Du bon usage des crises par Christiane Singer
Bon. Une affaire s'est arrangée. Après quelques échanges de courriers très polis, Monsieur Google a consenti à réactiver ma chaîne Youtube qui avait été piratée aux alentours du 11 septembre (!).
Par contre je n'ai pas réussi à régler le problème du format d'image réduite mais j'ai compris quelque chose : 1024 par 783, ça ne donne pas le même rapport que 6000 par 4000. Il va donc falloir redimensionner avec Picasa qui, lui, ne tient compte que de la donnée 1024 et reste souple sur la question de la largeur, respectant par défaut les proportions originales de la photo.
Je n'ai donc toujours que cet ordi-tablette sans logiciel à part Wordpad pour taper mes textes et Internet pour suivre chez Monsieur Quénéhen des parties d'échecs jouées ces jours-ci à Budapest où se déroulent actuellement les Olympiades.
Je n'ai rien écrit encore sur la yole pour le Défi du samedi et je vais devoir me coltiner avec demain un bistrot- mémoire sur les bateaux. Ça tombe bien, je suis en pleine galère.
Et puis à un moment donné, je regarde la date dans le coin en bas : 19-09. Je me dis alors qu'il me reste deux jours pour participer au jeu d'écriture de la Licorne sur son site Filigrane.
Je vais donc récupérer l'image de la tour Eiffel entourée d'éclairs et je m'attarde sur le livre qui sert de support à cet atelier d'écriture : "Du bon usage des crises" par Christiane Singer. Je vois sur Babelio qu'il s'agit d'un recueil de 7 conférences qu'elle a prononcées ici et là. Ca parle de mysticisme et du coup, de fil en aiguille, je tombe dedans.
Je me mets à visionner une interview de la dame par un journaliste de la RTBF et je ne décroche qu'au chapitre 3 car il se fait tard mais je me promets bien de regarder la suite demain : cela dure presque une heure.
Peut-être que j'ai perdu toutes les données de mon disque dur sur l'ordi qui est chez le réparateur. Mais il me reste, il me restera toujours cette question troublante : "Pourquoi est-ce que j'écoute toujours les natives du signe du bélier avec ce sentiment d'émerveillement ?".