Malgré la saveur retrouvée et la fierté d’avoir attrapé le tour de main il ne reste plus, 28 ans après, que la question jamais posée parce que venue trop tard à l’esprit et donc à jamais insoluble : est-ce quand il était chez son parrain, à Charmes, que mon grand-père, mineur du Pas-de-Calais et boulanger des Vosges, a appris à fabriquer ces gaufres… flamandes que je confectionne à mon tour en brillante compagnie ?
Peu importe, j’ai repris le flambeau et toute la famille s’est régalée. On ne sait pas ce qui reste de ce qu’on transmet mais la transmission, comme la tradition, a du bon !
mais oui, les bonnes recettes s'exportent!
bien fait, Joe!
et tu me replonges dans les souvenirs nostalgiques des premiers janvier d'autrefois...