Triptyques du lac de Vassivière (Creuse) : entre Broussas et Masgrangeas le 2 août 2024 (2)
C'est en découpant, une fois tous les deux mois, mes numéros de Télérama en vue d'effectuer des collages, que je retombe sur des articles juste survolés alors qu'ils sont intéressants ! Dans le N° 3881 du 29 mai 1981 la rubrique "Sélection vinyle" s'intéresse à "Parfum d'acacia au jardin", un DVD de Jean-Louis Murat de 2003 dont la musique est ressortie récemment en vinyle.
On peut y lire ceci, sous la plume de Laurent Rigoulet : "Le chanteur du Col de la Croix-Morand a déjà publié, à l'approche du printemps, les vingt trois compositions de son Lilith de haute volée et il pourrait réciter de tête le suivant quand il s'enferme en studio avant Noël tel Neil Young dans sa grange pour enregistrer en une seule prise une douzaine de chansons qu'il a écrites à la volée. Il est entouré des fidèles Fred Jimenez, Stéphane Reynaud et Christophe Plie, son Crazy horse à lui, et s'offre la liberté d'étirer les morceaux en longues coulées de guitares abrasives habitées par le blues du delta".
Là n'est pas l'essentiel. Ce qui m'a profondément marqué dans cet article, c'est "la devise d'artisan acharné de l'Auvergnat de Douharesse : Tout ce qui n'est pas donné est perdu".
C'est pourquoi je vous redonne une série de ces triptyques de Vassivière qui pourraient très bien illustrer la chanson "Deep forbidden lake"... de Mr Young ! ;-)