comment s'appelle mon restaurant ? Chez Krapov !
C'est moi le cuistot ! Ouais, comme Bruno au Tord-boyaux !

15 juin 2014

L'Amour de ma vie, rue Saint-Georges à Rennes le 11 juin 2014 (4)

 

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Tiens donc !

140611 A 019Au moins une ! ;-)

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Voilà qui va encore plaire àFrigide Barjot !

Vous avez entendu parler de l'histoire des cadenas qui vont faire s'écrouler le pont des Arts ? Ca m'a fait beaucoup rire !

15 juin 2014

Spectateurs (?) au Festival Robinson à Saint-Grégoire le 14 juin 2014

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15 juin 2014

Pendant l'apéro-concert au Festival Robinson à Saint-Grégoire le 14 juin 2014

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Le redirai-je ? J'adore ce petit festival qui annonce l'été, la vacance, les vacances...
Mais je vous laisse-là : après que j'aurai écrit que j'adore la photo n° 4, j'y retourne !
Pardon, on y retourne !

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15 juin 2014

HALLUCINATION AUDITIVE

J'hallucine ou quoi ? Je le croate pas, ça !!!

Voilà que je chante en serbo-croate ? en bosniaque ?  en yougoslave !

Et ces bâtiments aux formes bizarres qui m'entourent ? Où suis-je ? 

Qu'est-ce qu'on a renversé sur ma moquette ? Au secours, j'hallucine !

 

Ecrit pour le Défi du samedi n° 302 à partir de cette consigne.

15 juin 2014

BIENVENUE A NEW-YORK, MARCEL S. !

J’ai passé une excellente soirée mais ce n’était pas celle-ci. Et pour cause !


Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Je vais vous dire : c’était que du bonheur ! C’était comme de gagner un match à la maison. En effet, parfois, à peine ma bougie éteinte, - merci infiniment, Mââm Bougie ! - mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de rebondir et de me dire : « On vient de l’apprendre, les paupières du petit Marcel étaient lourdes, j’ai le sentiment que ça vient de tomber et même que, trop fort, ne bougez pas, le voilà qui s’endort ! ».


Et, une demi-heure après, vraiment du grand n’importe quoi, la pensée improbable qu'il était temps de chercher le sommeil, ou pas, m'éveillait. Surréaliste de chez surréaliste.


Je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et j’étais plutôt d’accord pour souffler ma lumière. Voilà, quoi. Mais c’était énorme comme je n'avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, trop de la balle, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier, tout à fait même. Enfin un vrai couac, le fameux truc décalé qui permet de revisiter grave le difficile quotidien, ou pas.


J’hallucinais. Il me semblait que j'étais moi-même ce dont parlait l'ouvrage : le très attendu jeune loup de la politique qui viendrait à bout du vieux lion, ou pas, l’église incontournable qui nécessitait l’arrêt sur la route des vacances car c’est dans l’ADN du photographe, c’est clair, de ne pas respecter la moyenne, le dernier des grands quatuors d’Arnold Schönberg, la rivalité au bras de fer de François Ier et de Charles-Quint. Fallait-il avoir peur de ce coup de calcaire ?


Cette croyance improbable survivait pendant quelques secondes à mon réveil. Elle était comme une jeune femme pleine de fraîcheur qui donnait le la aux musiciens et au chef d’orchestre du très attendu sommeil. Elle ne choquait pas ma raison, mais voilà, quoi : elle pesait comme des écailles sur mes yeux. C’était trop too much. Elle les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n'était plus allumé. Puis dans l’entourage du metteur en scène de « Revoir sa copie » elle commençait à me devenir tout à fait inintelligible, comme après la métempsycose les pensées d'une existence antérieure se posent là où j’ai mon doigt, ou pas.


Au chevet de Bouddha où une foule anonyme, on vient de l’apprendre, se pressait, le sujet du livre se détachait de moi, j'étais libre de m'y appliquer ou non, ou pas. J’adorais ce côté décalé et en même temps je sentais monter la grogne au créneau. Aussitôt je recouvrais la vue et j'étais bien étonné de trouver autour de moi la fameuse obscurité qui reprenait la main, douce et reposante, c’est clair, pour mes yeux, mais voilà quoi, peut-être plus encore, j’ai envie de vous demander si vous vous en doutiez, pour mon esprit.


Faut-il avoir peur de l’écrire ? L’obscurité apparaissait pianissimo comme une chose sans cause, incompréhensible, surréaliste, du grand n’importe quoi, voilà, en effet, comme une chose vraiment obscure. Bref, un vrai no man’s land.

Je me demandais quelle heure il pouvait être, ou pas. J'entendais grave le sifflement des trains – Merci infiniment, le sifflement ! - qui, plus ou moins éloigné, - c’est dans son ADN, ne bougez pas ! - comme le chant d'un oiseau dans une forêt tout à fait revisitée à la maison, relevant les distances, me décrivait l'étendue incontournable de la campagne trop déserte de chez Yapersonne où le très attendu voyageur se hâte comme le dernier des grands explorateurs vers la station prochaine, pleine de fraîcheur et le petit chemin qu'il suit va être gravé grave dans son souvenir par l'excitation qu'il doit, comme vous le savez, à des lieux nouveaux – enfin un vrai endroit qui me botte depuis Sète !- , à des actes, voilà quoi, c’est clair, inaccoutumés, j’ai envie de dire aussi à la causerie récente et aux adieux trop glauques sous la fameuse lampe étrangère qui le suivent encore dans l’entourage de la lune et dans le silence de la nuit, à la douceur prochaine du très attendu retour qui, on vient de l’apprendre, est éternel, ou pas.

J'appuyais tendrement mes joues incontournables contre les belles joues improbables de l'oreiller qui, pleines et fraîches, que du bonheur, sont comme les joues de notre enfance, c’est énorme, à la maison. J’avais envie de demander l’heure, mais j’avais le sentiment que vous n’étiez pas là alors voilà quoi, je frottais une allumette pour reprendre la main et regarder ma montre.

Ne bougez-pas ! Trop nul ! Gravosse de chez gravosse ! J’hallucinais béton ! C’était bientôt juste minuit.

MIC 2014 06 09 New-York

C'était l'instant où le dernier des grands malades, qui a été tout à fait obligé de partir en voyage sur un coup de tête et a dû coucher dans un hôtel inconnu de New-York, réveillé par une crise, se réjouit en apercevant sous la porte une raie de jour. C’est trop de la balle ! Que du bonheur ! C'est déjà, merci infiniment, énorme, le matin !

Dans un moment les domestiques seront levés, c’est clair et il a le sentiment qu’il pourra sonner, et qu’une jeune femme noire viendra lui porter secours. L'espérance d'être soulagé fait qu’il va reprendre la main, lui sauter dessus, ce sera du grand n’importe quoi mais c’est dans son ADN, un coup de sang incontournable.

Faut-il avoir peur de l’improbable ? Bien sûr que non sinon on reverrait tout le temps sa copie et on ne monterait jamais au créneau, c’est clair. Après que j’ai eu rêvé, ou pas, cela, les flics m’ont arrêté à l’aéroport. Trop énorme !

J’ai passé une excellente soirée mais ce n’était pas celle-ci. Là c’est trop un cauchemar sur toute la ligne, foi de Marcel Stroskane ! Proust alors !


Ecrit pour "Un mot, une image, une citation" du 9 juin 2014 à partir de cette consigne :

Un mot : ligne
Une image :
Photo par kconners chez morgueFile

Une citation : J'ai passé une excellente soirée... mais ce n'était pas celle-ci. - Groucho Marx

Et aussi (pardon chère Joye !) d'après celle de l'atelier de Villejean du 10 juin 2014 qui consistait à réécrire le début de "Du côté de chez Swann", de "Madame Bovary" ou du "Voyage au bout de la nuit" en y insérant les mots évoqués dans le livre de Frédéric Pommier "Mots en toc et formules en tic".
(J'ajouterai la liste de demain, je ne la retrouve plus !)

14 juin 2014

Un mariage à Mérignac (Gironde) le 7 juin 2014 (1)

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1

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14 juin 2014

Un mariage à Mérignac (Gironde) le 7 juin 2014 (2)

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14 juin 2014

Un mariage à Mérignac (Gironde) le 7 juin 2014 (3)

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