"On prendra le temps de ne pas arriver en retard" à la Maison de quartier de Villejean à Rennes le 18 mars 2018 (4)
C’est diablement bien joué, bien écrit, bien imaginé. Elliptique et symbolique, cela nous emballe sans rupture, on les suit dans leurs complicités, leurs oppositions de caractères, c’est mystérieux et passionnant, c’est aussi bon sinon meilleur que le vin, même si celui-ci n’est "pas très cher"… Un vin intelligent et humain ! Cela s’appelle « On prendra le temps de ne pas arriver en retard ».
Je crois que j’irai les revoir dès que possible l’acteur et les actrices de la compagnie Leutexie. Ils m’ont offert un dimanche matin théâtral de rêve. Dommage que ce Festival Les Giboulées n’ait pas été annoncé dans l’Agenda des sorties de Rennes métropole ni plus que ça à la Maison de quartier de Villejean.
Il y a des gens qui ont raté quelque chose de bien et bien des choses ce dimanche à Rennes !
La Compagnie Korishki à la Maison de quartier de Villejean à Rennes le 18 mars 2018 (1)
Quelquefois on a des journées divines, à Rennes ! Le printemps vient sonner à votre porte : il vient des pays de l'Est, il est coloré, frais, dynamique, enthousiasmant, musical en diable. Il s'appelle Compagnie Korishki et il vient vous présenter à la Maison de quartier de Villejean un spectacle de danses slaves de toute beauté. C'est dans le cadre du festival les Giboulées qui invite de façon bien trop discrète à mon avis à une balade artistique en milieu urbain qui m'a positivement ravi (j'y reviendrai).
La Compagnie Korishki à la Maison de quartier de Villejean à Rennes le 18 mars 2018 (2)
La Compagnie Korishki à la Maison de quartier de Villejean à Rennes le 18 mars 2018 (3)
Le site web de la compagnie Korishki, basée à Montjean sur Loire (49), est consultable ici.
On peut y découvrir de magnifiques photos d'Arnaud Gauthier et Stéphane Provost
ainsi que deux vidéos de présentation des ballets.
Félicitations et remerciements illimités à la chorégraphe,
Emmanuelle Lecerf Vakaryn et aux danseurs et danseuses !
CENT POUR SANS...
L’atelier d’écriture est un club sado-masochiste dans lequel l’animateur se prend pour le divin marquis. Aujourd’hui Lakévio nous propose, à nous les hommes, un coup de sang ou une montée de sève à l’approche du printemps. Mais ce n’est peut-être pas la peine de nous exciter sur cette photo : rien ne dit que ces jolies fesses rebondies appartiennent à une dame ! Le mot travesti existe aussi et il a tendance à refroidir mes ardeurs. Aussi me limiterai-je à poser une vieille devinette de mon cru : « Tu vois le cul si tu l’ôtes. Qu’ est-ce ? ».
La solution en faisant glisser la souris
avec le clic gauche enfoncé ici après : la culotte !
Ecrit pour le jeu n° 100 de Lakévio d'après cette consigne
"Ni juge ni soumise"
Merci à Dame Adrienne de nous avoir fait découvrir Anne Gruwez que je surnomme intérieurement "Mary Poppins est de retour". Nous sommes allés voir hier le film "Ni juge ni soumise" au cinéma Arvor et c'est peu de dire que nous avons bien ri..., peut-être jaune à certains moments, et au moins jusqu'avant la dernière confrontation qui est plus "refroidissante".
Je vous livre la bande annonce et aussi un court-métrage de la même farine qui vous donnera une idée de ce juge d'instruction unique en son genre !
J'ajoute la musique du générique de l'émission "Strip-tease" :
les réalisateurs de ce film sont deux membres de la rédaction de ce magazine.
PRÉSENTATIONS 2
- Ecouvillon ? François Ecouvillon ? Le célèbre poète ?
- Et voyou ! Lui-même !
- Enchanté de vous rencontrer ! Je me présente : Arthur Ecourimbaud, poète et voyant !
Ecrit pour le Défi du samedi n° 498 d'après cette consigne : écouvillon
Rennes sous la neige (enfin, sous un peu de neige !) le 1er mars 2018 (1)
Je ne résiste pas au plaisir de livrer ici l'image plus ancienne de ces mêmes quais du centre de Rennes. Ils ont été par la suite transformés en parking géant et la municipalité actuelle, incluant des écologistes, rêve désormais de supprimer ce parking et de rendre la lumière à la Vilaine ! Plus on avance, plus on recule ! Comment ne pas appliquer à nos contemporains ce qualificatif de "molécule" (au masculin, je vous prie !) entendu ce matin dans une chanson que je ne connaissais pas des Frères Jacques, "Totor têtu" !
Il n'y a pas à dire, les images du Nikon D3300, même si plus grisouilleuses,
sont plus belles que celle du Canon Ixus 265 HS.
La fontaine de Parmiggiani est saupoudrée d'une espèce de fromage granuleux...