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Mots et images de Joe Krapov
13 mai 2014

Le manège du vieux port à Barcelone le 29 avril 2014 (4)

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- J'adore tourner en rond dans la ville, dit le cheval.
- Moi aussi, répondis-je.

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12 mai 2014

Port vell : le vieux port de Barcelone le 29 avril 2014 (1)

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Le survol du restaurant...

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... n'était qu'un jeu de miroir !

12 mai 2014

Port vell : le vieux port de Barcelone le 29 avril 2014 (2)

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- Ta vie ne tient qu'à un fil, Téléféric !
(René Goscinny / Albert Uderzo - Astérix et les Goths)

12 mai 2014

Port vell : le vieux port de Barcelone le 29 avril 2014 (3)

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Premiers vélos espagnols por el señor Sebarjo !

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- D'un seul coup ça sent la chaussette ?

12 mai 2014

Port vell : le vieux port de Barcelone le 29 avril 2014 (4)

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- Un drapeau a disparu ?
- C'est celui du triangle des Bermudes !

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11 mai 2014

Sur la Rambla de mar à Barcelone le 29 mars 2014 (1)

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140429 409 B quatre-quarts

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Je vous épargne le mirador de Colom (Anne et Serge... Golon ? Non, Christophe ;-)) et vous emmène sur la Rambla de mar qui mène au vieux port où on ne trouve en fait qu'un complexe hyper-moderne avec cinémas, piscine, bars et restaurants !

11 mai 2014

Sur la Rambla de mar à Barcelone le 29 mars 2014 (2)

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Bronzette sur les planches à Barcelone !
(Oui, je sais, j'aurais dû les garder pour les publier l'hiver prochain !
Je ne fais plus rien de sensé en ce moment !)

11 mai 2014

Sur la Rambla de mar à Barcelone le 29 mars 2014 (3)

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Je m'abstiens de commenter ces deux photos. Comme bien souvent, j'ai pris (et tiré !) mon parti du monde et dès le premier après-midi, je me suis mis à photographier les promeneurs. Comme disait Anita, pendant que Marina fonçait droit devant avec la ferme intention de me perdre dans la foule et dans un pays étranger, "Vamos a la playa ! Allons faire un peu de Doisneau !"

11 mai 2014

Sur la Rambla de mar à Barcelone le 29 mars 2014 (4)

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Difficile de bronzer tranquille !
Les vendeurs africains de castagnettes, éventails, sacs
et autres gadgets se cachent de la voiture de police.

11 mai 2014

99 DRAGONS : EXERCICES DE STYLE. 25, ARRÊT DE JUSTICE

DDS 297 Saint-Louis 3

Cour de Cassation
Chambre civile 2
Audience publique du 24 octobre 1257
N° de pourvoi : 57-11359
Publié au bulletin.

Président : Sa Majesté Louis IX, roi de France ; Rapporteur : M. Grand-Saint-Eloi ; Avocat(s) : M. Marron, la SCP Rina, Bühler et Tarinetta-Bella (arrêt 1), la SCP Sarcozoute Van Ty (arrêt 2) ; Avocat général : M. Castagnetas.

Titrages et résumés : ACCIDENT DE LA CIRCULATION - Indemnisation - Exclusion - Victime autre que le cavalier - Faute inexcusable.

Définition : Seule est inexcusable, au sens de l'article 4 de la loi n° 45-677 du 5 juillet 1245, la faute volontaire d'une exceptionnelle gravité exposant sans raison valable son auteur à un danger dont il aurait dû avoir conscience. Par suite viole le texte susvisé l'arrêt qui déduit l'existence d'une faute inexcusable des énonciations selon lesquelles, après avoir marqué un temps d'arrêt au signal "dragon prioritaire" et circulé ensuite sur une voie d’auto-défense, le chevalier Saint-Georges s'est engagé sur la voie réservée aux véhicules de livraison de moutons alors que survenait sur cette voie un dragon princessophage riverain et qu'il a ainsi manqué à l'une des obligations édictées par l'article R. 27 du Code de la route en caillasse en ne cédant pas le passage au dragon pourtant autochtone (arrêt 1). Viole également le texte susvisé l'arrêt qui déduit l'existence d'une faute inexcusable des énonciations selon

DDS 297 1000 bornes

lesquelles le chevalier Saint-Georges s'est engagé dans un combat sanguinaire sans respecter les obligations que lui imposait la présence d'un panneau "port d’armes prohibé" et que l'obligation de marquer l'histoire et de ne s'engager qu'après s'être assuré qu'il pouvait le faire sans danger, s'imposait d'autant plus à lui que, le parking du restaurant étant situé hors agglomération, les dragons peuvent jouer la carte «véhicule prioritaire» à une vitesse relativement élevée (arrêt 2) sans que le chevalier Saint-Georges ne dispose de la carte «camion-citerne», même pas dans sa manche, pour éteindre le feu craché par icelui.

ROYAUME DE FRANCE
AU NOM DE SA MAJESTE LOUIS IX

Sur le moyen unique :

Vu l'article 4 de la loi n° 45-677 du 5 juillet 1245 ;

Attendu que seule est inexcusable au sens de ce texte la faute volontaire, d'une exceptionnelle gravité, exposant sans raison valable son auteur à un danger dont il aurait dû avoir conscience ;

Attendu, selon l'arrêt infirmatif attaqué, que, dans une altercation, une collision-contusion se produisit entre M. Saint-Georges à cheval et le dragon géniteur de MM. Eliott, Ballzède et Coutainville, ici-plaignants, que celui-ci fut blessé, que ses descendants ont réclamé à M. Saint-Georges la réparation du préjudice subi ; que M. Saint-Georges, reconnu vainqueur, reprit la route avec indifférence ;

Attendu que pour exclure l'indemnisation des dommages subis du fait du chevalier Saint-Georges en retenant une faute inexcusable de la victime, l'arrêt se borne à énoncer que M. Saint-Georges s'est engagé dans le carrefour sans respecter les obligations que lui imposait la présence d'un panneau "Attention dragon" et que l'obligation de marquer l'histoire et de n’engager un combat qu'après s'être assuré qu'il pouvait le faire sans danger s'imposait d'autant plus à lui que, le carrefour étant situé hors agglomération, les vésicules empruntant la voie hépato-biliaire pouvaient s’enflammer à une vitesse relativement élevée ;

Qu'en déduisant de ces énonciations l'existence d'une faute inexcusable à la charge de M. Saint-Georges, la cour d'appel a violé le texte susvisé ;

PAR CES MOTIFS :

CASSE ET ANNULE l'arrêt rendu le 22 mai 301, entre les parties, par la cour d'appel de Silène (Lybie) ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Vincennes pour un règlement du litige autour d’un échiquier avec obligation pour M. Dragon de jouer les coups suivants avec les noirs : 1.e4 c5 2.Cf3 d6 3.d4 cxd4 4.Cxd4 Cf6 5.Cc3 g6.

DDS 297 140501 068

(Photo prise à Barcelone le 1er mai 2014)

- Je ne comprends rien ! dit le roi. Si les faits remontent à 301, comment les plaignants peuvent-ils être encore vivants en 1257 ? Et surtout, n’y a-t-il pas prescription, avocat général Castagnetas ?

- Si fait, Votre Majesté. Si fait ! Excusez-nous, mais depuis que nous rendons la justice sous un chêne, des feuilles tombent parmi nos parchemins, surtout en automne, et celle-ci s’est trouvée mêlée à nos dossiers en cours.

- Vous pourriez faire le tri, quand même !

- Cela ne se reproduira plus, Majesté, nous vous le promettons. Passons à l’affaire suivante, voulez-vous ?

Tandis que l’avocat général entame la lecture d’un autre parchemin, le roi Saint-Louis se tourne alors vers son voisin et lui confie :

- On n’est vraiment pas aidés, Grand-Saint-Eloi ! Parfois j’ai l’impression d’être à la tête d’un royaume habité par des glands !

DDS 297 Saint-Louis et les glands

 Ecrit pour le Défi du samedi n° 297 à partir de cette consigne.

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