Joe Krapov, enjoliveur de lieux de travail (Rennes, le 14 janvier 2014) (1)
Mon patron m'envoie parfois assister tout seul à des réunions où il n'y a que des dames ! J'adore ça ! En plus, sans lui dans les pattes, je peux prendre le temps de capter des photos de Rennes en plein jour et en pleine semaine : un plaisir rare !
Joe Krapov, enjoliveur de lieux de travail (Rennes, le 14 janvier 2014) (2)
Cet escalier qui monte à l'étage mène au bureau de ma directrice.
Ne lui dites pas qu'une espèce de Gaston Lagaffe au sein de son personnel s'amuse à détourner les photos de ses locaux !
A ma décharge, je ne suis un voyou qu'en chantant du Brassens et c'est donc en dehors de mes heures de travail que j'ai confectionné ces quatre quarts photographiques bretons.
Joe Krapov, enjoliveur de lieux de travail (Rennes, le 14 janvier 2014) (3)
Moi, quand on me convoque à une réunion, j'arrive bien avant l'heure prévue. C'est un principe qui m'Escher !
Un graffiti boulevard de Sévigné le janvier 2014
Désolé de ne pas vous indiquer plus précisément où j'ai pris les photos qui précèdent :
le règlement de l'établissement interdit... qu'on y prenne des photos !
Choses vues à la braderie de Villeneuve à Rennes le 23 septembre 2007 (1)
A la braderie de Villeneuve, Madame Papillon a acheté un puzzle géant... à une pièce !
Choses vues à la braderie de Villeneuve à Rennes le 23 septembre 2007 (2)
Couvre-chef d'oeuvre de l'art pompier ?
(Après recherches, il s'agit plutôt d'un casque de garde républicain)
De la lecture rue du Dr Francis Joly à Rennes le 23 septembre 2007
Au Cortina café, on affiche les meilleures brèves de comptoir à l'extérieur !
Bien qu'elle soit lisible au tableau, je la recopie ici :
"Mon grand-père buvait un litre de whisky par jour et il est mort à 103 ans.
A l'incinération, on a cru que le feu ne s'arrêtrait jamais !"
On la retrouve dans le bouquin "Le plus drôle de l'amour anglo-saxon" dont une partie, assez hilarante aussi, est consultable ici et aussi ci-dessous.
CEREMONIE SOIT QUI MAL Y PENSE !
- Mesdames et messieurs, il nous faut prendre le problème à bras le corps.
Le journaliste, Averell Krapov, se penche vers son collègue et dit à voix basse, à propos du discoureur qui n'a jamais si bien porté ce nom :
- Déjà quand j'entends des phrases comme celle-là, j'ai envie de prendre mes jambes à mon cou !
- Nous devons faire rendre gorge à certaines rumeurs...
- A tous les coups, il va demander qu'on lui file un coup de main !
- ...car enfin j'ai le droit de prendre mon pied où je veux, quand je veux et avec qui je veux !
- Et dans n'importe quel pied-à-terre ! J'ai comme l'impression qu'il traite le problème par-dess(o)us la jambe !
- Ou alors il essaie de nous endormir, répond le journaliste n° 2, Harry Ksaparov. On va se retrouver d'ici peu dans les bras de Morphée !
- D'autres que moi, dans cette équipe de bras cassés, ont été pris la main dans le sac. Déjà, pour parvenir ici, il nous a fallu longtemps jouer des coudes, faire des pieds et des mains. Si je vous demande de m'épauler ce jour, c'est que nous manquons de bras pour éteindre l'incendie. Mais je vais répondre à la question posée par Miss MAP dans le journal « Le Défi du samedi ». En général, les gens qui ont le bras long ne se mouchent pas du coude. On ne leur cherche pas souvent querelle car leurs amis et protections ont vite fait de vous tomber dessus à bras raccourcis. Qu'elle se souvienne du proverbe latin : « Humerus radius cubitus » qui signifie : « Petite mère, tu ne vas pas rester radieuse très longtemps si tu te mêles comme ça des histoires de clavicule des puissants !». Et donc, Mesdames et Messieurs les membres des corps constitués, en vous présentant tous mes vœux de bonheur pour l'année 2014, je vous le confirme, «avoir le bras long» n'a et n'aura jamais qu'un seul sens à mes yeux. Cela signifie et signifiera longtemps encore «avoir de l'entrejambe».
Silence consterné de la salle.
Le discoureur constate l'émoi dans lequel sa conclusion a plongé ses auditeurs puis il corrige :
- Je voulais dire « avoir de l'entregent ».
- Trop tard pour rectifier le lapsus, mon pote ! C'est plié ! Viens, on se casse !
- Tu vas titrer quoi ? » demande Ksaparov à Krapov à la sortie.
- Après le mariage pour tous, l'origami pour tous !
- Ah ouais, pas mal ! En même temps, tu ne te foules pas !
- Normal ! Comme a dit le poète, "l'important c'est l'arthrose" !
Ecrit pour le Défi du samedi n° 281 d'après cette consigne
Une publicité rue Pierre Abélard à Rennes le 29 septembre 2007
Publicité pour un produit sans marque
(ou pour le ciel bleu de septembre ?)