D’autres ont couru vers les vagues pour tremper une dernière fois leurs adorables petits petons dans l’eau de mer enfin calmée. Que dis-je, couru ? Volé, oui !

Depuis je dois bien l’avouer, cette question futile me taraude : la jouissance extrême que vous avez dû éprouver lors de ces instants rares est-elle supérieure au plaisir que mon épouse légitime et moi-même avons éprouvé quelques heures auparavant et les jours suivants en nous faisant fouetter par les vagues (nous adorons nous faire fouetter et pour un peu, si je ne me retenais pas en permanence, je serrerais ma haire avec ma discipline !) ? Quoi qu’il en soit, à la veille de retourner m’enfermer dans ma cellule de moine bénédictin sado-masochiste pour une autre période de dix mois d’affilée, je vous remercie encore une fois de m’avoir offert les plus surréalistes des images que j’aurai captées pendant ces deux mois de vacances. Longue vie et grand bonheur à vous !